Archives du 1 octobre 2019
Le Congrès national des Entreprises publiques locales 2019 met l’Europe et le Grand Est à l’honneur @FedEpl @SalonEpl @strasbourg
Source : Fédération des Epl

Le Palais de la musique et des congrès de Strasbourg accueillera du 8 au 10 octobre le Congrès et le Salon des Entreprises publiques locales (Epl). Plus de 1 500 congressistes et 50 exposants sont attendus au cœur de l’Eurométropole, au sein d’un équipement récemment rénové et géré par la Sem Strasbourg Evènements, afin de souligner notamment les apports du cadre européen au développement des territoires.
« L’année 2019 s’est ouverte comme la précédente sur une mobilisation sans relâche du mouvement des Epl et de ses représentants, qui a permis de réaffirmer le rôle fondamental des élus et des collectivités locales », souligne Jean-Marie Sermier, président de la Fédération des Epl. En savoir plus
Métropole de Lyon : création d’un office foncier solidaire @villedelyon @grandlyon @cmarkea
Arkea E&I Congres Hlm – septembre 2019

La Métropole de Lyon est une collectivité territoriale unique en France, créée par la fusion de la Communauté urbaine de Lyon et du Conseil général du Rhône sur les 59 communes qui composent le territoire du Grand Lyon. Un territoire de 550 km2 accueillant 1,4 million d’habitants.
Rencontre avec Michel Le Faou, adjoint au maire de Lyon et vice-président de la Métropole de Lyon en charge de l’urbanisme et renouvellement urbain, Habitat et Cadre de vie.
Nous traitons actuellement plusieurs sujets en lien avec les questions de l’urbanisme et de logement. Cet été, notre nouveau document d’urbanisme est devenu opposable. Il s’agit du PLU (plan local de l’urbanisme) et de l’habitat le plus important de France sur ces sujets, en nombre de communes concernées, d’habitants et au regard des thématiques embrassées.
Autre actualité importante pour cette fin d’année, la création d’un office foncier solidaire qui nous permettra de construire du logement abordable à l’accession pour certains de nos concitoyens. Avec un objectif modeste dans un premier temps, réaliser d’ici deux à trois ans environ 1 000 logements par an, ce qui représente un peu plus de 10 % de la production globale de la métropole. L’enjeu de ce nouvel office foncier solidaire est également de maintenir un cœur d’agglomération équilibré.
Réduire les écarts entre les territoires
Un projet me tient particulièrement à cœur, celui des actions que nous menons au titre du renouvellement urbain. Nous allons en effet transformer en profondeur quatorze quartiers issus de la politique des grands ensembles des années 1960-1970, en opérant un certain nombre de démolitions et de reconstructions. Déjà lancé, ce dispositif commence à monter en puissance. Là aussi, notre volonté est de rééquilibrer : notre territoire est constitué de cinquante-neuf communes, mais sept d’entre elles concentrent 70 % de l’offre de logements sociaux et cette situation n’est pas vivable de façon pérenne. Cette forte politique de rénovation est très importante pour la métropole, avec un dispositif partenarial dans lequel s’engagent des partenaires institutionnels, notamment l’État via l’ANRU (Agence nationale pour la rénovation urbaine) et des bailleurs sociaux. Je pense donc que nous serons vraiment au rendez-vous en la matière…
ARPEJ : Une solution pour trouver un logement étudiant @ArpejOfficiel @cmarkea
Congrès HLM septembre 2019

Les chroniques d’Arkea E&I : Rencontre avec Anne Gobin, Directeur général d’ARPEJ. ARPEJ est une association loi 1901 fondée en 1989 à l’initiative de la Caisse des Dépôts et Consignations. Elle est spécialisée dans la gestion de logements temporaires dédiés à des étudiants, jeunes actifs et chercheurs de moins de 30 ans. Rencontre avec Anne Gobin, directeur général.
La particularité d’ARPEJ repose sur le fait que nous sommes uniquement gestionnaires, jamais propriétaires. Et que nous avons un projet associatif, ce qui fait toute la différence. Ainsi, nous avons fait le choix d’investir tous nos résultats – nous ne bénéficions d’aucune subvention –, excepté le développement, dans ce projet qui vise à favoriser l’accompagnement de nos locataires.
Nous gérons 9 200 logements et 10 000 places, 54 des 65 résidences sont situées en Île-de-France, 11 en région. Pour autant, nous sommes convaincus que les besoins ne sont pas seulement franciliens. C’est pourquoi nous réfléchissons actuellement à nous implanter dans de grandes métropoles comme Lille, Bordeaux, Lyon, Toulouse…
Notre actualité phare, même si elle n’est pas tout à fait nouvelle, est de déployer notre projet associatif. Pour cela, nous souhaitons créer une résidence laboratoire pour prospectiver le logement étudiant de demain, et prendre en gestion 700 logements supplémentaires par an, afin de contribuer au plan des 60 000 logements pour étudiants et des 20 000 pour les jeunes actifs qui doit être produit sur le quinquennat actuel. Un développement intense donc, pour permettre de satisfaire le plus grand nombre de jeunes puisque pour eux, faire des études ou débuter une carrière est souvent assujetti au fait d’avoir un logement. Lorsque vous arrivez en période d’essai sur l’Île-de-France, vous ne pouvez pas espérer accéder à un logement social, et ce pour deux raisons. D’une part, il n’y a pas suffisamment d’offre, d’autre part, qui accordera sa confiance à quelqu’un qui n’est pas encore confirmé ?
Bien évidemment, nous ne pouvons atteindre seuls nos objectifs. C’est la raison pour laquelle nous nous appuyons sur nos partenaires incontournables, les propriétaires des murs que nous gérons, soit les vingt-trois bailleurs sociaux avec qui nous collaborons. D’où notre présence aujourd’hui au Congrès de l’USH.
Notre actualité est également de construire des partenariats les plus nombreux possible avec des maîtres d’ouvrage, puisque c’est aussi ça le sens de l’histoire, et de faire en sorte que des collectivités souhaitent travailler avec nous.
Dans cet objectif toujours de répondre au plus près aux besoins des étudiants et de les accompagner durant cette période particulière de leur vie, grâce à notre offre de logements et aux projets que nous développons avec eux, soutien de leurs propres projets associatifs, jardins partagés, espaces communautaires…
Budget 2020 : le bâtiment en colère
Source : Fédération Française du Bâtiment

Le projet de loi de finances (PLF) pour 2020 dévoilé par le gouvernement révèle un tir croisé sur le secteur du bâtiment et ses marchés.
Outre les mauvaises nouvelles concernant la complexité et la baisse des aides lors de la transformation du CITE en prime, il confirme la suppression du PTZ neuf hors grandes agglomérations. La fracture territoriale s’en trouvera accentuée et le mitage du territoire, accéléré.
Par ailleurs, les artisans et entrepreneurs du bâtiment subiront une double peine dans leur cycle d’exploitation. Premièrement, avec la suppression de l’accès au gasoil non routier (GNR)…lire la suite du communiqué de presse