Archives du 16 décembre 2013
Semaest met en valeur les vitrines «Vital’Quartier»
Savez-vous qu’une vitrine attractive augmente de 20 % la commercialité d’une boutique ? Accrocheuse, créative, dynamique et renouvelée, une bonne vitrine incite le consommateur à entrer.
Mais chaque vitrine réussie est une œuvre à part entière, composée par un spécialiste, qui implique un véritable investissement.
A l’occasion des fêtes de fin d’année, la Semaest offre à chacun de ses locataires commerçants une décoration clé-en-main d’une valeur de 700€.
En savoir plus :
Patrick Jarry, nouveau président de l’Epadesa
Patrick Jarry, maire de Nanterre, conseiller général des Hauts-de-Seine, président de la Semna, vice-président de la Fédération des Epl et président de la Fédération régionale des Epl Ile-de-France, a été élu président de l’Etablissement public d’aménagement de la Défense Seine Arche (Epadesa).
Lors de sa séance du 6 décembre dernier, le conseil d’administration de l’Epadesa a procédé à l’élection de son nouveau président. Patrick Jarry succèdera à Joëlle Ceccaldi-Raynaud, maire de Puteaux, dont le mandat était arrivé à échéance.
Il sera épaulé dans sa mission par l’ancien préfet de la Région Paca, Hugues Parant, nommé début octobre directeur général de l’établissement.
Source : site fédération des EPL
Ecrit par Caroline VOLLET – le 11.12.2013
Partenariat Aulnay-sous-Bois – Immobilière 3F
Gérard Ségura, maire d’Aulnay-sous-Bois (93) et Yves Laffoucrière, directeur général d’Immobilière 3F ont signé ce 6 décembre une convention de partenariat
D’une durée de trois ans, elle réaffirme leur engagement commun en faveur du logement, avec pour projets : la restructuration du quartier du Gros Saule – où 3F gère 1 200 logements –, le développement de nouveaux logements sociaux, la poursuite de la vente aux locataires ou encore le renforcement de la gestion urbaine de proximité. L’objectif : répondre au mieux aux besoins des habitants, améliorer leur cadre de vie et favoriser le « vivre-ensemble ».
300 m€ pour les entreprises : partenariat BEI – Crédit Mutuel Arkéa
La Banque européenne d’investissement (BEI) et le Crédit Mutuel Arkéa annoncent un engagement financier de 300 millions d’euros pour soutenir les investissements des entreprises. Une première tranche de 150 millions d’euros a été signée ce lundi 9 décembre 2013 au siège de Crédit Mutuel Arkéa dans le Finistère, en présence de Philippe de Fontaine Vive, Vice-Président de la BEI et Jean-Pierre Denis, Président du Crédit mutuel Arkéa. Un engagement qui fait suite au programme de 120 millions d’euros lancé en 2012, dont plus de 650 PME ont bénéficié.
Le financement européen va permettre au Crédit Mutuel Arkéa de renforcer les ressources financières consacrées à l’accompagnement des projets de développement des PME présentes sur les territoires d’implantation du groupe. Cette nouvelle enveloppe viendra également consolider les actions du groupe auprès des ETI (Entreprise de Taille Intermédiaire, effectifs compris entre 250 et 3 000), notamment par le biais de sa filiale Arkéa Banque Entreprises et Institutionnels.
Ce financement revêt une signification particulière à l’heure où les PME et ETI, fragilisées par la conjoncture économique, sont en proie à des difficultés d’accès au financement. Or leur rôle est primordial au sein de l’économie : elles représentent plus des deux tiers des emplois du secteur privé en France comme en Europe et enregistrent une croissance supérieure à celle des grandes entreprises.
Dans ce contexte, le Crédit Mutuel Arkéa entend jouer un rôle économique structurel, en renforçant le soutien apporté aux entreprises de ses territoires. C’est également la priorité n°1 de la BEI qui mobilise moyens et compétences pour faciliter l’accès au crédit des entreprises et ainsi les accompagner dans leurs projets de développement.
Jean-Pierre Denis, Président du Crédit Mutuel Arkéa commente: « Le Crédit Mutuel Arkéa a fait du renforcement de ses positions sur le marché de l’entreprise et des professionnels l’une des priorités de son plan stratégique. Depuis la fin de l’année 2009, nos encours de crédit sur ce segment ont ainsi progressé de plus de 42%. La signature de ce nouvel accord avec la BEI va nous permettre de renforcer davantage encore notre présence auprès des PME et des Entreprises de Taille Intermédiaire qui sont essentielles pour la croissance et l’emploi, tout particulièrement dans les régions qui, comme la Bretagne aujourd’hui, traversent des caps difficiles. Nous contribuons ainsi au développement d’activités nouvelles sur nos territoires, dans le droit fil de notre statut de banque de proximité ».
Choc de simplification : la construction mobilisée
11.12.2013 source : site union HLM
Choc de simplification : la construction mobilisée
Par voie de communiqué de presse, ce sont 8 organisations professionnelles qui s’expriment d’une seule voix ce 11 décembre 2013 : le tissu réglementaire et normatif induit aujourd’hui des surcoûts de production des logements largement incompatibles avec le pouvoir d’achat des ménages.
L’objectif d’atteindre 500000 logements construits ou rénovés par an d’ici à 2017 ne pourra être tenu sans un choc de simplification des exigences réglementaires. Tel est le message adressé ce jour à Cécile Duflot, ministre de l’Egalité des Territoires et du Logement, par les 8 organisations signataires.
