Archives Mensuelles: janvier 2018
La data au coeur de la ville intelligente @HubSmartCity
Source : hub-smartcity
En quelques années, le concept de « Smart City » est donc devenu concret. Faisons le point sur cette transformation en profondeur des villes que nous connaissons. Partout dans le monde, les villes intelligentes se développent de plus en plus. En France par exemple, 14 des 25 Smart Cities françaises ont moins de 250 000 habitants.
Une transformation globale
70% des habitants vivront en ville en 2040. Pour que tout le monde puisse cohabiter sans épuiser les ressources de la planète, le concept de ville intelligente a été créé. Il se propose comme une solution idéale pour « vivre mieux ».
Une Smart City possède en effet plusieurs enjeux :
- Economique : La Smart City a pour ambition de rebooster l’économie d’un pays grâce aux innovations. Ces dernières permettent d’ailleurs de créer de nouveaux emplois.
- Ecologique : avec une consommation d’énergie par foyer qui ne cesse d’augmenter, l’idée est de limiter les rejets de CO2. Modérer les déplacements, surveiller la qualité de l’air et le trafic routier sont des mesures pouvant être mises en place pour palier ça.
- Technologique : Développer l’open data pour analyser les besoins et la consommation de chaque individu, et permettre une interaction intelligente entre citoyens et administrations. Des données sont ainsi collectées à travers la ville. Par la suite, elles sont mises à disposition des habitants, et utilisées pour optimiser les services proposés par la ville.
Logements non occupés : le problème s’aggrave dans les villes moyennes et petites…@Galivel @FNAIM
Logements non occupés : le problème s’aggrave dans les villes moyennes et petites…
SOURCE : Une étude de la FNAIM sur 15 ans
Entre 1999 et 2014, le taux de vacance s’est accru de 1 % en moyenne dans l’Hexagone, passant de 6,9 % à 7,9 %, soit 700.000 logements supplémentaires inoccupés. Principalement touchés par ce phénomène d’augmentation de la vacance : les centres urbains des petites et moyennes agglomérations qui vont devoir prendre des mesures pour stopper cette hémorragie…
Comme on l’imagine, cette évolution du taux de vacance moyen cache des disparités entre territoires. Si elle est deux fois plus élevée (+ 2 %) dans les agglomérations de moins de 200.000 habitants, elle est égale à la moyenne nationale dans les agglomérations comptant entre 200.000 et 500.000 habitants, mais est inférieure dans les zones urbaines très peuplées. La vacance n’augmente pas dans les agglomérations affichant entre 500.000 et 2 millions d’habitants et baisse dans l’agglomération parisienne (- 1,5 %).
En 2014, il y avait en France 2,7 millions de logements vacants.
1. MOINS LA ZONE EST URBANISÉE, PLUS LE TAUX DE VACANCE EST IMPORTANT.
Le taux est de 6,8 % en moyenne, en 2014, dans les aires urbaines de plus de
500.000 habitants, à l’exception notoire des agglomérations d’Avignon et de Saint-Étienne dont les taux de vacance se situent respectivement à 9,4 % et à 9,5 %. À l’opposé, la vacance est faible dans les agglomérations de Nantes (5,4 %), Bordeaux (5,6 %), Rennes (6,3 %) et Paris (6,4 %).
Dans les aires urbaines entre 200.000 et 500.000 habitants, le taux dépasse les 7 %.
Notons que le taux dépasse même 10 % à Mulhouse et Pau et 9 % à Perpignan et Metz.
Dans ces 4 cas, la vacance est beaucoup plus élevée dans le pôle urbain (central) que dans les périphéries où elle reste modérée.
Dans les aires urbaines entre 100.000 et 200.000 habitants, le taux de vacance dépasse 8 % dans la moitié des 29 aires étudiées et même 10 % dans 6 d’entre elles : Tarbes, Béziers, Brive, Roanne, Bourges et Agen. Il est presque partout en hausse, parfois très fort comme à Montbéliard et Sarrebrück-Forbach. Comme précédemment, il est nettement plus élevé dans les pôles urbains que dans leurs couronnes….En savoir plus …..
Collectivités : les financements alternatifs ont le vent en poupe !
Lisez cette brève sur la Plateforme des Institutionnels
Retour sur 3 témoignages d’experts
Source : Af2i
Depuis quelques années, le métier de la banque a dû faire face à de profondes mutations. L’hyper-réglementation imposée par la crise financière a ouvert la voie à de nouveaux entrants plus agiles et rapides. En matière de crédits, le monopole bancaire est de plus en plus fragilisé, les plateformes de financements participatifs poursuivant leur montée en puissance, en s’appuyant sur des innovations technologiques. Le financement de l’économie réelle est devenu une solution d’investissement face au contexte de taux bas et grâce au développement de nouveaux types de formats tels que l’Euro PP, FCT, FIA,….
Le Crédit Mutuel Arkéa entretient depuis toujours une vraie culture technologique et capitalise sur l’innovation. La plateforme des institutionnels est une alternative, simple et transparente, au financement bancaire traditionnel. Elle finance ainsi l’économie réelle.
Retour sur l’interviews de trois experts, côté:
- Banque : Pierre-Eloi Acar, directeur de la plateforme des institutionnels, Arkea Banque Entreprises et Institutionnels
- Émetteur : Fabien Seguineau, directeur général adjoint de la ville de Créteil
- Investisseur : Stanislas Boutmy, responsable investissement – secteur public, ACOFI
Région Occitanie engagée pour la transition énergétique @Occitanie @RTE_SudOuest

Ambition : faire de l’Occitanie / Pyrénées-Méditerranée la première Région à énergie positive d’Europe en 2050.
Vendredi dernier, 12 janvier 2018, la Présidente de la Région a rencontré à Toulouse le président d’un opérateur-clé, le gestionnaire du réseau de transport d’électricité français RTE.
C’est sur le site RTE de la Cépière à Toulouse – l’un des sept centres de dispatching en France – que le président du gestionnaire du réseau de transport d’électricité François Brottes a reçu ce vendredi 12 janvier la présidente de la Région Carole Delga. RTE surveille et pilote le système électrique français, en répartit les flux à travers 105 000 km de lignes et 2 710 postes de transformation électriques. Il gère aussi les interconnexions frontalières, notamment avec l’Espagne.
Pour faire avancer la transition énergétique, la Région collabore avec RTE dans plusieurs domaines. L’opérateur a notamment été associé aux travaux d’élaboration de la trajectoire « Région à énergie positive » à l’horizon 2050, qui implique la réduction de 40 % des consommations énergétiques régionales et la multiplication par trois de la production d’énergies renouvelables sur le territoire.
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