Lancement d’un nouveau Mouvement SOLIHA, Solidaires pour l’habitat le mercredi 20 mai 2015 à la Cité Internationale Universitaire de Paris.
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14è Congrès Rencontres des Dirigeants Territoriaux d’IDF
14èmes Rencontres DGS IDF à l’Essec le 8 Juillet 2015
> Programme et inscription : ici
ATELIER I
EDUCATION « Ecole numérique : Du projet à la réalisation »
Intervenants :
Jean Paul DROZ , PDG et Fondateur – CABINET DROZ
Ludovic OLIVE, chef de produits – UGAP
ATELIER II
FINANCES « Comment utiliser opportunément B.E.I et fonds structurels pour financer aux cotés des ressources habituelles les projets du plan de mandat ? »
Intervenant : Bernard ANDRIEU, Président – ORFEOR
ATELIER III
FINANCES « Entre PPP, loi MOP, DSP, concessions, CREM… Quelles solutions de montages immobiliers publics retenir selon votre projet ? »
La maladie, premier facteur d’absentéisme dans les collectivités territoriales
D’une manière générale, la maladie est la nature d’arrêt la plus fréquente, concerne le plus grand nombre d’agents mais n’est pas celle qui dure le plus longtemps. La maladie ordinaire représente le premier facteur d’absence pour raisons de santé et concentre au global 48% du taux d’absentéisme pour raison de santé.
En 2014, la fréquence des arrêts atteint 65 arrêts pour 100 agents. La maladie ordinaire en est le premier contributeur et représente 83% de l’ensemble des absences, soit 54 arrêts pour 100 agents. En 2014, la fréquence des arrêts en Maladie Ordinaire a connu une augmentation significative, de plus de 11%, après s’être infléchie en 2012 et 2013.
Sur les 42% d’agents absents au moins une fois en 2014, 31% d’entre eux l’ont été pour cause de maladie ordinaire (6% pour accident du travail, 3% pour longue maladie et 2% en maternité). La proportion des agents absents au moins une fois dans l’année en Maladie Ordinaire a connu une augmentation de plus de 4% en 2014.
Principale cause d’absence, l’arrêt de travail en maladie ordinaire n’est pas celui qui dure le plus longtemps. En effet, la durée moyenne d’absence s’élève à 37 jours, toutes natures d’arrêt confondues. La maladie ordinaire ne représente que 22 jours en moyenne contre 222 jours pour la nature de maladie la plus lourde (longue maladie). Toutefois, l’âge exerce une influence importante sur la durée des absences. Plus les agents avancent en âge, plus la durée des arrêts tend à s’allonger.
Enfin, si les absences pour maladie ordinaire sont moins longues, elles font peser un risque pour la collectivité confrontée à des arrêts fréquents de courte durée qui sont par nature non prévisibles et répétitifs.
L’impact important des absences sur le budget de fonctionnement des collectivités
Le coût moyen des absences par agent employé s’établit en 2014 à 1921 euros toutes natures d’arrêt confondues. La maladie ordinaire représente 45% de ce coût moyen (soit 873 euros), suivi de la longue maladie (28%, soit 533 euros).
Le coût moyen d’un arrêt en maladie ordinaire s’élève à 21 428 euros sur la base d’un salaire moyen et peut atteindre 137 517 euros pour un congé de longue durée. La prise en charge des frais médicaux entraîne un impact budgétaire direct sur la collectivité, mais également des coûts indirects (remplacement, réaffectation, surcharge de travail, stress..). Les études économiques sur le sujet soulignent que ces derniers représentent un engagement financier plusieurs fois supérieur à celui des coûts directs.
Enfin, l’impact financier global des absences varie selon l’effectif employé par les collectivités. Le montant peut varier de 380 000 euros pour une commune de 220 agents à plus de 6 millions d’euros pour une région de 3 500 agents.
La nécessité de maîtriser les absences pour améliorer la performance des organisations
Confrontées à la réforme territoriale engagée par la loi NOTRe qui amorce une mutation profonde du cadre institutionnel local et à la réduction des enveloppes budgétaires, les collectivités doivent mieux maîtriser les absences pour optimiser la performance globale de leur organisation.
En savoir plus site SOFAXIS (télécharger l’étude)
Sofaxis, courtier de référence en assurance des collectivités territoriales et des établissements hospitaliers et expert en matière de performance des organisations et de santé au travail, publie, via son entité Sofcap, sa nouvelle note de conjoncture sur les absences pour raison de santé des agents territoriaux. Ce document permet aux décideurs territoriaux de mieux appréhender les absences dans leurs collectivités en disposant d’indicateurs de référence, et d’engager toutes les actions nécessaires en faveur de la santé durable de leurs agents.
La note de conjoncture de Sofaxis relève que le taux d’absentéisme dans les collectivités territoriales s’élève en moyenne à 8,7% en 2014. Depuis 2009, ce taux a connu une croissance de 18% toutes natures d’arrêts confondues (maladie ordinaire, longue maladie/longue durée, accident du travail et maternité). Corollaire de cette augmentation, le nombre de jours d’arrêts par agent employé a progressé de 12% depuis cinq ans, passant de 22 à 24 jours.
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Soliha née de la fusion des Mouvements PACT et Habitat & Développement
La Fédération des PACT et la Fédération Nationale HABITAT & DÉVELOPPEMENT ont engagé un processus de rapprochement en 2013 qui a abouti le 20 Mai 2015 à leur fusion.
Cette fusion donne naissance à un nouveau Mouvement, plus fort, au service des personnes et des collectivités locales pour relever, avec l’ensemble de leurs partenaires, les défis du mal logement.
Ce nouveau Mouvement rassemble 197 associations, 2 700 salariés et 3 200 bénévoles, présents dans tous les territoires, métropolitains et ultramarins, urbains et ruraux.
Le projet, les engagements et la nouvelle identité ont été présentés à l’occasion de cette manifestation.
> Source : www.soliha.fr
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Repenser l’ingénierie publique locale : Étude Sémaphores
Repenser l’ingénierie publique locale. Une contribution aux enjeux de mutualisations du bloc communal et aux débats sur l’organisation territoriale de la République.
Regardez le flyer de présentation de l’étude !
L’ingénierie publique locale est devenue en quelques mois un sujet grandissant de réflexion et désormais de débat.
Chacun prend conscience que l’avenir de son territoire repose sur une mobilisation concertée et coordonnée de nombreux acteurs qui, chacun dans leur domaine, ont tout intérêt à faire évoluer leurs pratiques et leurs organisations dans le cadre d’un dialogue local enrichi. En ne perdant jamais de vue que l’action publique doit construire, en parallèle, sa légitimité et son efficacité. Car c’est bien de cela qu’il s’agit en « toile de fond », la recomposition de l’Action Publique et la reconquête de sa légitimité…
A ce stade et compte tenu de la façon dont se déroulent les réformes territoriales qui les accompagnent, il nous est apparu essentiel de pouvoir apporter notre contribution, au travers de notre expertise d’usage sur les enjeux opératoires et stratégiques qui vont s’imposer aux collectivités ; quelle que soit l’organisation territoriale de la France in fine…
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