« Les réglementations et normes techniques peuvent être des facteurs d’amélioration de la qualité et de progrès dans la construction. » L’Union sociale pour l’habitat, la Fédération des Promoteurs immobiliers, la Fédération Française du Bâtiment, la Confédération de l’Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment, l’Union des Maisons Françaises, la Fédération des Entreprises Publiques Locales, le Syndicat National des Aménageurs Lotisseurs et l’Union Nationale des Economistes de la Construction reconnaissent, de façon unanime, que les réglementations et normes techniques représentent des facteurs d’amélioration de la qualité et de progrès dans la construction, tant en matière de performance, que de sécurité ou de santé.
Mais l’empilement croissant et soutenu de celles-ci participe de la dégradation de la situation économique du bâtiment et de la construction. Entre en 2000 et 2008, les dynamiques positives des marchés de l’immobilier (conditions de taux et de durée des prêts, dispositifs mis en place par les pouvoirs publics, mobilisation croissante des fonds propres des organismes Hlm,…) ont permis d’absorber la hausse des coûts de production. Depuis la crise financière de 2008, le contexte est celui d’une stagnation du pouvoir d’achat des ménages, d’un renforcement des situations de précarité et de grandes incertitudes sur les perspectives économiques et les dispositifs de financement mobilisables, pour les ménages comme pour les acteurs du monde immobilier.
Les coûts de production des logements sont aujourd’hui devenus largement incompatibles avec le pouvoir d’achat des ménages, en particulier les ménages les plus modestes et les plus démunis. Entre 2000 et 2011, le prix de revient des logements a presque doublé. Et, sur cette même période, l’impact économique des évolutions réglementaires sur le prix de revient des logements est évalué entre 25% et 35%.
Pour endiguer le repli historique que connaît le secteur de la construction et répondre aux ambitions affichées par le Président de la République et Cécile Duflot, l’urgence est donc à la révision du champ réglementaire et normatif. Il faut créer les conditions d’une baisse significative des coûts de production des logements en neuf, en rénovation et en amélioration-entretien, ainsi que des coûts d’entretien et de maintenance qui ont un impact sur les charges qui pèsent sur les ménages, le tout sans perte significative de qualité des logements.
Les professionnels du secteur ont décidé de travailler ensemble et soumettent à la Ministre un ensemble de propositions concrètes et argumentées pour adapter et supprimer des exigences réglementaires et normatives et agir sur le coût de production des bâtiments.
1/ Sur le champ de l’édiction, de l’évolution et de l’évaluation du corpus réglementaire et normatif, les 8 organisations proposent de développer une réelle culture de concertation, d’évaluation, d’appropriation et de reconsidération. Sur ce plan, elles appellent de leurs vœux à ce que soit menées de manière systématique :
une concertation avec l’ensemble des acteurs avant la parution de nouvelle norme et réglementation de manière à s’assurer que la nouvelle norme ou réglementation proposée réponde à une nécessité (absence de dispositif existant qu’il suffirait d’appliquer),
une évaluation des impacts économiques à la construction comme à l’exploitation et à l’utilisation,
une évaluation de la soutenabilité des coûts induits qui seront notamment supportés par les usagers, acquéreurs ou locataires,
une évaluation de l’efficacité des mesures envisagées en termes de confort, d’usage ou de réduction des risques,
une évaluation des impacts sur les acteurs de la filière (formations, outils…) et sur le corpus réglementaire et normatif existant afin d’identifier les éventuelles contradictions ou incohérences et permettre les adaptations induites.
« Il importe également que soit mis en place un dispositif d’évaluation régulière des normes, véritable « service après-vente », capable d’identifier et de remédier aux éventuels dysfonctionnements ou incohérences. » Les 8 organisations appellent à systématiser une période transitoire et progressive entre la promulgation d’un texte et sa mise en application effective et à mettre en place des modalités d’incitation et d’accompagnement des acteurs qui souhaiteraient être précurseurs dans sa mise en œuvre. Toute nouvelle réglementation ou norme ferait systématiquement l’objet d’un rapport d’application à mi-parcours de la période transitoire afin de procéder, le cas échéant, aux ajustements nécessaires avant l’entrée en vigueur définitive des textes.
2/ Sur le champ de la révision du stock de normes et réglementations sous l’angle coût/efficacité, les 8 organisations formulent plus de 100 propositions d’adaptation ou de suppression. Objectifs : faire baisser les coûts directs de production des opérations et les coûts induits (études, délais,…) et ceux des coûts d’entretien, de maintenance, d’exploitation et de maintien de l’attractivité du parc de logements.
« Il s’agit d’éliminer les exigences superflues en veillant à conserver les règles essentielles et nécessaires. » Les organisations proposent donc des mesures concrètes et détaillées pour simplifier et fluidifier les conditions de production et de rénovation, sans dégrader la qualité de construction et d’usage des bâtiments.
Ces propositions visent notamment à réduire les contraintes et les formalités administratives, les attestations, les études d’impact et les obligations de mesures multiples, les contraintes et les prescriptions d’urbanisme et d’aménagement…
Elles visent également à optimiser et simplifier, sous l’angle du rapport coût/efficacité/confort d’usage, les règles de construction tant pour les bâtiments neufs que pour le parc existant : Règlementation Thermique 2012, Loi sur l’eau, électricité, acoustique, ascenseurs, sismique, accessibilité du cadre bâti aux personnes à mobilité réduite, amiante, sécurité incendie, termites, haut débit …
Documents joints : Couts de construction Propositions d’économies.pdf