27/04/2012. La Fédération Nationale des Travaux Publics (FNTP) dresse un portrait détaillé de l’économie bretonne. Ce cahier, outil de synthèse des infrastructures existantes et à venir dans la région, s’inscrit comme un support de réflexion sur les moyens et projets à mettrent en œuvre pour stimuler l’attractivité de la région. Au fil des pages vous trouverez une synthèse des indicateurs économiques, financiers, conjoncturels et structurels des travaux publics…
Archives du blog
Gaz de Bordeaux et le groupe italien ENI se séparent
Détenteur de 34% du capital de Gaz de Bordeaux, le groupe italien ENI a vendu la totalité de ses parts à la société d’économie mixte Régaz.
GrDF s’engage avec l’Etat et la Région Bretagne dans le pacte électrique breton
A l’occasion de la rénovation de 90 logements basse consommation à Ploufragan, GrDF s’engage avec l’Etat et la Région Bretagne dans le pacte électrique breton.
La FNTP dresse le portrait de la région Bretagne
Hydrocarbures : le Gouvernement annonce que trois permis exclusifs de recherche seront abrogés
En application de la loi du 13 juillet 2011, 64 détenteurs de permis exclusifs de recherche devaient « démontrer la pertinence de la démarche exploratoire (…) de l’activité d’exploration et d’exploitation des hydrocarbures ». A l’issue de l’instruction des 64 rapports reçus, le Gouvernement a saisi ce jour le Conseil général de l’industrie, de l’énergie et des technologies (CGIET) en vue de l’abrogation des trois permis suivants : Nant (détenu par la société Schuepbach), Villeneuve-de-Berg (Schuepbach) et Montélimar (groupe Total).
Ces trois permis représentent la totalité des permis demandés en France en vue de l’exploration de gisements de gaz de schiste.
Pour les 61 autres permis en cours de validité, les détenteurs n’ont pas prévu de rechercher des gaz et huiles de schiste ou y ont renoncé pour se limiter à des gisements conventionnels. Tous ont pris l’engagement formel de ne pas recourir à la fracturation hydraulique.
L’État veillera au respect de cet engagement en amont par l’étude en préfecture des dossiers de demandes de travaux devant stipuler obligatoirement le type de technique de forage utilisée. Ces contrôles seront renforcés par des inspections sur site, menées par les DREAL (Directions régionales de l’environnement, de l’aménagement et du logement). Les contrevenants s’exposeront à des amendes et peines de prison.
Une éventuelle demande ultérieure d’exploitation de gisement d’hydrocarbure ferait par ailleurs l’objet d’une procédure très encadrée, avec enquête publique. Aucune autorisation n’est acquise par avance.
Dans un objectif de totale transparence, les rapports seront rendus publics en même temps que la liste des permis abrogés, au plus tard le 13 octobre.