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radio-immo.fr: MIPIM 2017 – Alexandra FRANCOIS-CUXAC, Fédération des Promoteurs Immobiliers @afcfpifrance
info François PAYELLE rejoint la direction générale de PROMOGIM
PROMOGIM GROUPE se dote d’un Secrétaire Général. La fonction sera occupée par François PAYELLE, 56 ans, précédemment Directeur Général de Procivis Immobilier et actuel Président de la Fédération des Promoteurs Immobiliers (F.P.I.).
Christian ROLLOY, Président Directeur Général du groupe, déclare : « J’ai souhaité la création du poste de Secrétaire Général pour renforcer l’équipe de direction générale. A l’heure où de nombreux grands projets sont porteurs d’avenir, tels que le Grand Paris ou le développement du logement intermédiaire, il est impératif pour un groupe comme le nôtre de se donner des moyens complémentaires pour développer ces opportunités. L’expérience et la compétence de François PAYELLE nous seront précieuses
pour renforcer nos capacités de développement sur l’ensemble du territoire ».
Après des études d’ingénieur à l’École Centrale de Paris et de droit, François PAYELLE a débuté sa carrière en 1982 au sein de Bouygues Bâtiment, à la direction de l’Habitat de la Région Île-de-France.
En 1987, il rejoint le promoteur immobilier Helvim où il occupe successivement les fonctions de Directeur des programmes, Directeur régional, Directeur général d’Helvim puis Directeur général adjoint de Sofap-Helvim. En 1997, François PAYELLE entre à la Chambre Syndicale des Sociétés Anonymes de Crédit Immobilier en qualité de Directeur des activités immobilières. Il devient, en 2002, Directeur général adjoint du Crédit Immobilier de France. Il est nommé, en 2007, Directeur général de Procivis Immobilier, actionnaire et coordinateur des pôles immobiliers régionaux des Sociétés Coopératives d’Intérêt Collectif pour l’accession à la Propriété (SACICAP). Il est par ailleurs élu Président de la Fédération des Promoteurs Immobiliers en février 2012.
« Je suis particulièrement heureux de rejoindre l’un des premiers acteurs indépendants de la promotion immobilière dont l’actionnariat est à 100 % détenu par Christian ROLLOY et ses trois fils, déclare François PAYELLE ; le challenge qu’ils m’ont proposé est particulièrement intéressant. Je ne pouvais pas ne pas le relever ».
Le groupe PROMOGIM en bref…
Fondé en 1968 par Christian ROLLOY, le groupe PROMOGIM comprend aujourd’hui trois marques :
PROMOGIM, FRANCO-SUISSE et IMMOPIERRE toutes spécialisées dans la promotion construction
résidentielle. PROMOGIM, qui a construit plus de 90 000 logements, a une implantation nationale avec
dix directions régionales dont les plus importantes sont l’Île-de-France, la Côte d’Azur, la Provence,
Rhône-Alpes, l’Alsace, la Bourgogne, la Franche-Comté et le Nord. FRANCO-SUISSE est spécialisée dans
les résidences haut de gamme et construit dans les villes résidentielles de l’Île-de-France. IMMOPIERRE
est implantée sur le marché de la Bretagne. Actuellement, 127 chantiers sont en cours de construction,
représentant un volume de 8 544 logements ; 3 220 appartements seront livrés cette année. Le
groupe, dont l’actionnariat est 100 % ROLLOY, est doté de références et d’une structure financière
importante qui en font un partenaire fiable et solide.
Contact Presse
Galivel & Associés – Carol Galivel / Pascale Pradère – 01 41 05 02 02
21-23, rue Klock – 92110 Clichy – Fax : 01 41 05 02 03 – galivel@galivel.com
29 septembre 2014
Logement neuf Net recul des ventes aux investisseurs et légère hausse de l’accession
Analyse de conjoncture
Après un bref rebond au 2ème trimestre, tous les indicateurs sont à nouveau orientés à la baisse au 3ème trimestre 2013. L’Observatoire de la FPI enregistre une baisse des ventes au détail de logements neufs de -1% par rapport à la même période de 2012, déjà historiquement basse. Dans le même temps, les mises en vente s’effondrent de -18,5 % et l’offre commerciale recule de -0,6%.
