Archives d’Auteur: ibtissambelaib
Ivry-sur-Seine : Sadev 94 livre la plateforme immobilière et de services Charles-Foix
Sadev 94 a livré à la ville d’Ivry-sur-Seine le premier équipement public de la ZAC Ivry Confluences : la plateforme immobilière et de services Charles-Foix, 4 000 m² destinés aux jeunes entreprises.
Sadev 94, maître d’ouvrage, de l’opération a remis les clés de ce nouvel équipement à la ville d’Ivry sur Seine, dont l’exploitation et la gestion ont été confiées à la communauté d’agglomération Seine Amont. Subventionnée en grande partie par le Conseil régional d’Ile-de-France et le conseil général du Val de Marne, la plateforme est le premier équipement public de la Zac Ivry Confluences. Elle est destinée à centraliser et accueillir des entreprises tournées vers l’innovation en gérontechnologie et en biotechnologie du vieillissement, en lien avec l’Institut de la Longévité situé sur le site de l’hôpital Charles-Foix, à Ivry sur Seine. Elle constitue le cœur de la Silver Valley.
>En savoir plus : Télécharger le CP : Ivry Confluences – livraison Charles Foix
>
>Source : www.sadev94.fr
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L’ICM PUBLIE SON RAPPORT ANNUEL 2013
L’Institut du Cerveau et de la Moelle Épinière (ICM) publie son rapport annuel 2013.
Dans le présent document, figurent les chiffres clés, les faits marquants scientifiques qui ont ponctués l’année, la présentation des pathologies et des équipes de l’Institut ainsi que les applications de leurs travaux.
En 2013, une importante conventions de mécénat a été signée au cours de l’année, avec AERKEA Banque Entreprises et et Institutionnels, filiale du Crédit Mutuel ARKEA qui a souhaité s’engager aux côtés de l’ICM en lançant un produit financier « de partage », dont le principe est un reversement d’une part des rendements de placements financiers sous forme de dons à l’ICM.
>En savoir plus : Consulter le Rapport Annuel 2013 de l’ICM
>
>Source : www.icm-institute.org
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ALTAREA COGEDIM : dans le Top 10 mondial du GRESB 2014
GRESB 2014 : ALTAREA COGEDIM, 1ERE FONCIERE EUROPEENNE
Altarea Cogedim se classe dans le Top 10 mondial du GRESB (Global Real Estate Sustainability Benchmark) 2014, avec la neuvième place mondiale pour son patrimoine existant et la quatrième pour ses nouvelles constructions.
Benchmark de référence dans l’immobilier, le GRESB (Global Real Estate Sustainability Benchmark) qui évalue les stratégies et performances développement durable des grands fonds et des sociétés immobilières dans le monde attribue à Altarea Cogedim le niveau Green Star, soit le niveau le plus élevé.
>Pour son patrimoine existant : le Groupe se classe au 9e rang mondial sur 637 acteurs, ce qui positionne Altarea Cogedim comme la 1ere foncière européenne ;
>Pour ses nouvelles constructions : l’entreprise occupe le 4e rang mondial sur 273 acteurs.
Ces résultats exceptionnels récompensent la stratégie développement durable d’Altarea Cogedim initiée en 2010, l’engagement du Groupe en termes de gestion environnementale de ses actifs et son ambition environnementale pour ses nouveaux projets.
« Nous sommes fiers de ces très bons résultats qui révèlent le cap franchi aujourd’hui par le Groupe qui a choisi de structurer ses efforts autour d’enjeux significatifs. Ils récompensent le travail fourni par les équipes d’Altarea Cogedim et prouvent la pertinence des actions que nous menons au quotidien en faveur de la performance environnementale et sociétale. Ce classement traduit enfin toute la dynamique d’Altarea Cogedim mobilisé autour du développement durable, levier d’innovation nécessaire aux métiers du Groupe » déclare Alain Taravella, président-fondateur d’Altarea Cogedim.
>En savoir plus : Télécharger le CP – GRESB 2014 – ALTAREA COGEDIM, 1ERE FONCIERE EUROPEENNE
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Observatoire de la FPI : Les chiffres du logement neuf 1er semestre 2014
Au 2ème trimestre 2014, l’Observatoire de l’immobilier de la FPI enregistre à nouveau un recul substantiel de ses indicateurs avancés : les ventes au détail de logements neufs (19 133 unités) sont en retrait de -8,9% et les mises en ventes (23 635 lancements) de -19,3% par rapport à la même période de 2013. Dans ces conditions, le 1er semestre 2014 s’achève sur un recul de -2,3% des ventes et de -15,5% des mises en vente. Le frémissement de la demande sur le début de l’année (+6% des ventes au 1er trimestre) aura été sans lendemain et l’inexorable chute des mises en vente depuis 2011 plonge le marché dans une situation extraordinairement préoccupante. Dans ce contexte, le plan de relance annoncé par le Gouvernement prend tout son sens. Afin de relancer, dès 2015, la construction et l’économie, il doit être amplifié et mis en œuvre sans délai.
