Archives Mensuelles: novembre 2013

Habitat 76 : un ensemble pavillonaire éco-performant

HABITAT 76

 Première opération d’habitat 76 sur la commune de Gournay-en-Bray

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L’opération « Les Monts Foys », constitue pour habitat 76, premier bailleur social du Département, l’opportunité de proposer son offre de production sur la commune de Gournay-en-Bray avec laquelle s’engage à cette occasion un nouveau partenariat.
Le projet d’urbanisation du quartier des « Monts Foys » a débuté en 2004 avec la construction de 60 pavillons en libre choix de constructeurs. En 2007, la municipalité décide de signer une convention d’aménagement avec Nexity Foncier Conseil pour les 10 hectares de la seconde tranche.

Renforcer la mixité sociale au coeur d’une opération performante :
Le projet prévoit 80 nouvelles parcelles destinées à recevoir 20 logements locatifs sociaux, harmonieusement intégrés à 60 parcelles libres de constructeurs dédiées à l’accession. Habitat 76 est retenu pour prendre en charge la maîtrise d’ouvrage du programme locatif destiné à affirmer une volonté de mixité sociale sur ce quartier.

Avec la construction de 20 maisons basse consommation en ossature bois, habitat 76 met au service des locataires
son expertise en terme de performance énergétique, le label BBC permettant aux habitants de diviser par 4 leur consommation énergétique.

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> En savoir plus : www.habitat76.fr

Sicoval se dote d’une marque territoriale économique, Innopoles

Sicoval

L’innovation est inscrite dans les gènes du Sicoval : la collectivité, pionnière de l’intercommunalité depuis près de 40 ans, est aujourd’hui une des toutes premières communautés d’agglomération de France à se doter d’une marque territoriale économique. La démarche, officiellement lancée le 17 septembre 2013, a pour vocation première de conforter l’attractivité du territoire, de fédérer l’ensemble de ses acteurs économiques et de promouvoir ses entreprises et leurs savoir-faire.

En adoptant un identifiant spécifique pour incarner la dynamique économique d’un territoire qui met déjà en synergie près de 6450 entreprises ou acteurs économiques et compte 33 000 emplois pour 70 000 habitants, la collectivité  entend notamment donner la meilleure lisibilité à son offre de services à destination des entreprises et porteurs de projet.

Télécharger le communiqué de presse

> En savoir plus : www.sicoval.fr

Désamiantage des HLM : 21 milliards d’euros

Source : site USH

Désamiantage des logements: 21 milliards d’euros supplémentaires pour les bailleurs Hlm

L’AFP l’annonce le 15/11/2013 : sept logements Hlm sur dix contiennent de l’amiante. Si cela n’est pas nécessairement problématique pour la santé des locataires, cette situation est une bombe à retardement financière pour les bailleurs sociaux, contraints de mettre leurs bâtiments aux normes.

21 milliards d’euros : c’est le coût estimé du désamiantage des logements sociaux. L’AFP revient ce jour sur la réforme de la réglementation concernant ce matériau hautement cancérigène. Son entrée en vigueur progressive d’ici le 1er juillet 2015 a fait bondir le coût d’assainissement des bâtiments concernés. Elle divise par dix le seuil d’exposition autorisée pour les ouvriers et impose aux entreprises des obligations de formation et de protection renforcée (calfeutrage des chantiers, port de masques et vêtements de protection…) lors de travaux susceptibles de libérer des fibres d’amiante.

« Ce qu’on découvre, même si c’était connu, c’est qu’à une certaine époque on en a mis vraiment partout. Plus on en cherche, plus on en trouve », souligne Gilles Gal, directeur général du bailleur social Eure Habitat.

Dans le parc Hlm, l’amiante au sein des matériaux de construction serait présente dans « tous les logements construits avant 1997 » (date de son interdiction), précise Christophe Boucaux, directeur de la Maîtrise d’ouvrage et des Politiques patrimoniales à l’Union sociale pour l’habitat. « Tous les organismes Hlm aujourd’hui sont mobilisés sur cette question, parce que les enjeux sont colossaux », souligne-t-il.

Or les laboratoires réalisant les diagnostics d’amiante, peu nombreux, sont souvent débordés. « Là où ils devraient livrer leurs analyses en deux semaines, ils mettent trois mois », rapporte M. Gal.

