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SWEN Capital Partners : la référence en investissement responsable non coté
Depuis le 16 janvier dernier, OFI Asset Management et Federal Finance Gestion ont regroupé leurs expertises de multigestion en non coté. Ce rapprochement des équipes spécialisées des deux sociétés de gestion a donné naissance à SWEN CAPITAL PARTNERS pour créer une référence européenne de la multigestion responsable en non coté, tant auprès d’une clientèle d’institutionnels que de particuliers.
- Spécialiste européen de la multigestion en non coté responsable
- L’accès à une grande diversité d’actifs non côtés
- Des solutions d’investissements et des services adaptés aux besoins d’une clientèle institutionnelle et de particuliers
> Source : www.swen-cp.fr
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OFI AM et Federal Finance Gestion créent SWEN Capital Partners
PRIVATE EQUITY – DETTE – INFRASTRUCTURE
Ce vendredi 16 janvier 2015, OFI Asset Management et Federal Finance Gestion regroupent leurs expertises de multigestion en non coté. Le rapprochement des équipes spécialisées des deux sociétés de gestion donne naissance à SWEN CAPITAL PARTNERS pour créer une référence européenne de la multigestion responsable en non coté, tant auprès d’une clientèle d’institutionnels que de particuliers.
Croissance zone €: signes de stabilisation-Note de conjoncture de Federal Finance
Le contraste a continué à se creuser en décembre entre les USA, dont la croissance économique a été révisée en hausse au troisième trimestre (de 3,9% à 5,0%), et l’Europe, en proie à la morosité et à l’inquiétude suscitée par les crises grecques et russes. Aux Etats-Unis, la bonne tenue de la consommation et de l’investissement a conduit la FED à continuer à préparer les marchés à une hausse de ses taux directeurs. En Europe, la chute du prix de l’énergie est venue nourrir les craintes de déflation et augmenter la probabilité d’achats de titres souverains par la BCE. Elle a fragilisé également l’économie et la monnaie russe, poussant l’inflation et les taux directeurs à la hausse (17%). Dans ce contexte fragile, la Grèce est revenue sur le devant de la scène. L’incapacité à élire un nouveau président lors des élections anticipées conduira à de nouvelles élections législatives à haut
risque en janvier 2015. Au-delà de ce contexte apparemment peu porteur, force est de constater que les conditions économiques et financières (baisse du pétrole et de l’euro) plus favorables devraient produire leurs effets en 2015. Par ailleurs, la reprise de l’économie américaine, moteur important de l’économie mondiale, est plus solide. Il n’est donc pas complètement exclu, sur cette base, que l’année 2015 puisse nous réserver, une fois n’est pas coutume, quelques surprises positives.
En Zone euro, la croissance est faible mais donne des signes de stabilisation. L’indice de confiance PMI composite se redresse légèrement en décembre. En Allemagne, l’indice de climat des affaires IFO progresse pour le deuxième mois consécutif. La crise russe continue de peser sur l’industrie mais la demande est mieux orientée en provenance des pays développés (notamment USA) et la baisse de l’Euro et des prix du pétrole sont des facteurs positifs pour la croissance. Ce contexte aide également la croissance française mais la consommation reste limitée par la progression du chômage. Les entreprises attendent de voir leurs marges s’améliorer grâce au pacte de responsabilité avant d’investir davantage. En Grèce, la croissance commence à revenir après quatre ans de récession. Le parti Syriza, qui souhaite notamment renégocier la dette grecque détenue par les institutions publiques, est en tête des sondages pour les élections législatives du 25 janvier 2015. L’inflation en zone euro est de +0,3% en novembre et l’inflation hors produits énergétiques à +0,7%.