Points clefs
- Chute de l’accession à la propriété : malgré des conditions de financement toujours plus favorables, l’accession enregistre un nouveau recul de -12% au 2ème trimestre. Amorcé depuis le début de l’année, le recul des ventes en accession atteint -7,8% par rapport au 1er semestre 2013.
- La part des investisseurs représente 40% des ventes du semestre. Le taux d’augmentation de 7,4% par rapport au 1er semestre 2013 apparaît toutefois en trompe l’oeil. Le début d’année 2013 avait en effet été marqué par le passage à vide consécutif au changement de régime fiscal du Scellier au Duflot. Bien que l’encadrement des loyers constitue un facteur bloquant pour les investisseurs, la stabilisation du dispositif depuis fin 2013 a permis d’enrayer la chute du volume des investissements, sans pour autant le relancer vraiment.
- Les mises en vente continuent de plonger : avec 43 307 nouveaux logements lancés sur le marché depuis le début de l’année, l’offre nouvelle est en retrait de -15,5% par rapport au 1er semestre de 2013.
Les autorisations de construire connaissent un ralentissement équivalent. - L’offre commerciale est stable avec 89 663 logements disponibles à fin juin 2013, soit 14,6 mois de ventes. Le stock achevé représente 8% environ de l’offre, soit à peine un mois de commercialisation.
Plus de 45% de l’offre est constituée de logements non commencés et susceptibles de ne jamais l’être si au moins 50% du programme n’est pas pré-commercialisé. - Les prix continuent à être stables depuis mi-2012, traduisant tant la rareté de l’offre disponible que l’incompressibilité des coûts de production.
Analyse
Alors que l’on estime à 0,4 point de PIB (Produit intérieur brut) le coût de la dégradation de la construction sur la croissance française, les pouvoirs publics semblent enfin prendre conscience de l’enjeu : après les premières annonces faites avant l’été par le Premier Ministre et la Ministre du Logement et de l’Égalité des Territoires (premières mesures d’allègement des normes, limitation prévue du nombre de parkings par logement dans le projet de loi Simplification, relance de l’accession en zones moyennement tendues, nouveau zonage, allongement possible de la durée de 9 à 12 ans et de l’avantage fiscal de 18% à 21% pour l’investissement locatif), le Gouvernement s’apprête à prendre de nouvelles mesures, notamment pour relancer l’investissement locatif (possibilité de louer aux ascendants/descendants) et débloquer beaucoup plus de terrains constructibles.
Pour le Président de la FPI, François Payelle, « les mesures annoncées par le Gouvernement vont dans la bonne direction. Les pouvoirs publics ont enfin pris conscience de l’ampleur de la crise qui frappe le secteur et menace gravement ses entreprises et l’emploi. Néanmoins, il faut aller beaucoup plus loin et beaucoup plus vite ».
>En savoir plus : Consulter la note en PDF
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>Source : www.fpifrance.fr
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Réforme territoriale : Les Français s’interrogent sur l’identité de leur future région

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La réforme territoriale va encore occuper le devant de la scène médiatique ces prochains mois et les débats seront relancés par le nouveau Sénat issu des élections du 28 septembre. “Les Français veulent cette réforme” a déclaré le secrétaire d’État à la Réforme territoriale. Les citoyens s’y intéressent dans la mesure où elle touche au sentiment d’appartenance régionale de chacun. “Comment s’identifier à un nouveau territoire ? Comment va s’appeler ma région ? Voilà des questions qu’ils adressent aux communicants publics. Dans le cadre de l’opération “Nos régions demain” des citoyens ont pris la parole. Écoutons-les !
La Réforme territoriale instaurant un redécoupage des régions est passée en juillet au Sénat, qui l’a rejetée, et à l’Assemblée nationale, qui l’a adoptée le 23 juillet en redessinant la carte. Nous voilà avec 13 régions, dont 7 sont redessinées et 6 ne changent pas de périmètre.
« Les Français veulent cette réforme » a expliqué, dans un papier publié sur LeMonde.fr le mois dernier, André Vallini, secrétaire d’État à la Réforme territoriale maintenu à son poste dans le Gouvernement Valls II. Les Français seraient sensibles aux économies que doit permettre la fusion de régions. Au travers de l’opération Nos régions demain, dont Cap’Com est partenaire, de nombreux Français ont pu être contributeurs dans ce débat et ont répondu à des questions sur les enjeux de cette réforme. Tirons un premier bilan de cette initiative qui permet de mieux cerner les attentes des citoyens et de les prendre mieux en compte dans la communication publique.
