Archives du 11 décembre 2018

Startups, digital, innovation….bientôt le CES 2019 : le Groupe Arkea sera présent @CES @cmarkea

Site officiel : CES TECH

Le Consumer Electronics Show, ou CES, est devenu le plus important salon mondial consacré à l’innovation technologique et digitale, il ouvrira ses portes du 8 au 11 janvier 2019 à Las Vegas.

Véritable accélérateur de business aux USA et dans le monde, le CES est devenu LE rendez-vous incontournable des startups et des entreprises innovantes. En 4 jours, pas moins de 200 conférences sont organisées, plus de 185.000 visiteurs sont attendus, 4.000 entreprises de plus de 150 pays y tiendront pavillon, avec l’espoir d’attirer l’attention des quelque 7.500 journalistes et influenceurs du monde entier. Avec l’intelligence artificielle et la robotique, elles sont devenues, en 2018, un véritable sujet de débat philosophique, social et politique. La présence française n’a d’ailleurs fait qu’augmenter ces dernières années, aussi bien du côté des exposants que des visiteurs.

Une équipe représentant le Groupe Arkea  sera présente à ce rendez-vous annuel en tant que visiteur.

Vous avez peut-être prévu de vous rendre au CES ? nous vous proposons de nous retrouver sur place afin de partager cette nouvelle édition ensemble.
Contactez nous :  jean-michel.royo@arkea.com               jerome.grenthe@arkea.com

Pour ceux d’entre vous qui ne pourront pas être présent à cet événement, n’hésitez pas à nous indiquer les domaines d’activités et les types de startups avec lesquelles vous seriez intéressés par une mise en contact après le CES.

D’autre part, nous nous proposons d’organiser une réunion d’échanges et de restitution à Paris au cours du 1er trimestre 2019 afin de partager les tendances du CES.

N’hésitez pas à nous indiquer si vous souhaitez être invité à cette réunion de restitution en remplissant le formulaire ICI

Michel Mouillart « En 2019, il faut s’attendre à une année plus difficile pour l’immobilier ! » @SeLoger

Source : Se Loger

Alors que l’année 2018 est sur le point de se terminer, quel bilan dressez-vous de l’activité du marché immobilier français dans l’ancien ?

Michel Mouillart. Le bilan de l’année 2018 est en demi-teinte. La hausse du prix des logements, la suppression de la plupart des aides à l’accession à la propriété et la dégradation rapide du moral des ménages ont contribué à affaiblir la demande. L’enquête de l’Insee du mois de novembre nous apprend, en effet, que les ménages se disent inquiets sur la situation du marché du travail et leur pouvoir d’achat. Mais dans le même temps, les conditions de crédit se sont améliorées comme jamais, évitant ainsi que le ralentissement de la demande ne soit plus brutal encore. Cela n’a toutefois pas suffi à redonner de la vigueur au marché. C’est bien ce que l’enquête mensuelle de la Banque de France auprès des établissements de crédit révèle : depuis le printemps 2017, la demande de crédit à l’habitat recule pratiquement sans arrêt et comme près de 90 % des logements anciens achetés par les ménages sont financés par des crédits immobiliers, il aurait été étonnant que l’activité soit en expansion.

Dans quelles proportions l’activité du marché de l’ancien a-t-elle reculé en 2018 ?

Au global, le recul du marché de l’ancien devrait avoisiner les 6 %. Pourtant, à la fin de l’année dernière, j’avais tablé sur un recul à venir d’environ 10 %. Mais le dynamisme de l’offre des banques et l’amélioration des conditions de crédit sont venus atténuer la baisse de l’activité et je ne fais là aucunement allusion aux taux d’intérêt. En 2018, et contre toute attente, les établissements de crédit ont, en effet, considérablement assoupli leurs exigences en termes d’apport personnel. Sans cette amélioration des conditions des crédits, le recul auquel nous assistons serait plus important qu’il ne l’est.

En baissant leur niveau d’exigence en termes d’apport personnel les banques ont contribué à atténuer la baisse des ventes de logements ».

En savoir plus

#immobilier : Quel impact l’intelligence artificielle peut-elle avoir ? @Journal_Agence

Source : Journaldelagence.com

Même si les termes « d’intelligence artificielle » font partie de notre vocabulaire courant depuis plusieurs années, rares sont ceux qui savent précisément les définir. Pourtant, cette technologie a déjà un impact dans le domaine de l’immobilier, et son influence n’est amenée qu’à s’accentuer.

