Archives du 9 février 2015

Brest Tech devient Brest Tech +

http://www.bresttech.com

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Suite à la visite de la mission French Tech le 21 octobre dernier, Brest métropole et ses partenaires ont déposé une nouvelle version du dossier de candidature pour la prochaine vague de labellisation.

En devenant Brest Tech +, cette candidature prend une nouvelle dimension puisque le dossier intègre les acteurs privés et publics de l’écosystème numérique de Lannion, Morlaix, Quimper.

Cette candidature mobilise ainsi à l’échelle de l’Ouest breton les structures dédiées à l’accompagnement d’entreprises ou l’innovation (technopôles, cantines, accélérateurs privés) ainsi que les acteurs privés et publics qui s’engagent pour la création et le développement des startups et la croissance des entreprises et de l’emploi dans le secteur numérique.

Brest Tech +, ce sont désormais 1 620 établissements et 16 000 emplois liés au numérique au cœur de la filière ou dans des secteurs d’excellence que sont le maritime, la banque/assurance, la santé, le tourisme, l’agro-alimentaire…

Cette candidature illustre aussi la volonté de Brest, Lannion, Morlaix, Quimper, qui coopèrent déjà dans le cadre d’ententes intercommunautaires, de se mobiliser pour le développement de l’Ouest breton.

Crédit Mutuel Arkea : ambassadeur de Brest Tech

Olivier Kientz : Nouveau directeur Financier de la Fédération OPH

Ce début d’année 2015 a vu le départ en retraite de Jean-Claude Pathé, directeur général adjoint de la fédération depuis 14 ans. A ce poste, il supervisait et animait tout le dispositif d’expertise financière fédérale, tout en contribuant à définir et appliquer les orientations de la Fédération. Auparavant, il aura œuvré pendant 15 ans au sein de l’USH, où il était déjà en lien avec la Fédération des Offices d’ailleurs. Au final, Jean-Claude Pathé aura consacré trente ans de sa carrière à l’USH et à la fédération confondues.
Il est remplacé par Olivier Kientz, au poste de directeur des missions d’expertises comptables et financières et des études économiques. Diplômé de l’ESSCA, il a travaillé 26 ans à la Caisse des dépôts. Il connaît donc bien le monde HLM. Jean-Claude Pathé et Olivier Kientz ont de plus travaillé de concert tout le mois de janvier, pour un passage de relais en douceur.

A noter que le poste de directeur général adjoint est occupé par Jean-Christophe Margelidon, jusqu’ici directeur juridique et RH de la Fédération.

Le 3 février s’est déroulé une petite cérémonie d’adieux à Jean-Claude Pathé, dans les locaux de la Fédération à Paris. Une soirée conviviale où les remerciements et hommages au professionnalisme et à la compétence du désormais retraité ont été unanimes.

Source : fédération OPH

Transformation de la caserne de Reuilly : un site web dédié !

Source : site de Paris Habitat

Le site Internet dédié au projet d’aménagement de la caserne de Reuilly est mis en ligne depuis le mois de janvier

​Le site Internet dédié au projet d’aménagement de la caserne de Reuilly est mis en ligne depuis le mois de janvier : http://casernedereuilly.parishabitat.fr. Il sera mis à jour au fur et à mesure de l’avancée du projet, vous permettant ainsi de suivre au plus près l’actualité de la caserne. Nouveauté ! Le site vous donne accès au suivi en direct du chantier. Deux webcams, installées à proximité, transmettent des photos prises en temps réel.

Arkéa Assistance franchit la barre des 8 000 abonnés de téléassistance

Brest, le 9 février 2015 –

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Les résultats commerciaux 2014 d’Arkéa Assistance, la filiale de téléassistance du Crédit Mutuel Arkéa, confirment la forte croissance de son activité.
Créée il y a seulement 3 ans, Arkéa Assistance affiche une progression soutenue de son activité de téléassistance, avec 4 200 nouveaux abonnés en 2014, soit une croissance de plus de 16 %. Ces résultats reflètent la demande croissante des personnes âgées ou isolées pour sécuriser leur quotidien, et le bien-fondé de la démarche d’Arkéa Assistance, basée sur l’innovation technique au service de l’entraide et de la solidarité.
La société de téléassistance compte aujourd’hui 8 000 abonnés actifs répartis dans l’ensemble des départements métropolitains. En 2014, plus de 65 700 alertes ont été traitées par le centre d’écoute, soit un rythme moyen d’une alerte toutes les 8 minutes. Lire la suite

Idée reçue n°8 sur les Hlm : « Une nébuleuse d’organismes »

Source : site Union Sociale de l’Habitat

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On entend ici et là que les organismes Hlm en France seraient trop nombreux, qu’ils seraient trop petits pour être efficaces, que le périmètre de leurs missions serait flou, et leur fonctionnement interne opaque.

755 organismes au plus près des territoires

On dénombre aujourd’hui 755 organismes Hlm. Un nombre important si on le rapporte aux 26 régions de métropole et d’outre-mer dans lesquelles ils sont disséminés, mais raisonnable si l’on considère l’importance dans ce secteur d’une gestion de proximité. Il y a en France près de 1 000 villes de plus de 10 000 habitants et le parc Hlm, qui accueille 10 millions de personnes dans ses 4,3 millions de logements sociaux, ne peut être géré de manière centralisée. De plus, une rapide comparaison européenne permet de relativiser cette idée reçue. Les organismes de logement social français sont proportionnellement moins nombreux et de taille plus importante que la plupart de leurs homologues européens : 3 000 bailleurs sociaux en Allemagne pour 6 millions de logements, 1 200 bailleurs sociaux agréés en Angleterre pour un parc de 2,5 millions de logements, 700 au Danemark pour 540 000 logements ou encore 300 en Suède pour 730 000 logements. En France, il existe trois familles d’organismes Hlm qui produisent et gèrent du logement locatif :

Les Offices Publics de l’Habitat sont le fruit de l’initiative publique. Créés soit par le département soit par la commune, ils sont liés aux territoires par nature.
Les Entreprises sociales pour l’habitat sont de droit privé, quoique à but non lucratif comme tout le secteur Hlm. Elles couvrent souvent plusieurs territoires, notamment lorsqu’elles sont constituées en groupes, et doivent donc en permanence combiner leur stratégie nationale et les approches territoriales de leurs programmes.
Quant aux Coopératives dont l’ancrage territorial est très fort, elles sont davantage spécialisées dans l’accession sociale et l’accompagnement des acquéreurs.
Ce dispositif n’est pas figé, il s’adapte à l’évolution et aux besoins des territoires. Des regroupements ont déjà eu lieu pour s’adapter par exemple aux rapprochements de communes ou pour optimiser la gestion du patrimoine.

mais… Des efforts de réorganisation qui restent à faire

Sur quelques territoires, la coexistence de très nombreux organismes est une source de complexité pour les pouvoirs publics et les collectivités locales donneurs d’ordre. Par ailleurs, certains organismes connaissent des difficultés de fonctionnement liées à la limitation de leurs ressources financières (recrutements, fonctionnement, investissements). Les réponses à ces enjeux doivent prendre en compte à la fois la spécificité des territoires et la nécessité d’une gestion au plus près des habitants. C’est pourquoi le regroupement forcé d’organismes peut s’avérer contre-productif selon le contexte local. Mais d’autres solutions sont possibles : la mise en commun d’un certain nombre de fonctions supports (RH, comptabilité…), afin de réaliser des économies d’échelle, et la recherche de coopération et de synergie entre organismes pour répondre aux demandes des élus et des pouvoirs publics, en rapport avec l’analyse des besoins des territoires.

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