Si le léger rebond du 2ème trimestre permet pour l’instant de conserver une croissance modeste des ventes au détail sur les 9 premiers mois de l’année, les indicateurs avancés d’octobre font redouter un 4ème trimestre particulièrement mauvais, avec des reculs significatifs sur certains marchés et, dans bien des cas, une hausse sensible des taux de désistement.
Net recul des ventes aux investisseurs et légère hausse de l’accession
Ces évolutions sont dues notamment au recul des ventes aux investisseurs privés (-3,9 % au 3ème trimestre 2013), alors que le niveau atteint au 3ème trimestre 2012 avait été particulièrement bas pour cette période de l’année, d’habitude plus favorable aux investissements.
Les incertitudes sur le périmètre géographique et le niveau des loyers applicables pour le dispositif Duflot, ainsi que les inquiétudes créées par l’encadrement des loyers du projet de loi ALUR commencent à avoir raison de l’intérêt des investisseurs individuels pour l’investissement locatif, malgré un contexte de taux historiquement bas. Le recul est suffisamment marqué pour que les ventes aux investisseurs sur 9 mois se situent en retrait (-0,6%), comparé à la même période de l’année dernière, en dépit du timide rebond enregistré au 2ème trimestre.
L’accession à la propriété, qui représente 59% des ventes totales du trimestre, augmente de +1,1% (soit +161 logements) par rapport au 3ème trimestre 2012, confirmant la morosité et l’attentisme général, et conduisant à une hausse de +6,7% sur 9 mois.
Les ventes au détail à TVA réduite qui regroupent l’accession à la propriété en zone ANRU et dans la bande des 500m autour de ces zones, s’effondrent au 3ème trimestre de -26,9%, soit un recul de -12,1% sur 9 mois par rapport à la même période de 2012.
Risques élevés d’abandons de programmes
Les mises en vente poursuivent leur chute à -18,5% au 3ème trimestre s’adaptant à la faiblesse de la demande et stabilisant l’offre commerciale à 69 249 logements. L’offre représente 13,8 mois de vente, niveau stable depuis plus d’un an.
Corollairement, le stock (volume des logements achevés et non-vendus) reste très bas (8,7% de l’offre, soit moins d’un mois de ventes), tandis que près de la moitié de l’offre est constituée de logements non commencés et susceptibles de ne jamais l’être si au moins 50% du programme n’est pas pré-commercialisé. De ce fait, dans un contexte de sélectivité bancaire croissante, le risque est élevé que de nombreux programmes soient abandonnés dans les prochains mois.
Résistance des prix de vente
Le prix moyen des logements enregistre, dans l’ensemble du territoire, un léger effritement de -2,2% par rapport à la même période de l’année précédente mais reste stable par rapport au trimestre précédent. Cela s’explique principalement par l’inélasticité des prix de vente à la baisse tant que des mesures fortes de simplification des règles et les conditions d’un véritable choc foncier n’auront pas été décidées pour faire baisser le prix de revient des logements.
Tendance FPI Logement neuf: Amélioration timide et fragile au 1er semestre 2013
Après 8 trimestres successifs de baisse, le volume des ventes nettes connaît une amélioration au 2ème trimestre 2013, mais demeure à un niveau toujours trop faible. L’Observatoire de la FPI enregistre une hausse des ventes au détail de logements neufs de 1 546 unités par rapport au 2ème trimestre 2012, et atteint 16 465 réservations nettes. Au premier semestre 2013, le niveau des ventes au détail est légèrement supérieur à celui du 1er semestre 2012 (+1 172 ventes soit +4,1%), mais reste encore très faible par rapport aux années antérieures.
Des investisseurs plus présents.
Cette évolution est due principalement à une progression des ventes aux investisseurs privés au 2ème trimestre 2013, intervenant après une longue période d’attentisme depuis début 2012. La meilleure compréhension du dispositif Duflot dans un contexte de taux historiquement bas explique ce changement. Les perspectives de resserrement territorial du dispositif et le risque de modulations à la baisse des loyers à compter du 3ème trimestre 2013 ont pu aussi accélérer des prises de décision avant l’été. Toutefois, le 2ème trimestre ne permet pas de combler le retard pris au 1er trimestre, si bien que le 1er semestre 2013 enregistre une baisse de -2.1% par rapport au 1er semestre 2012.
