Archives du 24 décembre 2016

La Confluence préfigure le Lyon de demain @fedepl @splConfluence @grandlyon

Source : Servir le Public 

En pleine concertation sur la révision du Plan local d’urbanisme (PLU) de Lyon, les trois îlots J de Confluence, dans le secteur Denuzière, dessinent la ville de demain. Elle sera mixte, tant sur le plan social qu’au niveau des fonctions, et efficace sur le plan énergétique. Résultat de prescriptions urbaines, architecturales, programmatiques et environnementales définies par la Spl Lyon Confluence.

À la lisière du quartier historique de Perrache – Sainte-Blandine, les 3 îlots du secteur Denuzière ont été imaginés pour se marier avec les constructions existantes. Ils s’inscrivent dans la philosophie urbaine d’un quartier où toutes les actions publiques convergent vers plus de mixité sociale et de fonctions, et plus d’efficience énergétique…

« C’est le fruit d’un cadrage très fin », assure Judith Beuve-Teichert, chef de projet à la Spl Lyon Confluence. « L’objectif était d’offrir toutes les gammes de prix pour répondre à toutes les attentes, tant en matière de logements sociaux, de logements abordables ou de produits d’investissement. 30 % des logements sont des T3, le reste étant des T4 et des T5″…en savoir plus

Le Testeur de #commerce de la @Semaest : innovation #redynamisation @fedepl

La Semaest propose un  »test » aux commerçants parisiensSource : Servir le Public 

La Sem invite les porteurs de projets à étalonner leurs idées de commerce sur une durée limitée… avant d’aller plus loin ou de renoncer. Le « Testeur de commerce », initié en 2015 dans une rue fréquentée du 10e arrondissement de Paris, séduit les petits comme les gros commerces.

Le Testeur de commerce de la Semaest est l’une des dernières innovations de cette Sem parisienne spécialisée depuis 30 ans dans l’animation économique des quartiers de la capitale. « Pour beaucoup de commerçants, se lancer dans une initiative reste un risque. Beaucoup s’interrogent à juste titre sur le retour d’investissement. Cette formule de location temporaire de locaux est le moyen idéal pour savoir si une idée commerciale peut s’inscrire dans la durée », assure Pauline Sammarcelli, chargée de communication à la Semaest.
Les demandes de locations affluent 

Ouvert en 2015, le Testeur de commerce a permis à six porteurs de projets de le tester. La programmation est bouclée jusqu’à la fin de l’année et la Semaest travaille déjà sur celle de 2017…en savoir plus…

Les acteurs de l’immobilier, nouveaux héros de l’économie circulaire

Source : Gecinalab

Faire mieux avec moins, tel est le credo de l’économie circulaire, ou comment transformer les déchets en ressources.

Avec la participation de :

  • Ramon ARRATIA, directeur du développement durable Europe INTERFACE
  • Nicola DELON, architecte, cofondateur et associé ENCORE HEUREUX ARCHITECTES
  • Philippe DEPOUX, directeur général GECINA
  • Aude-Line DULIERE, collaboratrice ROTOR


Débats animés par :

  • Sébastien DELPONT, directeur associé Greenflex

Le principe de l’économie circulaire, thème de la table ronde organisée le 22 novembre par le laboratoire de réflexion prospective sur l’innovation Gecina Lab, pourrait se résumer à la métaphore du dentifrice évoquée par Nicola Delon, cofondateur de l’agence Encore Heureux : « On ne comprend qu’à la fin du tube qu’on pouvait en utiliser moins dès le début ! »
Faire mieux avec moins, tel est en effet le credo de cette économie fondée sur un constat : dans la nature, tout est réutilisé. Face à l’augmentation pléthorique de nos déchets depuis cinquante ans, comment les transformer en ressources ? L’enjeu est crucial pour les acteurs de l’immobilier, le secteur générant à lui seul 70 % des 345 millions de tonnes de déchets produites chaque année en France, lesquels finissent pour la plupart incinérés ou enfouis dans le sol.
Or, nous faisons face à une « grande accélération« , alerte Ramon Arratia, directeur du développement durable Europe d’Interface. « Les produits intérieurs bruts augmentent, la population augmente, les températures augmentent. D’ici à 2030, nous aurons besoin de 35 % nourriture, de 40 % d’eau et de 50 % d’énergie en plus. »…en savoir plus…

Concevoir un site comme celui-ci avec WordPress.com
Commencer