Archives du blog
Green Tech : l’incubateur numérique au service de la transition écologique
Source : ministère du développement durable
Optimiser à distance son chauffage, faciliter son transport, mais aussi être mieux informé des risques naturels… Autant de services possibles grâce au numérique. Ségolène Royal et Emmanuel Macron ont lancé mardi 9 février un incubateur Green Tech au ministère de l’Écologie pour accompagner les entreprises dans le développement de services et d’usages liés aux nouvelles technologies.
Numérique et transition écologiqueLa ministre a souhaité favoriser le développement numérique au sein de son ministère pour plusieurs raisons : les données dont dispose le ministère peuvent servir pour des applications très concrètes dans la vie quotidienne ; les start-up ont besoin d’être accompagnées pour favoriser l’émergence de nouvelles filières dans le secteur de la transition écologique.
Compteurs intelligents, géolocalisation, détecteur de pesticides
14 défis ont été identifiés dans les 8 secteurs de la transition écologique pour le développement de nouvelles applications.
« Sans dynamique numérique, point de d’attractivité économique »
Source: Fédération des EPL
« L’enjeu est de taille », assure le vice-président en charge du numérique, Rémi Martial.
Chartres Métropole veut mettre la pression sur l’opérateur Orange, jugé trop attentiste dans le déploiement de la fibre optique en créant une Sem dédiée à l’innovation numérique,
Pourquoi créer une Sem pour accélérer le déploiement de la fibre optique sur votre territoire ?
L’opérateur Orange est mandaté pour assurer ce déploiement sur les trois quarts du territoire mais les maires des communes de Chartres Métropole estiment que le processus est trop lent. L’enjeu est de taille, à tel point qu’en 2015, l’agglomération s’est dotée d’une compétence en matière de gestion des réseaux télécom. Nous avons donc souhaité concrétiser cette prise de compétence en créant Chartres Métropole innovation numérique (Cm’in) et ainsi mettre la pression sur l’opérateur. Par ailleurs, nous voulons créer une smart city pour mieux connecter entre eux les 130 000 habitants de l’agglomération, les entreprises, les élus, les services publics, etc. Cette Sem, qui a vu le jour le 1er janvier 2016, est donc positionnée aux avant-postes pour mieux défricher le terrain, notre objectif étant d’être un territoire entièrement connecté d’ici 2020.
Vous insistez sur le lien organique entre développement numérique et attractivité économique.
L’évidence est désormais partagée par tous les acteurs locaux : sans dynamique numérique, point de salut économique. Avant de s’installer dans les territoires, les entreprises cherchent avant tout à savoir si ce dernier est solidement connecté. Le télétravail, qui est en pleine expansion, n’est possible que si les bassins de vie concernés répondent aux exigences numériques minimales. Dans toutes les zones d’activités, il est impensable que la fibre optique fasse défaut.
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La profession immobilière face au numérique? Une mission lancée par E. Macron et S. PINEL
Source : ministère du Logement
Sylvia Pinel, ministre du Logement, de l’Egalité des territoires et de la Ruralité, et Emmanuel Macron, ministre de l’Economie, de l’Industrie et du Numérique, lancent une mission sur l’avenir de la profession immobilière face à la révolution numérique.
Moderniser les métiers de l’immobilier
Dans un contexte d’émergence de nouvelles pratiques de consommations liées à la digitalisation croissante, les outils numériques peuvent constituer une opportunité de remise en question des modèles actuels. …en savoir plus…
Avec Zefil, Toulouse est à l’heure du tout numérique
Source: Fédération des EPL
Avec Zefil, Toulouse veut garder un temps d’avance
En ciblant les entreprises dans les zones commerciales, Zefil, nom commercial de la Spl Rin créée en 2013 par Toulouse Métropole, est plus à même de renforcer l’attractivité économique de son territoire.
Certains réseaux voient le jour pour répondre à des contextes particuliers. C’est le cas à Toulouse où la Spl Rin (Société publique locale Réseau d’infrastructure numérique) a été créée « pour éviter que Toulouse ne devienne un point d’engorgement du réseau télécom français », explique Michaël Combes, directeur des systèmes du réseau d’initiative publique (Rip) toulousain.
La création d’un réseau par la Ville de Toulouse dès 2002 pour faciliter le passage à l’ère numérique dans les zones commerciales favorise aujourd’hui le potentiel de développement de la fibre. « Les opérateurs sont dans des logiques commerciales, notre réseau leur est ouvert mais nous avons d’autres exigences. Nous ne pouvons ‘caler‘ notre dynamique d’expansion économique sur celui du calendrier de déploiement de la fibre optique des grands opérateurs« , explique Bertrand Serp, président de la Spl, vice-président UMP de la Communauté urbaine Toulouse Métropole en charge de l’économie numérique.
La 4G dans le métro en 2017
L’avenir de Zefil passe par la participation à des grands projets structurants comme la smart city, dont le schéma directeur a été dévoilé fin décembre, adossé à un budget de 500 millions d’euros. Un projet qui permettra la mise en place, par exemple, de la 4G dans le métro à l’horizon 2017. « Nous voulons rendre toujours plus performantes nos offres pour les startups du territoire métropolitain labellisées Frenchtech« , conclut Bertrand Serp.
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Très Haut Débit, comment une Spl fait trembler les opérateurs privés
Source: Fédération des EPL
Trois communes de Moselle offrent des conditions idéales de très haut débit aux habitants en s’appuyant sur des réseaux déjà existants, mus par une culture de régie mature,
Les habitants de Marange-Silvange-Ternel, Pierrevillers et Rombas (Moselle) ont de la chance : les trois communes ont en effet décidé de créer leur propre Société publique locale de télécommunication, Orne THD, une Spl qui leur offre la possibilité d’un accès internet à très haut débit, grâce à la fibre optique, « pour un prix deux fois moins élevé que les opérateurs classiques« , assure Mathieu Foret, le directeur général de la structure. « Ce projet a pu être concrétisé parce que dans notre région, les réseaux d’électricité existent depuis de nombreuses années. Les trois communes en question sont donc équipées de réseaux câblés, gérés en régie« , poursuit-il. Une antériorité qui a permis d’envisager la création d’une Spl, sans passer par un syndicat intercommunal et en évitant une hausse des impôts.
L’offre globale d’Orne THD
La modernisation des réseaux en incorporant les nouvelles techniques de la fibre optique débouche en effet sur une facture très allégée : moins de 2 millions d’euros d’investissement pendant que d’autres collectivités sont contraintes à consacrer au moins 10 millions d’euros pour parvenir à un résultat similaire, avant même de confier les clés de la gestion à des opérateurs privés. Avec Orne THD, les communes restent propriétaires des réseaux et lui délèguent le fonctionnement commercial. Les travaux ont été financés par l’emprunt et les fonds propres des anciennes régies de télédistribution…lire la suite…
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