Dans le même temps, l’accession à la propriété, qui représente 64% des ventes totales du semestre, confirme la hausse constatée depuis le début de l’année (+8,0% sur le semestre). Le niveau attractif des taux d’intérêt, qui aurait dû être plus incitatif, a été contrebalancé par le contexte économique et la situation de l’emploi moroses.
Mais des mises en ventes toujours en baisse
Continuant à s’adapter à la faiblesse de la demande, les mises en ventes reculent encore avec seulement 37 766 logements mis sur le marché au 1er semestre 2013, soit – 22,4 % par rapport au 1er semestre 2012. Cet effondrement traduit l’inquiétude des promoteurs à l’égard des perspectives du marché et leur volonté de limiter le risque de gonflement de l’offre commerciale.
Cette dernière reste donc assez stable depuis mi 2012 (+2,4%) et atteint 13,8 mois de commercialisation. Néanmoins, près de la moitié de cette offre (44%) est constituée de logements non commencés et susceptibles de ne jamais voir le jour si au moins 50% du programme n’est pas pré-commercialisé; à l’inverse, le volume des logements achevés et nonvendus reste maîtrisé (8% de l’offre, soit environ 1 mois de ventes).
Résistance des prix de vente
Le prix moyen des logements neufs enregistre dans l’ensemble du territoire un effritement de 2,3% par rapport au trimestre précédent. Néanmoins, sur 18 mois, on constate une relative stabilité des prix. Cette stabilité s’explique principalement par l’inélasticité des prix de vente à la baisse tant que des mesures fortes de simplification des règles et les conditions d’un véritable choc foncier n’auront pas été décidées pour faire baisser le prix de revient des logements.
Pour François Payelle, président de la FPI, « la légère amélioration observée au 2ème trimestre ne doit surtout pas faire oublier la faiblesse générale du marché du logement neuf qui reste très en-deçà des années antérieures, comme des besoins et des objectifs du gouvernement.
Le risque est réel que cette amélioration soit éphémère, d’autant qu’elle est menacée par le contexte de remontée générale des taux d’intérêt.
Le déblocage durable du marché est plus que jamais dans les mains du gouvernement : Cela implique un contexte législatif et fiscal stabilisé et moins pesant et passe par une fiscalité incitative sur les terrains constructibles, un véritable allègement des réglementations, et par une
politique de soutien à l’accession à la propriété, le tout pour relancer la construction et faire baisser les prix de vente. »
C O N T A C T S
Catherine ZOU : Chargée de communication et de relations presse
Tél. : 01 47 05 44 36 – mail : c.zou@fpifrance.fr
L’IMMOBILIER EST-IL L’ENNEMI DE LA COMPETITIVITE?
Le mot du président
L’IMMOBILIER EST-IL L’ENNEMI DE LA COMPETITIVITE
Colloque du 19 septembre 2013 Pavillon Gabriel
Madame, Monsieur, Chère consœur, Cher confrère,
Depuis l’automne 2012, les articles et publications fleurissent à intervalles réguliers qui laisseraient penser que le logement serait la cause de la perte de compétitivité de l’économie française et qu’une forte baisse des prix des logements serait de nature à la restaurer. Pour autant, si beaucoup s’accordent à le croire, nul ne s’est jusqu’à présent donné la peine de le démontrer.
Dans ce contexte, la Fédération des promoteurs immobiliers a souhaité en avoir le cœur net et a confié une mission au cabinet d’études économiques COE-Rexecode. Ce dernier a été chargé d’analyser les corrélations entre prix des logements et compétitivité et de mesurer l’impact d’une baisse des prix du logement sur l’état général de l’économie d’un pays, au vu des précédents dans d’autres pays de l’OCDE.
La mission a été menée par COE-Rexecode en toute indépendance, la FPI s’étant engagée à en publier les conclusions, quelles qu’elles soient.
Je vous invite à découvrir les résultats de cette étude le 19 septembre à 18h00 précises au Pavillon Gabriel à Paris.
François Payelle
Président de la FPI France