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Mieux vivre ensemble dans les logements sociaux parisiens
La ville de Paris et les quatre principaux bailleurs sociaux parisiens lancent la campagne de sensibilisation « Mieux vivre ensemble » afin d’inciter les locataires à adopter un comportement responsable et respectueux dans leur immeuble et envers leurs voisins. Détails de l’opération.
Sous l’impulsion de la ville de Paris, la RIVP , Paris Habitat – OPH , la SGIM et la Siemp s’associent pour lancer une campagne de sensibilisation inédite à l’attention des 450 000 habitants des logements sociaux parisiens.
Autour du « mieux vivre ensemble« , trois thèmes récurrents seront déclinés à partir de décembre 2011 et jusqu’au mois de juin 2012 :
– les dégradations en décembre 2011
– les encombrants en mars 2012
– le bruit en juin 2012
Cette campagne s’inscrit dans un contexte où 15 à 25% des courriers de réclamation des locataires concerne les troubles de voisinage, les nuisances sonores étant souvent mises en exergue. de même, envion 10% des réclamations relèvent de la présentation, de la propreté des parties communes des immeubles.
Les chiffres des réclamations des locataires portant sur les conflits de voisinage, la propreté et le bruit restent stables (et donc relativement élevés) malgré les efforts chaque jour intensifiés par les services de médiation des bailleurs pour traiter le plus efficacement possible d’avantage de dossiers liés au respect des règles de vie commune.
Le « mieux vivre ensemble » représente par conséquent une question majeure pour la ville de Paris et les bailleurs sociaux qui s’engagent au quotidien pour une meilleure qualité de service auprès des locataires…Lire la suite de l’article sur le portail de la ville
L’humour au service du développement durable
L’ADEME et Adwiser ont étudié « l’efficacité, l’acceptabilité et les limites du recours à l’humour dans les stratégies de communication sur le développement durable ». Partant du constat que la communication verte s’appuie de plus en plus sur l’humour afin de ré-intéresser les consommateurs, l’ADEME a testé quatre formes humoristiques : l’humour sympathique, caustique, satirique et absurde.
Les résultats de cette étude sémiologique passionnante intitulée « L’humour au service du développement durable », enrichie par des avis d’experts, fera l’objet d’une présentation organisée par l’APACOM et l’ADEME :
Mardi 29 novembre 2011 de 18h à 20h à la Maison Ecocitoyenne*
Un nouvel espace de discussion pour les habitants de Rennes Métropole
Un nouvel espace de discussion s’ouvre aux habitants de Rennes Métropole : Causes-Communes.fr
Le principe est simple : inscrivez-vous pour faire partie d’un panel et répondez aux enquêtes régulièrement lancées, sur des sujets variés. Thèmes d’actualité, projets de la Ville de Rennes et de Rennes Métropole, évaluation des journaux ou des campagnes de communication… Une démarche de démocratie participative, pour « prendre le pouls du territoire ».
La première enquête concerne les magazines bimestriels des deux collectivités, Rennes Métropole Magazine et Les Rennais. Qu’en pensez-vous ? Quels articles avez-vous lu ? Trouvez-vous les contenus intéressants? A vous de répondre.
En devenant membre de Causes Communes, vous pouvez également consulter les résultats des enquêtes, réagir à des questions d’actualité dans le cadre d’ateliers de discussion en ligne et consulter les points de vue de chacun. Un point important : les réponses aux questionnaires sont anonymes et les informations personnelles transmises dans le cadre de Causes Communes demeurent strictement confidentielles. N’hésitez pas, participez !
22 campagnes nominées en compétition pour le 23e Grand Prix Cap’Com
22 campagnes ont été nominées au 23e Grand Prix Cap’Com. Remarquées parmi les 175 opérations présentées cette année, elles reflètent les tendances de la communication publique et territoriale de la saison 2010-2011.
Principal enseignement : la communication de proximité, le contact direct et l’oralité font un retour remarqué. En même temps on notera l’apparition des jeux vidéos comme levier de promotion du territoire et la multiplication des marques ombrelles, les acteurs apprenant à travailler ensemble autour d’opérations d’envergure. Mais globalement, il faut bien le dire, la production est assez sage. Le contexte politique et budgétaire n’est pas très favorable à une explosion de créativité surtout lorsque la suspicion généralisée à l’égard de la communication incite à la prudence. On s’autorise néanmoins l’humour comme vecteur de changement, et c’est déjà pas mal…Retrouvez la liste des nominés sur le portail Cap’Com