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RENNES : GOTHAM se voit confier le pôle commercial de la Courrouze
À l’issue d’une consultation conduite par Rennes Métropole, la collectivité a confié à GOTHAM le développement, l’acquisition et la gestion des espaces commerciaux du quartier la Courrouze, en cours d’aménagement.
Un opérateur unique
À Rennes, GOTHAM s’est vu confier le développement, l’acquisition, la commercialisation, la gestion et l’animation commerciale des espaces commerciaux du Pôle Courrouze. Soucieuse de proposer une offre commerciale pérenne, diversifiée et adaptée aux besoins des nouveaux habitants et des actifs du quartier, Rennes Métropole a souhaité collaborer avec un investisseur unique, pilote du développement de ce nouvel appareil commercial de cœur de quartier.
Un programme ambitieux
Initié dans les années 2000, l’aménagement de cet éco-quartier se poursuivra jusqu’à l’horizon 2020. En plusieurs phases, le quartier accueillera des logements, bureaux, commerces, services et équipements publics. À terme, quelques 10 000 habitants, 3 000 emplois et une station de métro sont attendus. Au sud-ouest de l’agglomération rennaise, le quartier de La Courrouze englobe un vaste secteur d’environ 115 hectares, principalement composé de friches industrielles et militaires, constituant l’une des dernières opportunités foncières d’envergure pour les communes de Rennes et de Saint-Jacques-de-la-Lande.
Un projet urbain plusieurs fois primé
Conçu par les architectes-urbanistes Bernardo Secchi et Paola Vigano, l’aménagement de La Courrouze a reçu le titre « Nature en ville » du palmarès EcoQuartier 2011 du Ministère de l’Ecologie. Membre du « Club National EcoQuartiers », ce site a été retenu en 2013 par le Ministère du Logement, de l’Egalité des territoires et de la Ruralité pour participer à la démarche Label National EcoQuartier.
Un cœur de quartier dès 2016
En étroit partenariat avec Rennes Métropole et son aménageur Territoires & Développement, GOTHAM structure l’espace urbain en réalisant un projet commercial équilibré qui apportera une nouvelle centralité à l’échelle de Rennes Sud. Le concept d’aménagement commercial « Cœur Marchand », basé sur l’animation des cœurs de quartiers, a séduit les collectivités rennaises. D’ici à 2020, cet ensemble commercial viendra créer un écrin autour de la place centrale du quartier, d’un groupe scolaire et de la future station de métro Courrouze ; Il accueillera un supermarché ainsi qu’une quinzaine de commerces de proximité commercialisés par URBAN CO et animés par IDR grâce à un fond marketing commun. Gotham assurera, en association avec OTI, la construction de l’ilot principal composé du supermarché et de 92 logements mixtes. Les premiers commerces à ouvrir, dès 2016, seront une boulangerie, un salon de coiffure, une enseigne de restauration rapide. Ensuite, jusqu’en 2020, viendront s’ajouter un fleuriste, un restaurant, une pharmacie et un tabac-presse. Il y aura également une maison médicale et paramédicale.
FICHE TECHNIQUE DU PÔLE COMMERCIAL :
3 600 m² de surfaces plancher de commerces :
Un supermarché
14 commerces de proximité
1 maison médicale et paramédicale
Livraison : 2020
LE QUARTIER LA COURROUZE EN CHIFFRES :
115 ha dont 40 ha d’espaces verts
89 ha aménagés
40 ha d’espaces verts
400 000 m² de SHON de logements
50 % de logements libres en locatif ou en accession
50 % de logements aidés
1 résidence services pour étudiants
1 résidence services pour senior
140 000 m² de SHON d’activités
110 000 m² de bureaux
14 000 m² d’équipements
16 000 m² de commerces et services
29 406 m² de SHON d’équipements
Une crèche et son jardin d’enfants
Un pôle éducatif HQE :
Une école maternelle et sa cour de récréation
une école primaire (9 classes) et sa cour de récréation
un plateau sportif scolaire
la restauration scolaire
L’école des arts du cirque
La halle de la Courrouze
Bilan aménageur : 181 999 359 € TTC
4ème édition des « Trophées Handistar, l’accessibilité pour tous »
En partenariat avec le Collectif Handicap 35, l’APF, l’AVH, Jaccede.com et Rennes Métropole, HANDISTAR organise la 4ème édition des « Trophées Handistar, l’accessibilité pour tous » pour récompenser les initiatives et les agencements en matière d’accessibilité pour les personnes à mobilité réduite.
