Archives du 24 avril 2018

.@GrandParisMGP : Nouveau bureau du Conseil de développement de la Métropole du Grand Paris (CODEV)

Conseil de développement de la Métropole en action :
des propositions et avis exigeants, des nouvelles nominations et un nouveau Bureau.

Un an après son installation, le Conseil de développement de la Métropole du Grand Paris, présidé par Méka BRUNEL, Directrice générale de Gecina, apporte à la construction de la Métropole, un concours utile et apprécié par les élus.
Un Conseil de développement (CODEV) force de propositions
Les avis du CODEV sont attendus, comme en témoigne la présence régulière d’élus métropolitains à ses assemblées. Les 4 avis déjà rendus ont été adoptés à l’unanimité des membres présents. Le plus récent, adopté le 4 avril dernier en présence de Patrick OLLIER, Président de la métropole, était dédié au projet de Plan Climat Air Energie métropolitain adopté par le conseil métropolitain en décembre 2017. Le Président OLLIER a annoncé aux membres du CODEV, que les observations et les conclusions émises par le CODEV seront étudiées de près pour finaliser le PCAEM, qui fera l’objet d’une adoption définitive par le Conseil métropolitain, à l’automne.

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Paris : 7 arrondissements dépassent la symbolique barre des 10 000€ du m2 @seloger

source : se loger

Immobilièrement parlant, les prix au m² dans la capitale continuent de prendre rapidement de l’altitude et de se rapprocher de la stratosphère. La question n’est plus désormais de savoir quels arrondissements voient les prix de leurs logements augmenter mais lesquels enregistrent les plus fortes progressions.

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Dans 3 arrondissements, la hausse des prix au m² dépasse 10 % sur l’année

Alors qu’au global, Paris enregistre une hausse annuelle de 8 %, certains de ses arrondissements font encore plus fort ! Jugez plutôt, dans les Ier (Les Halles, Palais-Royal), VIIe (Invalides, École-Militaire) et XVIIIe (Lamarck-Caulaincourt, la Goutte-d’Or) arrondissements, les prix des logements gagnent plus de 10 % sur les douze derniers mois. Avec un gain annuel de 9,2 % et de 9,6 %; les VIe et XI avoisinent les 10 % de hausse, réalisant ainsi de solides progressions. Encore une fois, aucun des vingt arrondissements que compte Paris ne voit les prix de son immobilier ancien baisser. Quant à la progression la plus faible (enfin, si l’on peut dire…), c’est dans le IIIe qu’elle a été relevée. Du passage de l’Ancre à la rue du Bourg-L’Abbé, en passant par la rue de Turbigo et le boulevard de Sébastopol, les prix des appartements n’augmentent « que » de 3,5 %.

Des prix au-delà de 10 000 € au m² dans 1/3 des arrondissements parisiens

Cela ne vous aura pas échappé : qu’il s’agisse d’investir dans la pierre locative ou tout simplement de se loger, devenir propriétaire d’un appartement à Paris coûte cher. Très cher, même. Pour preuve de cette flambée des prix immobiliers parisiens, le club fermé des arrondissements dont le ticket d’entrée dépasse les 10 000 € du m² n’est plus si fermé que ça… En font désormais partie pas moins de 7 arrondissements. Il s’agit des IIIe (10 387 € du m²), IVe (11 673 €), Ve (10 960 €), VIe (13 012 €), VIIe (13 131 €), VIIIe (10 924 €) et XVIe (10 803 €) arrondissements. Et comme le fait remarquer Michel Mouillart, professeur d’économie à l’université Paris-Ouest et porte-parole du baromètre LPI-SeLoger, les prix « se rapprochent des 10 000 € du m² dans trois arrondissements » : les IIe (9 973 €), IXe (9 707 €) et XVIIe (9 772 €).

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Un lien entre l’accession à la propriété et le chômage ? @InseeFr

Source : Insee

Depuis déjà 50 ans, le nombre de propriétaires est en grande hausse. Mais alors, cette accession à la propriété aurait-elle des effets défavorables et négatifs sur l’emploi ?

Insee

Si le statut de propriétaire est généralement associé à une meilleure situation sur le marché du travail, une augmentation de la densité de propriétaires au niveau local va pourtant de pair avec une hausse du taux de chômage. Ce paradoxe, mis en évidence dans de nombreux travaux, est examiné ici pour la France, où la propriété s’est considérablement développée depuis cinquante ans. Il peut se comprendre comme la résultante de deux effets.

D’une part, les propriétaires sont effectivement moins souvent au chômage que les locataires : une plus forte densité de propriétaires joue dès lors mécaniquement à la baisse sur le taux de chômage. D’autre part, une forte densité de propriétaires peut engendrer des tensions sur le marché du logement : ces tensions sont susceptibles de compliquer la recherche d’emploi des chômeurs, par exemple en limitant leurs opportunités de trouver un logement à proximité des offres d’emploi. Les données des recensements successifs de la population entre 1968 et 2011 permettent d’estimer l’ampleur de ces effets pour la France. Il en ressort que le second effet l’emporte sur le premier : en particulier, une hausse de 10 points de la densité de propriétaires au niveau local serait associée à des frictions sur le marché du travail accroissant d’environ 1,3 point le taux de chômage local. La résultante des deux effets serait néanmoins d’ampleur modérée, à hauteur de 0,6 point sur le chômage local.

Des interactions entre marché du logement et marché du travail

Au-delà des réformes spécifiques du marché du travail, la mobilité géographique et professionnelle des travailleurs est souvent avancée parmi les pistes propres à réduire le taux de chômage (Amara et al., 2016).

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