Archives de Catégorie: Transition écologique

L’autoconsommation collective, qu’est-ce que c’est ? @Ogic_officiel

Source : Ogic

Un bâtiment qui produit et consomme sa propre énergie ? C’est le principe de l’autoconsommation collective. A l’heure où les consommateurs sont en quête de pratiques plus vertueuses, cette démarche offre la possibilité d’une consommation d’énergie en circuit-court, ainsi que la promesse de futures économies.

L’autoconsommation consiste à consommer une partie ou l’intégralité de l’énergie que l’on produit. Cette autoconsommation est dite collective quand les parties prenantes sont liées entre elles au sein d’une personne morale : une copropriété, une association, une coopérative…

Très concrètementon parle d’autoconsommation collective lorsqu’un bâtiment, ou un groupe de bâtiments, produit de l’énergie pour la consommation de ses occupants.

Un exemple ? A Lyon, dans le quartier Confluence, nous sommes en train de construire le premier lieu de vie et de travail en autoconsommation collective. Des panneaux photovoltaïques capteront l’énergie solaire pour la redistribuer aux bureaux, commerces et habitations. A terme, jusqu’à 50% des besoins en électricité seront ainsi couverts par l’autoconsommation collective.

Pourquoi recourir à l’autoconsommation collective ?

Investir dans la rénovation des passoires énergétiques : condition indispensable pour surmonter et prévenir la crise environnementale, sanitaire, sociale et économique @MouvementSOLIHA

Source : Soliha

L’Initiative rénovons a présenté ses propositions et son Scénario 2020 pour la rénovation des passoires énergétiques en dix ans. Ces propositions rassemblées dans la “Feuille de route pour la rénovation des passoires énergétiques en 10 ans” doivent être obligatoirement mises en œuvre pour que le Scénario Rénovons 2020 puisse se déployer.

La crise sanitaire liée au Covid-19, nous précipite dans un questionnement général sur les solutions à mettre en œuvre pour faire du monde de demain un monde plus protecteur.

La rénovation énergétiques des logements, et particulièrement des passoires énergétiques qui représentent encore aujourd’hui près de 7 millions de résidences principales dans le parc de logements privés, est l’une de ces solutions majeure à déployer massivement.

L’initiative Rénovons rappelle dans sa Feuille de Route que le déploiement d’un plan massif d’investissements publics et privés dans la rénovation ne pourra se faire qu’en levant les obstacles toujours d’actualité qui freinent fortement l’envie des habitant-e-s de se lancer dans la rénovation de leur logement et les possibilités d’avoir une offre de travaux de grande qualité accessible à tous et toutes…

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La Métropole du Grand Paris adopte à l’unanimité un plan de relance de 110 millions d’euros pour un territoire durable, équilibré et résilient @GrandParisMGP

Source : Métropole du Grand Paris

Un Conseil métropolitain exceptionnel s’est tenu ce vendredi 15 mai 2020, sous la présidence de Patrick OLLIER. À cette occasion, les conseillers métropolitains ont adopté un Plan métropolitain de relance, doté d’une enveloppe de 110 millions d’euros et composé de 50 actions structurantes. La Métropole du Grand Paris réaffirme ainsi son rôle d’opérateur économique majeur pour relancer une économie locale fortement marquée par la crise sanitaire et soutenir les différents acteurs de proximité.

« À travers ce plan de relance, la Métropole du Grand Paris joue pleinement son rôle d’opérateur de la transition écologique de l’économie métropolitaine vers des modes de production, de consommation et d’échanges, plus sobres, plus inclusifs et plus équilibré », souligne Patrick OLLIER, Président de la Métropole du Grand Paris.

Le plan de relance est structuré en cinq axes et décliné en 50 actions. Ces actions seront engagées dans un cadre partenarial avec, en particulier, la Banque des Territoires et la Chambre de commerce et d’industrie de Paris / Île-de-France.

  1. Promouvoir une stratégie de résilience intégrant le retour d’expérience de la crise sanitaire avec l’adoption d’un Plan métropolitain de santé et de résilience ; l’accélération du Plan Alimentation Durable métropolitain engagé en 2019 ; la construction d’un observatoire partenarial en open data…

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16 collectivités expérimentent la planification urbaine bas carbone @ademe

Source : ADEME

Depuis novembre 2019, l’ADEME accompagne 16 collectivités territoriales lauréates de l’appel à manifestation d’intérêt «  planification urbaine au service des stratégies bas carbone » pour expérimenter l’effet levier de l’urbanisme dans la mise en œuvre de la transition énergétique et écologique. Cet appel à projet vise à favoriser la prise en compte des enjeux de la transition  énergétique et écologique dans les documents de planification (SCoT, PLUi et PLU).

Un accompagnement de deux ans à plusieurs niveaux et adapté à chaque projet 

Pour accompagner les lauréats, l’ADEME a missionné le CEREMA pour une Assistance à Maîtrise d’Ouvrage (AMO), mutualisée au niveau national. Parmi les 16 collectivités, en fonction de la nature et avancement du projets, 12 bénéficient d’un accompagnement personnalisé en ingénierie, les 4 autres de l’accompagnement collectif…

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Le Département du Val-de-Marne s’engage à créer des pistes cyclables pour répondre à l’urgence sanitaire @valdemarne_94

Source : Val-de-Marne

Le Conseil départemental du Val-de-Marne s’engage à créer des pistes cyclables sanitaires afin de protéger les déplacements des salariées et salariés obligés de se déplacer à l’issue du confinement.

Les travaux scientifiques en cours laissent penser qu’il sera nécessaire de maintenir durant plusieurs mois des mesures de distanciation sociale afin d’éviter le rebond de la pandémie de COVID-19. Cela posera d’importantes difficultés dans les transports en commun, d’habitude très fréquentés par les Val- de-Marnais et Val-de-Marnaises. En effet, l’application stricte des mesures de distanciation sociale réduirait de 80% les capacités des transports en commun. A l’échelle de l’Île-de-France, 4 millions d’usagères et d’usagers devraient alors opter pour d’autres moyens de déplacement.

Or, un report massif de ces usagères et usagers vers la voiture aurait pour conséquence néfaste d’augmenter les nuisances du trafic routier, en particulier la pollution de l’air, responsable à l’échelle nationale de 48 000 décès par an et facteur de complication du COVID-19…

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