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Un 14-Juillet adapté au contexte sanitaire @Paris #14juillet
Source : Paris

Le feu d’artifice organisé par la Ville de Paris depuis la tour Eiffel se tient bien cette année. Des mesures spécifiques sont toutefois mises en place pour éviter les grands rassemblements et permettre la distanciation physique.C’est le premier grand événement culturel de l’été à avoir lieu ! Mardi 14 juillet, les Parisiens vont profiter du traditionnel feu d’artifice qui embrase chaque année la tour Eiffel à la nuit tombée… mais d’une manière quelque peu différente. Compte tenu du contexte sanitaire et réglementaire actuel, et notamment de l’interdiction des rassemblements de plus de 5 000 personnes, les festivités à Paris ne peuvent se tenir en présence d’une large foule comme c’est le cas chaque année.La Ville de Paris et le préfet de police de Paris ont ainsi décidé d’adapter cet événement aux circonstances exceptionnelles avec des modalités d’organisation particulières et en faisant appel au sens des responsabilités et au civisme des Parisiens.
Prévenir les attroupements
Concrètement, le feu d’artifice aura donc lieu comme à l’accoutumée mais le public ne pourra être accueilli au sein d’un large périmètre autour de la tour Eiffel. C’est également le cas du concert organisé sur le Champ-de-Mars par Radio France qui se tiendra à huis clos cette année…
Logements : quel est l’impact de la pandémie sur les transactions ? @_EpaMarne
Source : EpaMarne

EpaMarne-EpaFrance publient une étude comparative sur la conjoncture immobilière sur leur périmètre d’intervention sur la période mars-avril en 2019 et 2020 afin d’évaluer l’impact de la pandémie du Covid-19 sur le marché.
La pandémie de coronavirus a profondément perturbé les activités du BTP et de l’immobilier. En effet, entre le début du confinement, annoncé le 12 mars 2020 par le Président de la République, et la sortie du confinement le 11 mai 2020, les chantiers sous maîtrise d’ouvrage ont été mis à l’arrêt, la plupart des transactions immobilières ont été reportées, voire annulées, afin de respecter la sécurité sanitaire des personnes et de lutter contre la propagation du coronavirus.
Dans le même temps, certains observateurs ont annoncé un « exode urbain », des centres urbains vers le périurbain, voire les territoires plus ruraux, lié aux aspirations de plus en plus fortes des urbains à la nature et aux grands espaces ouverts.
Quels sont les effets de la pandémie sur les 6 marchés résidentiels identifiés sur le périmètre d’intervention d’EpaMarne-EpaFrance ?
Afin de tirer des premiers enseignements, cette note fait un état des lieux des réactions du système d’acteurs de la promotion immobilière sur cette période, puis compare dans une seconde partie le bilan des ventes de logements neufs en mars-avril, entre 2019 et 2020…
Post-covid : où va le marché immobilier ? Interview croisée de Bertrand Gstalder & Michel Mouillart @Seloger @B_Gstalder
Source : Se loger

Fins connaisseurs du marché du logement et rompus aux arcanes du secteur de l’immobilier, deux spécialistes (Bertrand Gstalder, président du groupe SeLoger et Michel Mouillart, professeur d’économie et porte-parole du baromètre LPI-SeLoger) nous font partager leurs visions du marché immobilier hexagonal post-Covid et de son évolution. Interview croisée.
En termes d’immobilier (prix, activité, demande…), y aura-t-il un « avant » et un « après » Covid ?
Michel Mouillart. Pour savoir s’il y aura un « après », il va nous falloir patienter jusqu’à la rentrée de septembre et voir comment aura évolué la demande. À ce moment-là seulement, et pas avant, nous serons en mesure de dire s’il y a eu un « après ». Quant à l’« avant », rappelons que le marché immobilier s’était déjà retourné dès les mois de novembre et de décembre 2019 et que les deux premiers mois de l’année 2020 avaient confirmé la contraction de l’activité immobilière. Pour les mois de janvier et février dernier, le nombre de logements anciens acquis par des particuliers accusait déjà un recul de l’ordre de 8 % par rapport à la même période de 2019…
Avenir du bureau: le Coronavirus a-t-il donné le pouvoir à l’utilisateur ? @Gecina
Source : Gecina

Le confinement lié à l’épidémie de Covid19 a été une expérience grandeur nature pour l’immobilier de bureau. Les salariés ont été contraints de travailler à distance pendant plusieurs semaines, et des transformations qui étaient déjà à l’œuvre se sont brusquement accélérées.
Une première série d’analyses et de commentaires a semblé enterrer sine die le besoin d’aller au bureau. Tout pourrait se faire à distance, les technologies seraient matures, les salariés demandeurs, et enfin, cerise sur le gâteau, cela réduirait les déplacements inutiles, et contribuerait donc à la lutte contre le réchauffement climatique. Entendu off the record : le télétravail agirait comme un révélateur darwinien des forces vives des entreprises, et par effet de miroir, des sureffectifs. Sous la plage, les restructurations à venir.
Et puis les semaines ont passé, et une seconde série d’arguments a émergé. Le télétravail serait une ruse de l’histoire pour ramener les femmes aux tâches domestiques (ce qui a été indiscutablement le cas pendant le confinement), de nombreux salariés souffriraient des conséquences de l’isolement, la créativité souffrirait de l’absence d’échanges de visu. Peu à peu, le déconfinement s’accélérant, la majorité des entreprises souhaiteraient faire revenir la très grande majorité de leurs salariés. Entendu off the record dans le secteur immobilier : rien n’a réellement changé avec cette crise, plus de peur que de mal, business as usual, on en a vu d’autres ! Il faut que tout change pour que rien ne change…
Un protocole pour l’accompagnement des locataires en difficulté économique @Domofrance @ActionLogement
Source : Domofrance

Jeudi 2 juillet 2020, Francis Stéphan, Directeur Général de Domofrance a signé avec les représentants des associations de locataires un protocole pour le soutien et l’accompagnement des locataires fragilisés économiquement par la crise du COVID-19.
Domofrance souhaite en effet apporter à ses locataires des solutions pour faire face à la crise économique qui fait suite à la crise sanitaire.
Elaborée dans la concertation, cette déclinaison locale du dispositif d’accompagnement national va au-delà des engagements de la charte signée en mai dernier par l’Union Sociale pour l’Habitat et les associations nationales de locataires.
Les locataires justifiant d’une baisse de leurs revenus en lien avec la crise sanitaire actuelle pourront faire part de leurs difficultés via leur espace personnalisé en ligne ou en appelant un numéro vert gratuit spécialement mis en place…