Le concours est ouvert aux commerçants, chefs d’entreprise de petites comme de grande surfaces, de Rennes Métropole, que ce soit dans l’alimentaire ou le non alimentaire.
>En savoir plus :
Les inscriptions se clôtureront le 30 Juin 2014.
>Source :
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Après 130 ans au privé, Rennes privilégie une gestion publique de l’eau
Le conseil municipal de Rennes a décidé de confier à une nouvelle SPL la gestion de l’eau jusqu’alors concédée au privé.
Le dernier acte du long épisode concernant le choix du mode de gestion de l’eau potable de la Ville de Rennes s’est joué lundi soir en conseil municipal. Lancée en novembre 2011, la réflexion s’est achevée sur l’adoption d’une délibération créant une société publique locale. Elle sera chargée de produire et de distribuer l’eau dans tous les foyers rennais à compter du 1er janvier 2015.
Un groupe d’Epl d’aménagement intervient aux côtés de Rennes Métropole
La Sem Territoires & Développement, la SAS de portage immobilier Territoires & Perspectives et deux Spla, Territoires Publics et Via Silva, forment un groupe d’Epl qui s’occupe d’aménagements clés pour Rennes Métropole. Des diagnostics archéologiques sont réalisés fréquemment, comme pour ce projet d’écoquartier Via Silva où une voie romaine devrait être valorisée.
Le groupe d’Epl participe activement à l’aménagement durable et au renouvellement urbain de la métropole rennaise et intervient aux côtés de Rennes Métropole et des communes membres de l’agglomération. « Principal aménageur du bassin rennais nous contribuons au développement cohérent de la métropole depuis près de quarante ans », confie René Bondiguel, directeur général avec, entre autres, de grandes opérations d’aménagement urbain en cours dans la capitale bretonne : réhabilitation du centre historique de Rennes, EuroRennes, la Courrouze, Via Silva 2040, ou encore le chantier Maurepas – Le Gast.
Dans cette région au passé riche, les diagnostics archéologiques sont un paramètre incontournable dans beaucoup de ces projets. « En fonction des résultats, nous sollicitons après mise en concurrence des opérateurs agréés tel que l’Inrap Grand Ouest ou Eveha, dont le savoir-faire et des équipes conséquentes permettent généralement de réduire le temps de fouille à moins d’un an ». L’enjeu est important à la fois en termes financiers et de maîtrise du calendrier opérationnel.
Enjeu et opportunité
A Chavagne, au Sud-Ouest de Rennes, les fouilles archéologiques préliminaires, réalisées dans le cadre du projet de développement du quartier de la Touche, ont mis en évidence, par exemple, une occupation des lieux dès le néolithique. « Cette découverte entraîne des fouilles importantes et donc un surcoût pour la commune qui a dû demander à l’Etat une aide financière », commente René Bondiguel. Une première tranche de 10 000 m² de terrain a déjà été fouillée en 2011. En 2014, une seconde campagne de fouilles est programmée sur 62 000 m². Elle devrait occuper sur site une quinzaine d’archéologues de l’Institut national de recherches archéologiques préventives Grand Ouest pendant un an.
Autre exemple, à cheval sur les communes de Rennes, Cesson Sévigné et Thorigné Fouillard, où le vaste projet d’écoquartier ViaSilva, conduit par la Spla ViaSilva (spécialement créée en 2013) a été labellisé écocité par l’Etat. Ce dernier grand site d’extension urbaine en cœur d’agglomération, dont l’ambition est de devenir un modèle urbain en matière de développement durable, pourrait également comprendre des vestiges archéologiques enfouis. « Un diagnostic sous forme de sondages ciblés va être effectué mais aussi des études d’opportunités », commente René Bondiguel. Une ancienne voie romaine pourrait en particulier être valorisée sur la ligne de crête.
Source : servirlepublic.fr
En savoir plus : www.territoires-rennes.fr
De Alexandra
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Brest et Rennes renforcent leurs coopérations
François Cuillandre, Président de Brest Métropole Océane, et Daniel Delaveau, Président de Rennes Métropole, ont réaffirmé, vendredi 5 juillet 2013, leur volonté de renforcer les liens entre les deux métropoles bretonnes de Brest et Rennes, au service du développement régional. En marge d’une nouvelle réunion de travail, les deux présidents ont réaffirmé la nécessité que les deux agglomérations se voient attribuer le statut de métropoles de plein exercice, dans le cadre du projet de loi actuellement en discussion au parlement. Ils ont également rappelé la nécessité d’inscrire dans les priorités nationales en matière de transport ferroviaire l’objectif de mettre Brest – et Quimper – à 3 h de Paris et à 1 h 30 de Rennes.
