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CNP Assurances rejoint l’initiative d’engagement collaborative Climate Action 100+ @ActOnClimate100 @CNP_Assurances
Pour renforcer leur dispositif d’engagement actionnarial, la Caisse des Dépôts et CNP Assurances rejoignent l’initiative internationale d’engagement collaborative Climate Action 100+. Cette initiative vise à rassembler et coordonner les plus gros réseaux internationaux d’investisseurs actifs sur ce sujet afin qu’ils engagent les 100 plus gros émetteurs de gaz à effet de serre à améliorer leur reporting climatique, mettre en place une gouvernance appropriée de l’enjeu climatique et définir puis communiquer des objectifs de réduction des émissions de GES.
La Caisse des Dépôts a signé dans le cadre du Climate Finance Day le 11 décembre la Charte des investisseurs français en faveur du climat, aux côtés notamment de Bpifrance. Les signataires s’engagent à mettre en œuvre des principes conjoints, dont des principes de dialogue actionnarial, pour assurer la cohérence de leurs activités avec les objectifs de l’Accord de Paris.
Les 10 commandements d’une relation commerciale saine entre startups & grands groupes @FpiFrancehub @frenchtech
Les 10 commandements d’une relation commerciale saine entre startups et grands groupes
1.12.16
HUB NEWS
D’après une étude menée par Fabernovel, 95% des startups estimaient déjà en 2014 qu’une collaboration avec un grand groupe était favorable, voire indispensable à leur développement. Et pour cause : une relation avec une grande entreprise impacte positivement la croissance d’une startup dans 93% des cas d’après une étude menée en 2016 par RAISE et Bain & Company. Seulement, la réalité de cette relation n’est pas aussi évidente : incompréhensions, rapport au temps inversé, process différents, exigences de trésorerie incompatibles etc, tout est fait pour compliqué les échanges. Et même si nous constatons depuis quelques temps une amélioration des relations entre grands groupes et startups, il est de bon ton de rappeler quelques fondamentaux. Nous nous sommes penchés sur les 10 commandements d’une relation commerciale saine entre ces deux acteurs, aujourd’hui indispensables à l’économie mondiale.
- 1 De franchise tu feras preuve
La franchise est de mise lorsqu’il s’agit de se lancer dans une aventure commerciale startups/grands groupes. Exprimer clairement ses attentes et besoins permet d’établir d’emblée une relation « win-win » et de marier réussite avec confiance.
- 2 De la transparence tu demanderas
Se mettre d’accord sur l’agenda, communiquer ses contraintes, clarifier les contraintes de chacun, assurer un suivi régulier etc. sont autant de mesures de transparence nécessaire au bon déroulement d’une collaboration startup/grand groupe.
- 3 De la flexibilité tu montreras
Pour bien travailler ensemble, grands groupes et startups doivent apprendre à assouplir leurs relations en apportant flexibilité et agilité dans leurs process habituels. Il est en effet essentiel de savoir s’adapter aux contraintes et spécificités de l’autre, et donc de les comprendre.
- 4 Sur l’ouverture tu miseras
Pour innover en bonne et due forme, l’ouverture vers l’extérieur n’est pas négociable. La co-création demande de repenser ses méthodes et pratiques et d’aborder l’innovation avec un regard nouveau, celui de l’entrepreneur qui sommeille en nous. Finie la relation donneur d’ordre VS fournisseur !
- 5 De l’implication de tous tu demanderas
Pour qu’une démarche d’open innovation soit concluante, il est primordial de garder en tête une chose : l’engagement doit se faire à tous les niveaux, du top management aux opérationnels. Pour cela, l’impulsion doit dans le meilleur des cas être donnée par la direction, que ce soit au sein de la startup ou du grand groupe.
- 5 Du partage de compétences tu te nourriras…en savoir plus…
Les Fintech pour accélérer leur transition digitale
Source : www.bpifrance-lelab.fr
En l’espace de quelques années, les Fintech ont redistribué les cartes du jeu bancaire traditionnel et ont suscité un engouement grandissant. Pour se différencier des offres existantes, elles ont tout misé sur le client en s’appropriant les nouveaux usages de consommation induits par le numérique. Mais toutes les Fintech ne sont pas disruptives ! L’étude de Bpifrance Le Lab montre que certaines d’entre elles proposent également des services à destination des banques (B2Bank) pour les accompagner dans leur processus de transformation digitale.
