Archives du blog
Villes aimables : « Kiffez » vos territoires ! »
Source : Universités d’Eté des Urbanistes 2017
21èmes Universités d’Été des Urbanistes à Brest du 30 août au 1er septembre sur le thème :
« Villes et campagnes aimables : « Kiffez » vos territoires !
Programme en téléchargement ici
https://plus.google.com/107146227449191020933/« >Mon profil Google
http://leblogdesinstitutionnels.fr/about-me » rel= »author »> Ma bio en résumé
L’innovation au sein des quartiers : Quelle répartition ?
Source : demainlaville.com
L’innovation est aujourd’hui la clé de développement des quartiers. Cependant elle n’est pas souvent à la portée de tous. Certains quartiers, malgré leur volonté d’innover sont vus limiter par leur retards de développement. Comment l’État s’occupe-t-il des tissus urbains défavorisés ?
Les quartiers prioritaires regorgent d’innovation
Ces nouveaux quartiers prioritaires de la ville sont des territoires en situation de fragilité économique et sociale, généralement des quartiers résidentiels avec un tissu commercial faible. Les difficultés (moindre sécurité financière, moindre accès aux réseaux d’affaires, discriminations…) rencontrées par les entrepreneurs de ces quartiers constituent des obstacles fréquents que d’autres acteurs ne rencontrent pas ou beaucoup moins.
Lire aussi :
La smart city fait le pari de l’open data @caissedesdepots
Source : Caisse des Dépôts
La smart city, ce concept d’origine anglo-saxonne, fait référence à l’écosystème technologique mis à la disposition des villes pour optimiser les coûts, organiser la ville et améliorer le bien-être des habitants.
La smart city, c’est plutôt une question qu’une réponse, d’où la difficulté d’en proposer une définition aujourd’hui. La seule chose qu’ont en commun les définitions de la smart city, c’est que le système des objets est là, avec les capteurs, avec les caméras, avec les téléphones mobiles – tous des instruments d’échange de datas. C’est une donnée de base prise en compte par toutes les définitions. Et puis derrière il y a cette question assez ouverte : qu’est-ce que la data, et qu’est-ce qu’on va en faire ?
Quel rôle et quelle place pour la data dans la smart city ?
Ce qui est certain c’est que le coup est parti : un certain nombre d’acteurs se sont déjà saisis de cette donnée, en ont construit des modèles. Et à partir de ça ils ont façonné une logique, des services, qui appellent beaucoup de questions. Prenons Waze par exemple. Ce service est utilisé de manière universelle, on a 70 millions d’abonnés à Waze dans le monde. Il est clair que cet accès à la donnée confère des pouvoirs qui sont assez considérables. Waze détient une information dont on peut comprendre la valeur. Il y a 3 niveaux de valeur dans Waze : le fait que la donnée soit dynamique, cinétique : je peux observer vos déplacements, leur vitesse, et je peux en inférer un certain nombre d’informations. C’est l’ouverture vers la modélisation. C’est le premier gisement de valeur. Le second gisement, c’est de croiser ces données avec d’autres données, avec la localisation mais aussi avec d’autres informations contextuelles. On va enrichir cela et ça peut aller très loin. Plus je vais pouvoir croiser cette donnée, plus sa valeur va augmenter. Ensuite il y a l’intelligence que les hommes vont pouvoir apporter là-dessus par les algorithmes et d’autres instruments qui vont permettre d’amplifier la valeur. Et ensuite la valeur ça va être le modèle économique qu’on va construire autour de ça, sachant que la finalité de Waze comme de sa maison mère Google ça va être de les revendre à des acteurs du monde du marketing, de la communication et de la publicité. Lire la suite
« Les Dessous de Paris” : Zoom sur l’urbanisme souterrain @Demain_la_Ville
Source : demainlaville.com
Depuis quelques années, les questions liées à l’urbanisme souterrain ont le vent en poupe. Dans ces même colonnes, un certain nombre d’articles ont été publiés sur le sujet, rappelant sous divers angles les potentiels urbanistiques, architecturaux et sociétaux -, en même temps que les blocages et contraintes associés traditionnellement à ce mode d’aménagement. A la fois coûteux (notamment à cause des difficultés à rendre viable un espace enterré) et pas forcément très ragoûtant pour le commun des citadins, l’aménagement des souterrains urbains compte par ailleurs une multitude de potentialités stratégiques pour donner corps aux villes de demain.