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Bordeaux … à la conquête des marchés belges
Rendez-vous d’affaires organisé par les villes de Bruxelles, L’EPA Bordeaux Euratlantique, la Ville de Bordeaux et leurs partenaires.
En ouverture de la matinée de rendez-vous BtoB (7h45) Alain Juppé, Maire de Bordeaux, Ancien Premier ministre et Président de la Communauté urbaine de Bordeaux, intervient auprès des acteurs économiques, institutionnels et invités membres de la Chambre française de commerce et d’industrie en Belgique sur le thème :
« Osez Bordeaux, une métropole à l’ambition européenne »
Pourquoi cette rencontre d’affaires ?
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Un nouveau directeur général pour Bordeaux-Euratlantique
Stéphan de Faÿ vient d’être nommé directeur général de l’établissement public d’aménagement de Bordeaux-Euratlantique chargé de la mise en œuvre de l’opération d’intérêt national (OIN) décidée en 2009 afin d’approfondir le développement de la métropole bordelaise – notamment autour de la gare Saint-Jean – avec le concours des communes alentours de Bègles et Floirac. Il prend la succession de Philippe Courtois, à la tête de l’établissement depuis sa création en 2010.
Le nouveau directeur général, Stéphane de Faÿ, un polytechnicien de 49 ans, également formé sur les bancs de l’École nationale supérieure des techniques avancées, était, depuis février 2011, directeur général adjoint de l’établissement public d’aménagement de la Défense Seine Arche (Epadesa).
Ce haut fonctionnaire avait rejoint cette structure après plusieurs postes en cabinets ministériels, sous le gouvernement Fillon. Il a d’abord collaboré avec le secrétaire d’État chargé du Développement de la région capitale, Christian Blanc, notamment au poste de directeur adjoint de cabinet en 2010. Directeur adjoint du cabinet du ministre de l’Espace rural et de l’Aménagement du territoire Michel Mercier, en charge du dossier “Grand Paris” au second semestre, il a ensuite dirigé le pôle “Grand Paris” au cabinet du ministre de la Ville Maurice Leroy (novembre 2010-janvier 2011).
Auparavant, Stéphane de Faÿ a débuté comme responsable technico-commercial sur un contrat d’export de frégates pour Singapour à la direction des constructions navales en 2001. Adjoint au directeur du bureau de programme international Fremm (programme naval franco-italien) à la délégation générale pour l’armement (DGA) en 2003, il dirige le bureau “Otan” à la direction de la stratégie (D4S) de la délégation générale de l’armement de 2005 à 2008.
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>Source : www.acteurspublics.com
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Labelliser l’agglomération bordelaise « quartier numérique », d’ici 2014
A l’occasion de la visite de Fleur Pellerin, Ministre déléguée aux PME, à l’Innovation, et à l’Economie Numérique, M. Vincent Feltesse, député de la Gironde, président de la Communauté urbaine de Bordeaux, a présenté les atouts de la candidature « Cité numérique Bordeaux Métropole Aquitaine ». Rappelant la vitalité de l’écosystème local, il a manifesté son souhait de voir la métropole bordelaise reconnue comme une place forte du numérique et retenue dans la première vague de projets labellisés « Quartiers numériques », d’ici la fin de l’année. Cette candidature, pilotée par la Communauté urbaine de Bordeaux, associe les villes de Bègles et Bordeaux, ainsi que le Conseil régional d’Aquitaine, Bordeaux-Euratlantique, AEC et le futur Pôle numérique aquitain*. Elle répond aux critères de sélection requis, sur les bases suivantes.
* Le projet de Cité numérique constitue le bâtiment étendard d’une filière à fort potentiel de développement. La future Cité numérique offrira en effet 27 000 m² exclusivement dédiés à la filière du numérique, la ZAC Saint-Jean-Belcier proposant à proximité immédiate 300 000 m² de bureaux supplémentaires.
* Autour de la Cité Numérique, la ZAC Saint-Jean-Belcier – qui accueillera la gare TGV en 2017 – et le quartier des Terres Neuves proposent un environnement propice au développement d’activités innovantes en général et de cette filière en particulier. Ce quartier se développera en étroite interaction avec le campus, où sont concentrés outils de recherche et de formation.