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La Zone€ traverse une phase d’affaiblissement de son économie-Note de conjoncture de Federal Finance
BCE : La BCE a acheté seulement 368 M€ de titres adossés à des actifs (ABS) dans le cadre de son nouveau programme d’acquisitions de titres, débuté le 21/11, qui complète les achats d’obligations sécurisées, dont le montant cumulé depuis le 20/10 atteint désormais 17,8 Md€. Le déploiement de ces instruments, ainsi que le prochain T-LTRO (refinancement à long terme du secteur bancaire) qui sera mené ce jeudi 11/12, doivent contribuer à augmenter la taille du bilan de la BCE, afin de faire remonter l’inflation. Sans surprise, la BCE a maintenu ses taux directeurs inchangés lors de sa dernière réunion de l’année. Ses économistes ont révisé sensiblement à la baisse leurs projections 2015 et 2016 de croissance (1,0% et 1,5%) et d’inflation (0,7% et 1,3%). M. Draghi a beaucoup insisté sur la faiblesse de l’inflation, qui pourrait encore être accentuée par la chute des cours du pétrole. Dans ce contexte, la BCE sera vigilante quant à l’impact de l’évolution des prix pétroliers sur les tendances de l’inflation et de la croissance. De plus, elle ne tolèrera pas une déviation prolongée par rapport à l’objectif de stabilité des prix, principal mandat de la BCE. Début 2015, la BCE réévaluera les effets des mesures de stimulation monétaire prises en 2014, ainsi que l’expansion de la taille de son bilan, et si nécessaire, d’autres actions non-conventionnelles seront décidées. Il a rappelé que la taille du bilan de la BCE est destinée à s’accroître pour atteindre le niveau de début 2012 (soit +1 000 Md€). Les équipes techniques de la BCE y travaillent déjà activement, et M. Draghi a précisé qu’un programme d’assouplissement quantitatif (QE) comportant une gamme de différents instruments (hormis l’or et les obligations d’Etats étrangers) est l’un des nombreux scénarios envisagés. Le lancement d’un tel programme ne nécessite pas l’unanimité, a souligné M. Draghi, ce qui laisse penser qu’il y a de fortes oppositions au sein du Conseil des gouverneurs. Dès vendredi, le Président de la Bundesbank J. Weidmann a jugé qu’une politique d’achat d’obligations d’Etats européens comporte des risques et ne fonctionnerait pas en Europe.
E. Nowotny, membre du Conseil des Gouverneurs de la BCE, a déclaré ce matin que la Zone euro traversait une phase d’affaiblissement massif de son économie. Il a rajouté qu’il fallait s’attendre à un taux d’inflation plus bas au 1er trimestre 2015. Le gouverneur de la Banque centrale autrichienne a confirmé l’objectif de l’accroissement du bilan de la BCE d’environ 1 000 Md€. Il a néanmoins ajouté que les avantages et les inconvénients de l’acquisition d’obligations d’Etats de la Zone euro seront débattus.
France : En dépit du léger sursaut (+0.3%) de la croissance du PIB au 3e trimestre, le taux de chômage en France métropolitaine a continué à augmenter de 0.2% entre juin et septembre pour s’établir à 9.9%, son niveau d’il y a un an. Cela représente donc une hausse totale de 77 000 demandeurs d’emplois sur le trimestre. Enfin, toutes les catégories sociales (hommes, femmes, jeunes et seniors), à l’exception des hommes de plus de 50 ans, ont vu leur taux de chômage progresser.
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Zone €: croissance du PIB à +0,6% -Note de conjoncture de Federal Finance
Après le « coup d’accordéon » d’octobre, les marchés actions des pays développés ont poursuivi leur rebond soutenus par la communication de la BCE, l’action de la Banque du Japon et la publication de chiffres économiques américains rassurants. La croissance du PIB américain au troisième trimestre a en effet été revue en hausse (3,9% l’an) alors que celle du Japon, décevante (-1,7%,) a confirmé le retour de l’archipel en récession. L’activité en Zone euro est restée anémique (+0,6%) renforçant les craintes de déflation. Celles–ci ont été entretenues par la poursuite de la baisse du pétrole liée à la décision des pays producteurs de ne pas réduire leur production. La baisse du prix de l’énergie va continuer à impacter les chiffres d’inflation nominale et, si elle s’avérait durable, pourrait peser sur les futures hausses de salaires (effets de second tour). Dans ce contexte, la BCE a ré-exprimé sa détermination à lutter contre les anticipations de déflation, au moyen s’il le fallait, d’ajustements au niveau « du rythme, de la taille et de la composition » de son programme d’achats de titres. La Commission Européenne apportera son soutien via le plan d’investissement Junker (315 milliards d’euros sur 3 ans) et continuera à suivre de près, dans les semaines et les mois qui viennent, la réalisation des réformes de fond et le respect des engagements budgétaires de certains pays, notamment la France.
En zone euro, la croissance du PIB au troisième trimestre est de nouveau décevante à +0,6%. La croissance allemande est faible à +0,3%. La consommation des ménages et les exportations sont solides et rassurent quant à la capacité de rebond de l’économie. L’investissement des entreprises reste un point d’inquiétude dans un contexte de tensions géopolitiques et de hausse des salaires. Les stocks ont pesé fortement à la baisse. En France, la croissance rebondit à +1,1% mais ne rassure pas pour autant. La consommation est modérée et l’investissement des entreprises toujours en recul. La croissance est principalement tirée par les dépenses publiques et des effets de re-stockage. Dans les pays périphériques, les pays ayant effectué des réformes structurelles commencent à récolter les fruits (Espagne, Grèce, Portugal) alors que l’Italie reste en récession. Le vote en novembre sur la réforme du marché du travail italien est encourageant dans une perspective à moyen terme. L’inflation en zone euro ralentit de nouveau à +0,3% en novembre.
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