Archives du 11 mars 2019
Le projet « Bordeaux Saint Jean » à découvrir au MIPIM @Apsys_Group @BxEuratlantique #Mipim2019
Source : Apsys
Le MIPIM a lieu du 12 au 15 mars, à Cannes. A cette occasion, le Président fondateur d’Apsys, Maurice Bansay, sera présent aux côtés de Stephan Fay, DG de Bordeaux Euratlantique, pour présenter l’opération « Bordeaux Saint Jean ».
Exposé sur le stand Magnetic Bordeaux (R7.C24), Bordeaux Saint-Jean sera présenté lors d’une conférence animée par Stéphan de Faÿ, Directeur général de Bordeaux Euratlantique, et Maurice Bansay, Président fondateur d’Apsys. Cette opération urbaine cousue main, menée par Apsys en lien étroit avec l’EPA Bordeaux Euratlantique, vise à créer un nouvel idéal urbain au cœur de la ville : un quartier inclusif, animé et multi-facettes qui mixe les fonctions (vivre, travailler, partager, shopper) et relie la gare Saint-Jean et la Garonne, grâce à l’ouverture d’un nouvel axe (« la rue bordelaise »).
>>> RDV le 14 Mars 2019 à 10h30 sur le stand Magnetic Bordeaux (R7.C24) pour assister à la conférence !
Lire aussi :
Assemblée générale des OPH 23 et 24 mai 2019 : les inscriptions sont ouvertes ! @federationOPH
L’Assemblée générale annuelle des Offices Publics de l’Habitat se tiendra cette année au Palais des Congrès du Mans, jeudi 23 mai toute la journée ainsi que la matinée du 24 mai 2019.
Préprogramme de l’Assemblée
Lancement des inscriptions le 7 mars
Les directeurs généraux des OPH ont reçu le 7 mars par mail les 2 liens d’inscription à l’AG et de réservation des hôtels. Un courrier a également été envoyé aux Offices à l’attention des présidents.
Jusqu’à quand s’inscrire et réserver vos hôtels ?… en savoir plus….
L’avenir de l’ESS passe par les territoires@Fedepl
Le 22 février, les membres du laboratoire d’idées de la Fédération des Epl, Les Capteurs de territoires, se sont retrouvés pour un débat autour de l’économie sociale et solidaire (ESS). Au cœur des échanges, une question : « Ce modèle économique qui fait société : l’économie sociale et solidaire a-t-elle un avenir ? »
Pour cette saison 2019, les participants se retrouvent pour 3 matinées de discussion sur le thème « Territoires en transition, des territoires face aux révolutions actuelles : la nécessaire adaptation des territoires aux mutations économiques, écologiques, numériques et sociétales ». Pour cette première session sur l’économie sociale et solidaire, l’invité était Hugues Sibille, spécialiste français de l’ESS et de l’innovation sociale. Il est actuellement président du Labo de l’ESS et de la Fondation du Crédit Coopératif.
Synthèse de l’économie sociale, de l’économie solidaire et de l’entreprenariat social, la notion d’ESS a émergé au début des années 2000. À ses 2 valeurs fondatrices, la solidarité et la démocratie, s’est ajoutée plus récemment la valeur écologique. La loi-cadre de 2014 définit l’ESS comme un mode d’entreprendre à tous les secteurs.
L’ESS représente 10 % du PNB
L’ESS représente aujourd’hui 10 % du PNB, 13,9 % de l’emploi privé et 200 000 sociétés. Elle compte 2,3 millions de salariés dont 200 000 travaillant dans les mutuelles, 300 000 dans les coopératives et 1,8 millions dans le secteur associatif.
Pour Hugues Sibille, 3 axes de progrès existent pour l’ESS dans les années qui viennent :
1 Il manque à l’ESS un récit mobilisateur, susceptible d’être porté par les décideurs et de donner au secteur une représentation institutionnelle accrue,
2 L’ESS ne couvre que 10% de l’économie nationale, elle doit se saisir de secteurs émergents notamment dans l’économie collaborative dont les acteurs principaux ne relèvent pas du modèle coopératif,
3 Des indicateurs spécifiques s’imposent afin que les acteurs de l’ESS parviennent à mesurer leur impact sachant que des levées de fonds en dépendent.
Oups.gouv.fr : le nouveau site pour corriger les erreurs #Droitalerreur @villes2fr
Un nouveau site pour corriger les erreurs
Le ministre de l’Action et des Comptes publics, Gérald Darmanin, vient de révéler à un grand quotidien national le lancement d’un nouveau site gouvernemental (Oups.gouv.fr) qui sera disponible d’ici le printemps.
Rappelons qu’à l’été 2018, le Parlement avait voté une loi sur le droit à l’erreur, afin qu’un citoyen ou une entreprise de bonne foi qui se trompe dans ses déclarations auprès de l’administration ne soit pas sanctionné dès la première faute pour l’une de ses démarches.
Ce site devrait permettre aux citoyens d’être guidés afin d’éviter au maximum les erreurs administratives dans leurs démarches. « Le site de chaque administration sera aussi doté d’un onglet ‘oups’, qui recensera les erreurs classiques commises lorsqu’on remplit sa déclaration d’impôt, aux douanes, aux Urssaf… » a indiqué le ministre.
Les administrations ouvriront également des guichets de réclamation et de régularisation des erreurs commises, si bien que celles-ci pourront aussi signaler les erreurs aux particuliers beaucoup plus rapidement grâce à l’analyse des données.