Ces derniers mois, pour les bailleurs sociaux, la découverte d’amiante a entraîné l’abandon d’une opération de travaux sur quatre, en raison des surcoûts induits et de la nécessité de reloger les habitants temporairement, selon une étude de l’Union sociale pour l’habitat, menée de décembre 2012 à février 2013. L’enquête révèle que le coût des travaux de désamiantage a bondi en moyenne de plus de 50% depuis la nouvelle réglementation de mai 2012. Il varie de 500 euros à 15 000 euros par logement, en fonction de la nature des matériaux amiantés et de la technique employée.

Il s’agit là en tout cas d’une véritable bombe à retardement financière, à l’heure où les organismes Hlm se sont vu fixer l’objectif de construire 150 000 logements par an, et d’en réhabiliter 100 000 autres. D’autant qu’en l’absence d’aide financière, les bailleurs sociaux financent les surcoûts liés à l’amiante sur leurs fonds propres, ce qui ampute d’autant leur budget de construction et réhabilitation.

« Nous estimons que cela réduira notre activité de 30% », dit M. Gal.

17e Semaine pour l’emploi des personnes handicapées 2013 avec l’Agefiph Bretagne

Source : tugdual-ruellan-communication

17e Semaine pour l’emploi des personnes handicapées en Bretagne du 18 au 22 novembre 2013 : une semaine pour mettre en lumière des initiatives, des portraits, des acteurs…en savoir plus

Contacts Agefiph Bretagne – François Massolo, délégué régional de l’Agefiph Bretagne
Agefiph Bretagne – 4, avenue Charles Tillon – 35000 Rennes – 08 11 37 38 39
Contacts presse : Tugdual Ruellan – 02 99 91 33 16
DOSSIER DE PRESSE à télécharger en cliquant sur ce lien
Informations sur : www.semaine-emploi-handicap-agefiph.fr

Les entreprises doivent passer d’urgence au SEPA

source : FBF

La Fédération Bancaire Française (FBF), la CGPME et le MEDEF rappellent ensemble aux entreprises qu’il est urgent d’effectuer leur migration aux moyens de paiement SEPA, comme l’ont souligné récemment le Comité national SEPA, le Ministre de l’Economie et des Finances et le Gouverneur de la Banque de France. Les trois organisations professionnelles tirent la sonnette d’alarme : l’heure est à l’accélération car il reste moins de 90 jours avant la date limite et obligatoire fixée au 1er février 2014 par la réglementation européenne.

Aujourd’hui, un peu plus de la moitié des virements et quelque 3 % des prélèvements sont aux formats SEPA.

Eviter un éventuel risque opérationnel pour les entreprises

Dans ce contexte, il est essentiel pour chaque entreprise d’engager dans les plus brefs délais les changements et les tests indispensables afin de réussir leur migration aux moyens de paiement SEPA. Le 1er février 2014 en effet, les entreprises qui n’auraient pas adopté les normes SEPA s’exposent à des risques opérationnels dans leur fonctionnement quotidien : blocage des virements de salaires, impacts de trésorerie liés aux règlements des fournisseurs ou des clients… Pour la plupart des TPE/PME, les modifications liées à la migration SEPA sont assez simples mais nécessitent des évolutions informatiques qu’il est indispensable de réaliser dès à présent.

Migration : comment s’y prendre ?

L’entreprise doit prendre contact au plus vite avec ses interlocuteurs habituels, si ce n’est pas déjà fait : conseiller bancaire, expert-comptable et fournisseur de solutions informatiques. L’objectif est d’identifier les flux de paiement concernés et de planifier les opérations : mettre à jour les applicatifs si nécessaire, remplacer les identifiants bancaires nationaux par les coordonnées BIC-IBAN, tester les échanges informatiques avec la banque…

En ce qui concerne les prélèvements, la migration peut prendre un peu plus de temps : il est d’autant plus urgent de faire rapidement les démarches nécessaires.

Des actions pratiques vis-à-vis des entreprises

La FBF, la CGPME et le MEDEF vont poursuivre leurs opérations d’information pratique ; elles vont intensifier leurs actions collectives pour permettre à toutes les entreprises françaises d’être prêtes le 1er février 2014.

Depuis plusieurs mois, les banques et les associations professionnelles sensibilisent et accompagnent les entreprises au travers de réunions en région, de courriers et d’emails, de brochures ou de contacts individuels. En complément du site du Comité national SEPA sepafrance.fr, le site www.banques-sepa.fr informe les entreprises sur les enjeux et les modalités du passage à SEPA.

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