Au cours de leur rencontre, François Cuillandre et Daniel Delaveau ont retracé les grandes lignes de leur démarche de coopération, destinée à contribuer au développement breton. Ils ont également rappelé leur volonté de faire bénéficier l’ensemble du territoire régional de l’effet d’entraînement généré par leurs deux métropoles, en lien étroit avec la Région. Pour les deux présidents, cette démarche commune va permettre à Rennes et Brest de se renforcer mutuellement, de favoriser l’épanouissement de leurs habitants, le développement économique et culturel de leurs territoires, et de permettre l’essor de la recherche et de l’enseignement supérieur, dans un contexte de compétition nationale et internationale.
La coopération entre les deux métropoles se décline autour de quatre axes :
1) Affirmer le fait métropolitain. Brest et Rennes rappellent que le statut de « métropole » prévu par la prochaine loi doit prendre en compte les fonctions métropolitaines et les fonctions d’entraînement exercées par les villes au sein de l’espace régional – et au-delà. Brest et Rennes entendent participer aux politiques de l’emploi et du développement économique, du développement de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation, ainsi qu’aux politiques d’accessibilité, de l’environnement, de la transition énergétique et de la biodiversité. C’est à cette condition que les métropoles bretonnes seront visibles à l’échelle régionale, nationale et européenne. La coopération Brest-Rennes s’inscrit dans une stratégie de réseau, dont le Pôle Métropolitain Loire Bretagne (avec Nantes, Saint-Nazaire et Angers) est un élément important. Brest et Rennes soutiennent également la création de la Communauté des Universités de Bretagne, afin d’appuyer la politique régionale de développement de l’enseignement supérieur et de la recherche. Elles mènent déjà, en partenariat avec la Région, des politiques de sites universitaires forts et veillent à soutenir les coopérations entre leurs structures de recherche respectives.
2). Améliorer l’accessibilité des deux territoires. L’amélioration des liaisons ferroviaires Rennes-Brest / Quimper est le dossier prioritaire pour la Bretagne. En parallèle, le travail sur la liaison Rennes-Nantes doit être intégré dans le dossier de la liaison Sud-Bretagne, dans le cadre d’une mutualisation de projets. Les deux métropoles réaffirment l’impérative nécessité de mettre Brest à 3 h de Paris, ce qui permettra en outre de faciliter les liaisons entre l’ensemble des villes des régions Bretagne et Pays de Loire et de les intégrer au réseau national et européen des LGV.
3). Porter ensemble un projet de développement pour leurs territoires. Les deux métropoles réfléchissent ensemble aux enjeux de développement de leurs territoires. Outre l’accessibilité ferroviaire, elles travaillent au développement des liaisons maritimes et portuaires à partir des ports de Brest et de Saint-Malo, ainsi que des plates-formes aéroportuaires de Brest Bretagne et Rennes Saint-Jacques, en intégrant la perspective de Notre-Dame des Landes. Leur réflexion porte également sur le développement économique et de l’emploi, sur un développement urbain facteur de cohésion et d’inclusion sociales, en prenant en compte l’impératif de préservation de l’environnement, des ressources naturelles et de la biodiversité, en luttant contre le changement climatique et en favorisant l’essor des énergies renouvelables.
4). Approfondir et élargir les coopérations. Brest et Rennes entendent accentuer leurs coopérations au plan culturel, afin de favoriser une offre culturelle de qualité et de conforter leur dynamisme artistique, à l’image du travail engagé avec les écoles d’arts de Brest, Rennes, Quimper et Lorient. Cette démarche pourrait conduire à la production en commun d’évènements ou de spectacles. Les deux métropoles explorent également de nouvelles pistes de coopération, notamment au niveau des pôles d’excellence de la Défense et du potentiel de recherche civil. Dans un autre registre, les deux métropoles développent les échanges de bonnes pratiques. Conscientes de leur responsabilité environnementale, elles recherchent ensemble de nouveaux modes de développement et de nouveaux moteurs de croissance, particulièrement en matière énergétique. Les deux métropoles sont aussi engagées dans des projets labellisés Ecoquartier et Ecocité, que ce soit les Capucins à Brest ou La Courrouze et Via Silva à Rennes. Elles vont accroître leurs échange sur leurs pratiques respectives et participer conjointement au programme « villes vertes » de l’OCDE.