Le principe d’une réduction du nombre des régions semble en effet accueilli favorablement par l’écrasante majorité des contributeurs (90 %). Même la suppression des conseils généraux –programmée pour 2017– suscite l’adhésion d’une majorité de près de 70 % des répondants. Les participants voient avant tout cette réforme comme l’occasion de simplifier notre mille-feuille territorial. Une simplification qui s’accompagne d’une large adhésion à l’idée de décentralisation. Plus de 80 % des répondants considèrent que la réforme doit s’accompagner d’un renforcement de la décentralisation. « Il y a clairement des politiques qui pourraient être assumées au niveau local (le local pouvant être plus ou moins large suivant les territoires et les contextes locaux) », analyse un contributeur. « La fusion des régions n’appelle-t-elle pas à repenser leur rôle et leurs fonctions ? constate un autre contributeur, n’est-elle pas une belle occasion pour reconsidérer la décentralisation ? » Une décentralisation dont les objectifs semblent bien perçus : « Elle devrait inciter à inventer une nouvelle phase dans la territorialisation de l’action publique ». « Elle pourrait participer à la recherche de nouvelles solutions pour résoudre la crise productive », « pour penser la démocratie en mouvement », « pour accroitre les solidarités » !
Quels axes pour communiquer sur les nouvelles identités régionales ?
Mais les débats sur le site font apparaître des espoirs et des interrogations. Et c’est bien autour du sentiment d’appartenance aux régions que se focalisent les échanges. Certains dénoncent un redécoupage qui irait contre l’identité des territoires. « Vouloir rattacher la Picardie à Champagne-Ardenne, c’est aller contre le sentiment profond d’appartenance des Picards ». « Ramener le Gard ou l’Hérault en Midi-Pyrénées est une négation de la réalité culturelle et économique de ce territoire ». Des réactions qui ont été au cœur des actions de nombreux élus opposés au redécoupage imposé.
Mais au-delà, la vraie question que soulèvent les Français est autre. Cette identité régionale est indispensable disent-ils, il faut donc la reconstruire pour chacun des nouveaux territoires. C’est là une tâche essentielle qui va incomber à tous les communicants publics de ces territoires.
Pour communiquer sur l’identité régionale, plusieurs enseignements peuvent être tirés des riches débats initiés par Nos régions demain.
La notion de proximité reste centrale.
L’exigence de « proximité » est rappelée assez systématiquement. Plus d’un tiers des contributeurs craignent que la réforme conduise à une diminution des services de proximité. L’objectif doit être d’assurer le meilleur maillage des services publics sur le territoire, « notamment en zone rurale et périurbaine ». Il y a une crainte d’être laissé pour compte dans le cadre d’une région élargie qui perdrait de la proximité. L’identité des grandes régions se construira sur des identités plus locales semblent dire les contributeurs.
Les questions économiques sont primordiales.
Certes, la réforme doit permettre des économies budgétaires en réduisant le mille-feuille et derrière cela c’est la perspective d’une diminution des impôts qui est imaginée. Mais les redécoupages doivent d’abord permettre le développement économique des régions et donc l’emploi. La cohérence économique de certains redécoupages est recherchée, la taille des régions est justifiée au regard de la concurrence des grandes régions européennes. La grande majorité des contributions privilégie les critères économiques pour justifier le rapprochement des territoires.
La place des villes est essentielle.
Le sentiment d’appartenance régional semble fortement lié à la métropole qui en porte l’image. Le débat est donc animé autour du destin des villes dans les cas de fusions de régions. La rivalité entre Dijon et Besançon pour la fusion Bourgogne/Franche-Comté, la capitale de la Normandie, une possible marginalisation de Limoges, l’articulation du réseau de villes de l’Est (Metz, Nancy, Strasbourg, Reims, Troyes). Trois quarts des contributeurs pensent que l’organisation des future régions doit se faire autour des grandes villes.
L’organisation de débats locaux est attendue.
Les Français ont le sentiment que la réforme tient un peu du bricolage entre les élus. Le débat démocratique fut inexistant. « Le découpage s’est fait dans les bureaux du gouvernement », « Le débat a été mené au grand galop et orienté sur la seule question du redécoupage des régions ». Faut-il alors initier un référendum, s’interrogent les contributeurs. Une éventuelle consultation nationale pourrait laisser prévoir un rejet global des redécoupages proposés, comme le précédent alsacien l’a montré, constatent certains. Une consultation sur la carte régionale semble impossible. Mais une concertation sur les compétences de chaque échelon et leur organisation au niveau local, semble souhaitée. C’est au sein des régions, c’est au niveau local que doit être organisé le débat démocratique, affirment deux tiers des contributeurs. Rôle des métropoles, devenir de l’intercommunalité, modes d’élection, réduction des inégalités entre les territoires… de nombreux sujets restent à mettre en débat. C’est localement que pourraient avoir lieu des consultations sur ces questions. Une personne sur deux est favorable à l’idée d’organiser des référendums au niveau des régions.
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