* Ce territoire dispose par ailleurs de solides atouts au regard des critères de labellisation : couverture Ultra Haut Débit (UHD / réseau Inolia), déploiement du Très Haut Débit et de la 4G, offre immobilière pour accueillir les start-up, les PME et les grands donneurs d’ordre, coopérations engagées avec d’autres pôles numériques majeurs (Cap Digital, mais aussi Euratechnologies et Mons Digital Valley…), gouvernance partenariale…
* Enfin, le dynamisme des acteurs locaux (Asobo, Immersion, Snapp, I2S, Axyz, AT Internet, Concourmania, Cheops, Betomorrow…) peut être conforté par l’implantation de grands donneurs d’ordres généralistes sur le périmètre d’Euratlantique.
Rappel. Un rapport de la Caisse des Dépôts et Consignations, remis en juillet dernier au Premier Ministre, propose de constituer des quartier numériques réunissant, autour d’un bâtiment « totem », start-up, universités, centre de recherche et entreprises. Pour obtenir cette qualification, les collectivités locales candidates doivent répondre à un cahier des charges précis.
. Le futur Pôle numérique aquitain regroupe – entre autres – des clusters comme TIC-Santé ou Topos, des associations (Bordeaux Games, Aquinum, Adeiso ou eCom33…), plus des structures comme ADI, la CCIB, le Conseil régional d’Aquitaine…
La Cité Numérique, l’essentiel. Portée par la Cub, en partenariat avec la Région Aquitaine, la Ville de Bègles, l’EPA Bordeaux-Euratlantique et la Caisse des Dépôts et Consignations, la Cité Numérique est appelée à devenir le « totem » de l’écosystème numérique de la métropole bordelaise et de la région Aquitaine. Ce projet centré sur les nouveaux usages du numérique et un objectif d’innovation sociale, intéresse à la fois les entreprises et le grand public. Plus de 600 emplois devraient y être regroupés.
TIC-santé, start-up spécialisées dans l’animation 3D, le jeu vidéo, le m-commerce, la scénarisation du patrimoine, devraient y trouver une vitrine et un terrain de développement adapté, en synergie avec d’autres lieux comme le domaine universitaire, Bordeaux Unitec ou les écoles et entreprises qui pourraient s’implanter à Bordeaux, par exemple aux Bassins-à-Flots.
Développé sur l’ancien centre de tri postal Jean-Jacques Bosc à Bègles, au cœur de l’Opération d’Intérêt National Bordeaux-Euratlantique, ce projet est aujourd’hui chiffré à 35 M€. Les 27 000 m² de locaux prévus devraient être livrés courant 2015 et regrouper un incubateur (200m²), une pépinière (600 m²), un accélérateur de projets (1 000 m²), des bureaux à louer (6 000 m²), des bureaux à vendre (6 500 m²) et des constructions neuves (7 400 m²). Au cœur de cet espace, un noyau ressource proposera des équipements et services mutualisés, dont un pôle pédagogique réunissant le musée 3.0 de la Création Franche et un centre de formation aux technologies numériques. Alexandre Chemetoff vient d’être retenu par l’EPA Bordeaux-Euratlantique pour l’aménagement de cette friche industrielle.
Autre donnée : la filière numérique pèse aujourd’hui plus de 15 000 emplois directs sur l’agglomération bordelaise.
Une opération de rénovation urbaine transforme la rive droite de Bordeaux
Le grand projet de ville lancé il y a près de dix ans et pour lequel 630 millions d’euros ont été investis a permis de dynamiser les quartiers défavorisés de la rive droite de l’agglomération.
Le projet de rénovation urbaine, le plus important jamais mené en Aquitaine, a mobilisé 630 millions d’euros, dont un quart en provenance de l’Etat (via l’Agence nationale pour la rénovation urbaine), un quart des collectivités locales et le reste des fonds européens et des bailleurs sociaux…LIRE L’ARTICLE