« Il existe certainement autant de définitions de l’intelligence artificielle que de participants à cette conférence ». Face à une centaine de personnes, Alexandre Barillet préfère mettre en garde sur ce que n’est pas l’intelligence artificielle plutôt que sur ce qu’elle est. Pendant quarante-cinq minutes, le co-fondateur d’In Principio s’attache à expliquer le fonctionnement d’une technologie qui, si elle est encore mal comprise et assez sur-estimée, n’en est pas moins intéressante pour les pros de l’immobilier

« Les machines restent encore franchement bêtes »

Les simples termes « d’intelligence artificielle » sont trompeurs, selon la définition que l’on entend de l’intelligence. Une machine n’est en effet pas capable d’apprendre seule : « Les machines sont encore franchement bêtes : elles restent très limitées dans leur autonomie », explique Alexandre Barillet, c’est à dire que leur capacité de prise de décision est quasiment nulle. Aucun logiciel n’est encore capable, par exemple, de faire preuve d’empathie envers un acquéreur immobilier pour comprendre ses envies, et les machines ne risquent donc pas de remplacer le contact humain entre un particulier et un pro avant de longues années.

Une phénoménale capacité d’analyse de données

Là où la machine est imbattable, en revanche, c’est dans l’analyse des données d’un cercle fermé. Les algorithmes ont aujourd’hui appris à analyser des données d’un circuit clos pour en faire ressortir des cohérences invisibles à l’œil humain.

…lire la suite…

Connaissez-vous TERACTEM : l’opérateur ensemblier de la Haute-Savoie depuis 60 ans @fedepl @teractem

Source : TERACTEM

60 ANS : L’OPÉRATEUR DE LA HAUTE-SAVOIE DEPUIS 1958

Une SEM créée, capitalisée et contrôlée par les collectivités locales (67,55%) et leurs partenaires économiques et financiers (32,45%).

50 MILLIONS € : INVESTISSEMENT ANNUEL INJECTÉS DANS L’ÉCONOMIE LOCALE

7 millions de fonds propres capitalisés grâce au réinvestissement des bénéfices depuis 60 ans, permettent cet effet de levier.

10,15,20 ANS : PILOTAGE DES GRANDS PROJETS SUR LE LONG TERME

Des projets d’envergure échelonnés sur plusieurs mandatures, respectant la vision initiale, adaptés à l’évolution sociétale.

LES RÉALISATIONS DE TERACTEM, DEPUIS 1958

• Acquisitions de 2600 ha de foncier en 30 ans pour la réalisation de voiries, de zones d’activités, d’aménagements communaux et de berges de rivières

• Contribution à la réalisation de 15 000 Logements en zones urbaines et rurales

• Aménagement de 54 zones d’activités accueillant 16 000 emplois : Altea, Altaïs

• Réalisation de 138 équipements publiques

• Réalisation d’équipements structurants et d’infrastructures pérennes

• Protection de 800 captages d’eau potable

Réseau de chaleur de bois de Viry desservant 1000 équivalents-logements logements

• Construction, financement et exploitation de 10 CENTRALES SOLAIRES

• Réalisation d’études et d’outils d’aide à la décision (conception de l’Observatoire du département de Haute Savoie depuis 20 ans)

• Projets de grande envergure, passés, en cours et futurs : Courier à Annecy (350 logements, 44 000 m2 de commerces et activités tertiaires), quartier Chorus à Cran-Gevrier (928 logements, 19 000 m2 de surfaces commerciales et locaux d’activités), quartier Ecovela de Viry (900 logements, 4000 m2 de commerces et services, école et centre culture), Pré Billy à Pringy (900 logements).

• Des réalisations innovantes et emblématiques : les bâtiment Etoile du Sud et Celeno à Annemasse… L’hôtel d’entreprises Les Papeteries-Image Factory de Cran-Gevrier…

En savoir plus

Bretagne: quels scénarios pour réduire les émissions de gaz d’ici 2040 ? @regionsdeFrance

Source : Régions-France.org

Le jeudi 6 décembre à Rennes, la Conférence bretonne de la transition énergétique fait le point sur ses travaux prospectifs en matière d’ « énergie-climat » et envisage les différents scénarios pour diminuer les émissions de gaz à effet de serre en Bretagne.

Alors que la Cop 24 se déroule actuellement en Pologne, quelles sont les trajectoires possibles en Bretagne pour diminuer ses émissions de gaz à effets de serre de façon drastique d’ici 20 ans ? La question est à l’ordre du jour de la Conférence bretonne de la transition énergétique, qui réunit l’ensemble des acteurs de l’énergie en Bretagne. Une journée de concertation en trois temps pour étudier différents scénarios

• Présentation des chiffres clefs 2017 de l’énergie en Bretagne et des premiers résultats de la démarche prospective énergie-climat 2040 :  le diagnostic, le scénario tendanciel et les trajectoires « sans rupture » et « transition ».

• Echange avec des experts nationaux de la transition énergétique 

• Ateliers participatifs : jouer les scenarii énergie-climat de la Bretagne en 2040

En savoir plus

Concevoir un site comme celui-ci avec WordPress.com
Commencer