125% augmentation annuelle des réservations – Tiny Houses
Archives de l'année 2018
Quels sont les logements tendance pour 2019 ? @airbnb_fr
Source : airbnb
Partout dans le monde, les voyageurs ont parlé : des micro-maisons, des séjours de plein air et des aventures en totale déconnexion feront la tendance sur Airbnb en 2019. Qu’il s’agisse de se déconnecter complètement dans une cabane de berger à la campagne anglaise ou de se réfugier dans une maison cycladique en bord de mer en Grèce, les voyageurs recherchent un logement qui leur permette de se rapprocher de la nature.
Les mini-maisons arrivent en tête pour 2019. Elles offrent aux voyageurs en quête d’un style de vie minimaliste de petits espaces élégants où s’installer confortablement.
Un parc de 3,5 millions de logements dans la Métropole du Grand Paris @_Apur_
Comprendre comment est occupé le parc de logements existants dans la Métropole du Grand Paris est un enjeu majeur pour identifier des leviers d’action et mettre en œuvre une politique adaptée. Cette note est extraite du diagnostic du Plan métropolitain de l’habitat et de l’hébergement (PMHH) que la Métropole du Grand Paris élabore actuellement. Elle propose un état des lieux du logement dans la MGP et dresse les tendances et évolutions en cours.
Les résidences principales représentent 89 % des logements mais leur nombre a augmenté un peu moins vite que le parc de logements dans sa totalité. Leur part dans l’ensemble des logements a même un peu reculé au cours de la période récente (2008-2013). Ce recul s’effectue au profit des logements inoccupés, et plus particulièrement des résidences secondaires et des logements occasionnels, dont font partie les locations meublées de courte durée.
Autre caractéristique de la Métropole du Grand Paris, la part des ménages propriétaires est moindre que sur le reste du territoire. Les 3,1 millions de résidences principales de la MGP sont occupées à 40 % par leur propriétaire, les autres ménages se répartissant entre 33 % de locataires d’un logement privé, 24 % de locataires du parc social et 3 % de ménages logés gratuitement. Ces dernières années, la propriété occupante marque le pas alors que le parc social progresse et que le parc privé baisse très légèrement et surtout se modifie dans sa composition, avec la montée de la location meublée.
Coworking : une tendance qui s’installe dans l’univers du marché de bureaux @SeLoger
Une diversité de profils des occupants des espaces de coworking
En 2014, lorsque ces espaces partagés sont apparus dans la capitale, les précuseurs comme Nextdoor à Issy-les-Moulineaux visaient une clientèle de start-up, de travailleurs indépendants ou de très petites entreprises. Si selon la toute dernière étude Cushman & Wakefield, 50 % des occupants proviennent de ces profils, l’autre moitié se recrute dans des entreprises moyennes soucieuses de flexibilité mais aussi des grandes entreprises qui externalisent certaines missions hors du siège pour travailler en mode projet ou qui veulent favoriser des synergies avec des start-ups. Cette même étude rappelle que les attentes des utilisateurs se focalisent autour de six enjeux principaux :
• Une installation rapide, type « Plug’n work ».
• Une maîtrise des coûts.
• Des espaces évolutifs.
• Une adaptabilité au potentiel de croissance des équipes.
• Une flexibilité en termes de durée d’engagement.
• Un système informatique sécurisé.
Grand Paris Aménagement : 3 labels EcoQuartier sinon rien ! @gpamenagement @thierrylajoie
Source : Grand Paris Aménagement
Le 13 décembre, trois opérations d’aménagement conduites par Grand Paris Aménagement ont franchi un nouveau cap dans la labellisation de la démarche EcoQuartier : le quartier des Meuniers à Bessancourt et le quartier Charles Renard à Saint Cyr l’Ecole sont labellisés étape 2. Le quartier du Parc de Maison de Blanche à Neuilly-sur-Marne s’engage dans la démarche EcoQuartier et est labellisé étape 1. Au total 11 opérations menées par Grand Paris Aménagement sont engagées dans la démarche EcoQuartier.
Trois labels écoquartier sinon rien : Initiée en 2009, la démarche ÉcoQuartier s’est d’abord concrétisée au travers de deux appels à projets en 2009 et 2011 qui avaient pour objectif de valoriser et de mettre en avant des opérations exemplaires en matière de développement durable.
En 2010, le ministère a souhaité mutualiser les connaissances acquises pour dynamiser le mouvement sous la forme du Club national ÉcoQuartier. Lieu d’échanges au- tour des bonnes pratiques, le Club a été lieu d’élaboration d’un référentiel commun construit sur des critères opérationnels faisant consensus au sein des acteurs publics et privés de l’aménagement.
Le 14 décembre 2012, le label national ÉcoQuartier était officiellement lancé avec trois objectifs :
encourager des projets d’aménagement durable ;
garantir la qualité́ des projets et des réponses contextualisées apportées par les acteurs du territoire aux 20 engagements du référentiel ;
pérenniser la démarche en faisant levier sur les politiques de développement territorial.
La campagne de labellisation se décompose en 4 étapes correspondant aux différents stades du projet : l’idée et la conception, la mise en chantier, la vie de quartier, l’amélioration continue avec et pour ses usagers.