Pour voir l’étude en plein écran, cliquez ici.
Fruit d’une collaboration entre Bpifrance Le Lab et Gilles Denoyel, ancien Président des relations institutionnelles internationales du Groupe HSBC en Europe, l’étude « Disrupter la banque pour la sauver » s’appuie sur de nombreux entretiens avec des acteurs de l’écosystème financier (startup, banques, investisseurs, journalistes spécialisés). Elle s’interroge sur l’avenir des Fintech, qu’elles soient disruptives ou collaboratives, et montre que de nombreuses synergies existent avec les acteurs traditionnels du marché, notamment par l’exploitation de la technologie Blockchain.
- Face aux nouveaux entrants, le danger majeur pour les banques, c’est d’être intermédiées et de perdre la maîtrise de la relation client. Elles pourraient risquer d’être cantonnées à un rôle de gestionnaire à faible valeur ajoutée.
- Entre compétition et coopération,les Fintech poussent les banques à se transformer par la « coopétition » ! Elles imposent de nouveaux standards bancaires en offrant à leurs clients des solutions alternatives moins coûteuses et plus personnalisées. Pour rester dans la course, les banques doivent s’adapter et tout miser sur l’expérience client et l’accompagnement.
- Malgré les apparences, les « nouveaux entrants » ne sont pas nécessairement des « concurrents ». Certaines Fintech proposent également des services à destination des banques (B2Bank) pour les accompagner dans leur processus de transformation digitale.
- La réelle concurrence pourrait venir des géants du web américains et chinois, des acteurs de la grande distribution et des télécoms. Ces entreprises qui souhaitent accroitre leur accès aux données des clients disposent de ressources financières considérables et d’une importante base de clients qui facilite l’adoption de nouvelles solutions financières.
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Bpifrance : 2015 est la 3ème année de forte croissance
Activités et résultats 2015 : trois ans après sa création, Bpifrance conforte son modèle de croissance2015 est la troisième année consécutive de forte croissance pour Bpifrance, avec une progression de l’activité de tous les métiers (jusqu’à 43% pour les prêts à l’innovation, 33% pour le capital innovation direct et 31% pour le capital investissement dans les PME) et une croissance de 10% du résultat net, hors plus-value de transfert des titres Orange en 2014.
Activités et résultats 2015 : trois ans après sa création, Bpifrance conforte son modèle de croissance
2015 est la troisième année consécutive de forte croissance pour Bpifrance, avec une progression de l’activité de tous les métiers (jusqu’à 43% pour les prêts à l’innovation, 33% pour le capital innovation direct et 31% pour le capital investissement dans les PME) et une croissance de 10% du résultat net, hors plus-value de transfert des titres Orange en 2014.
Entre 2012, année de la création de Bpifrance, et 2015 les encours bancaires auront notamment progressé de 80%, les investissements annuels auront doublé, de même que les aides à l’innovation.
Ce modèle de croissance est mis en oeuvre en confortant la performance opérationnelle, avec un ROE de 7% pour l’activité de crédit et de 3% pour le capital investissement, métier où Bpifrance opère sur les segments les plus risqués du marché : capital innovation et PME notamment. Les charges et le coût du risque sont maîtrisés pour l’activité bancaire, le coefficient d’exploitation connaissant une baisse de deux points, à 57,8%, et le ratio de coût du risque sur encours étant maintenu à un niveau faible, à 25 points de base.
2015 aura été l’année de la montée en puissance de l’accompagnement des entrepreneurs par Bpifrance autour d’un campus virtuel composé de trois accélérateurs (startups, PME et ETI) ainsi que d’une série d’initiatives de conseil sur tous les facteurs clés de croissance : stratégie, export, innovation, croissance externe, Big Data, design, etc.
En 2016, Bpifrance renforcera encore son action en matière d’accompagnement et, grâce à l’intégration de l’activité de Garantie Publique de Coface, parachèvera la constitution d’une gamme complète de services financiers permettant la projection des PME et ETI françaises dans le monde.