Archives Mensuelles: janvier 2017
Philippe Yvin : « Nous lançons 45 chantiers en 2017 » @GdParisExpress
Source : Société du grand Paris
Budget en forte hausse, premiers emprunts, grands chantiers et attributions de nouveaux marchés : 2017 est une année charnière pour le Grand Paris Express et la Société du Grand Paris. Philippe Yvin, le président du directoire, revient sur la montée en puissance du projet.
Le budget 2017 de la Société du Grand Paris a été adopté le 28 novembre dernier par le conseil de surveillance. Comment se repartit-il ?
Philippe Yvin : Le budget 2017 s’établit à 1,76 milliard d’euros. En hausse de 58 % par rapport au budget 2016, il reflète la montée en puissance que connaît le projet. Le volet investissement, consacré à la réalisation du Grand Paris Express, s’élève à plus d’un milliard d’euros. Par ailleurs, 510 millions d’euros, soit près d’un tiers du budget annuel total, seront dépensés pour moderniser et prolonger le réseau existant. En 2017, la Société du Grand Paris aura consommé l’intégralité de son fonds de roulement. Et pour la première fois depuis sa création, elle aura recours à l’emprunt, à hauteur de 700 millions d’euros. Ces emprunts se feront d’abord auprès de la Caisse des dépôts et de la Banque européenne d’investissement, nos deux prêteurs déjà identifiés. Nous irons également, dès cette année, sur les marchés financiers.
La solidité du modèle de financement de la Société du Grand Paris est-elle garantie ?
P. Y.: La souscription d’emprunts à très long terme est inscrite dans le modèle de financement du projet. Ce dernier s’appuie sur de solides fondations grâce auxquelles la Société du Grand Paris vient d’obtenir la notation Aa2/Prime-1 par l’agence Moody’s. Ces notes confirment la robustesse du cadre institutionnel et opérationnel de la Société du Grand Paris. Le rôle décisif du Grand Paris Express dans le développement de la région Capitale se trouve ainsi renforcé, en tant que projet stratégique de long terme, porté par une société de projet dédiée et adossée à l’Etat…en savoir plus…
.@Quartus participera à la phase finale de « Réinventer la Seine »
Le Groupe QUARTUS vient d’être retenu pour participer à la phase finale de l’appel à projets innovants « Réinventer la Seine » sur l’ensemble des sites sur lesquels il s’est positionné.
Le Groupe QUARTUS, promoteur et ensemblier urbain français indépendant tourné vers les nouveaux usages, vient d’être retenu pour participer à la phase finale de l’appel à projets innovants « Réinventer la Seine » sur l’ensemble des sites sur lesquels il s’est positionné :
- L’ancienne Usine des eaux à Ivry-sur-Seine avec le projet Réinventons la terre,
- les écuries de la Briche à Saint-Denis avec le projet « le Pavillon de la Briche »,
- l’ancien TGI à Bobigny avec le projet Escales croisées,
- et le Port de Tolbiac à Paris avec le projet LUD/EAU.
Le groupe QUARTUS est fier de cette nouvelle étape, qui illustre ses ambitions en matière de nouvelle urbanité, au cœur d’un environnement particulièrement propice à un tel défi.
En mars 2016, la ville de Paris, les agglomérations de Rouen et du Havre, ainsi que l’établissement public Haropa, se sont associés pour lancer un appel à projets innovants sur 42 sites répartis le long de l’axe Seine. Les objectifs de l’appel à projets sont de développer des projets porteurs de sens, de qualité de vie, de performance sociale et environnementale en s’appuyant sur la Seine et ses canaux comme vecteurs de développement, de susciter une émulation source d’innovation dans le rapport au fleuve et dans l’apport du fleuve au territoire, et de développer une grande mixité d’usage et d’insertion des activités liées au fleuve dans la Ville.
Pour QUARTUS, la promotion n’est plus l’acte de bâtir sur un terrain isolé mais l’acte d’édifier sur des territoires partagés. L’habitat ne devra plus simplement s’attacher à offrir un toit à l’Homme et à ses activités mais bien à contribuer pleinement à son accomplissement.
C’est pourquoi QUARTUS a notamment mobilisé sur ces projets des partenaires locaux et des concepteurs adeptes de l’économie circulaire pour créer des écosystèmes répondant aux besoins des territoires et des usagers actuels et futurs.
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Une SemOp pour faire d’Amiens une référence en ENR @fedepl @AmiensMetropole
Une SemOp pour faire d’Amiens une référence en ENR
Née le 1er janvier 2017, Amiens Énergies est la première SemOp française créée dans le domaine de l’énergie. Engie-Cofely en est l’actionnaire opérateur. Sa mission : exploiter et développer le réseau de chaleur de la ville d’Amiens. Autre nouveauté, la Caisse des dépôts en sera un des principaux actionnaires. Aux commandes du projet depuis le début, Benoît Mercuzot préside ce nouvel opérateur énergétique. L’adjoint au maire d’Amiens et vice-président de la Communauté d’agglomération Amiens Métropole en charge des finances et de l’innovation, nous en révèle les contours et l’esprit d’audace qui a prévalu à sa création.
Quels ont été les besoins exprimés par la Ville ?
La nouvelle majorité arrivée en 2014 héritait d’une gestion du réseau de chaleur en régie. Bien qu’elle propose un tarif parmi les plus bas de France, nous risquions de disposer de moins en moins de moyens techniques et humains pour assurer une gestion en direct. Par ailleurs, le réseau a besoin d’être modernisé et étendu pour accroître le nombre de raccordement aux équipements et aux logements afin de faire bénéficier au plus grand nombre une source d’énergie propre, fiable et pérenne. Pour cela, nous avions besoin d’entrer dans une démarche de développement.
« La SemOp modernise le partenariat public-privé »…en savoir plus…
#immobilier : une révolution digitale du #logement @habx_fr
Source : www.habx.fr
HABX, plateforme digitale développée par la start-up Ville pour tous, à la croisée de l’immobilier et du numérique, ambitionne de remettre l’habitant et les familles au coeur de la conception de leur logement et lance quatre projets pilotes pour révolutionner l’accès à la propriété.
Trois d’entre eux sont situés en Ile de France à Noisy-le-Grand, Sartrouville et Sarcelles Village ; le quatrième, le projet Edison Lite emblématique de Reinventer Paris, verra le jour dans le 13ème arrondissement.
De nouveaux projets seront également lancés dans les prochains mois à Bordeaux, Toulouse et sur l’ensemble du territoire national. Leur ambition : remettre l’habitant au centre du projet immobilier.
Le défi de Ville pour Tous a conduit l’équipe à questionner les modes de conception et de production traditionnels de l’immobilier. L’idée s’est finalement imposée que les projets puissent se construire à partir de la demande géographique, culturelle ou architecturale, dans une logique d’habitat participatif. Pour cela, HABX rassemble en amont les habitants d’un futur immeuble. Grâce à des outils digitaux innovants, la plateforme recueille les besoins de chacun et construit le projet à partir de la demande exprimée par les futurs habitants. « Ensemble, on peut avoir plus » : telle est la conviction d’HABX et de ses équipes.
Cette démarche permet d’obtenir un logement personnalisé et adapté significativement moins cher que le prix du marché. La digitalisation du processus engendre une forte diminution du prix par la compression des coûts de commercialisation, de publicité et la réduction des frais financiers et de portage. Elle permet ainsi d’économiser 10 à 30% du coût du logement et de redonner ainsi du
pouvoir d’achat aux familles.
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