Archives du 1 mars 2016

WWF : Le Pandathlon 2016 se déroulera les 25 et 26 Juin 2016

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En savoir plus :www.wwf.fr

Les 25 et 26 juin 2016, le WWF organisera la 7e édition du Pandathlon : une aventure humaine, solidaire et festive au cœur du massif du Mont‐Blanc avec un objectif : sauvegarder le toit de l’Europe!
En choisissant d’agir à Saint Gervais Mont Blanc, le WWF permet aux participants d’intervenir là où la nature en a besoin. Car si les Alpes constituent l’une des plus riches zones naturelles en Europe, elles sont également l’une des régions montagneuses les plus intensément exploitées dans le monde.
Les entreprises ont aussi leur rôle à jouer dans le combat pour la protection de la nature. 
Grâce au Pandathlon, vos salariés n’auront jamais été aussi fiers de de travailler à vos côtés.
Les 25 et 26 juin 2016, proposez à vos salariés d’intervenir directement pour sauver un espace
menacé en France en rejoignant l’#OpérationMontBlanc à Saint-Gervais Mont-Blanc.
Informations et inscription sur pandathlon.fr


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Baromètre Se Loger : faut-il acheter pour habiter ou pour louer ?

edito.seloger.com

Baromètre des prix immobiliers

Pour accéder à la propriété, l’achat d’un logement ancien coûte en moyenne 275 900 € contre 157 300 € pour une acquisition immobilière destinée à la location. Pourquoi un tel écart de prix ?

43 % de moins consacrés à l’investissement locatif dans l’ancien

La somme dépensée par un acheteur pour acquérir un logement varie considérablement selon que le bien est destiné à être occupé par des locataires ou par lui-même. En effet, dans l’ancien, l’enveloppe moyenne allouée à l’achat d’un logement ancien avoisine les 275 900 €. Mais s’il s’agit d’un placement immobilier, on passe alors à 157 300 €. Soit une réduction de plus de 40 %. Même son de cloche (quoique plus atténué) dans le neuf. Le propriétaire d’un logement neuf dépensera 232 500 € pour s’y loger. Contre « seulement » 193 000 € dans le cas d’un investissement locatif. Soit 16 % de moins.

LPI-SeLoger

Pourquoi de telles différences de budgets ?

Que les choses soient claires, la pierre est très loin d’avoir perdu son statut de valeur « refuge ». Sans compter qu’au vu des niveaux respectifs des taux d’emprunt (bas) et de la demande locative (élevée), le locatif demeure un excellent placement immobilier. On peut toutefois supposer que la rentabilité faciale (c’est-à-dire le rapport entre le revenu locatif annuel du bien loué et son prix à l’achat, Ndlr) étant le plus souvent inversement proportionnelle à la superficie du bien, ce sont les petites surfaces qui sont ciblées en priorité par les investisseurs. Et qui dit moins de m² dit par conséquent moins d’euros dépensés pour les acquérir, ces fameux mètres carrés…

 

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Salon de l’agriculture : Rennes distinguée pour son plan alimentation durable


Source : Rennes ville et Métropole

Lundi 29 février, à l’occasion du salon de l’agriculture de Paris, sur le stand du ministère de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt, le ministre Stéphane Le Foll a désigné la Ville de Rennes lauréate de l’appel à projets du Programme national pour l’alimentation (PNA) lancé en septembre 2015 pour son projet « Construire d’un Plan alimentation durable pour la Ville de Rennes ».

La Ville de Rennes mène de nombreux projets et actions dans le domaine de l’alimentation durable (mise en place d’un marché public d’achat de denrées alimentaires favorisant la qualité de l’eau du bassin rennais, Plan alimentation enfance, labellisation « Territoire zéro gaspillage, zéro déchet », sensibilisation et outillage de communication des agents, information à destination du grand public, défi « famille à alimentation positive »).

La construction d’un Plan alimentation durable va permettre de formaliser les synergies et de fixer des objectifs ambitieux avec l’ensemble des acteurs (des producteurs aux convives) pour se donner un cadre commun et atteindre en 2020 : 40 % de la totalité des denrées alimentaires de la restauration collective produites de manière vertueuses (dont 20 % de produits issus de l’agriculture biologique), et d’autre part 50 % de gaspillage alimentaire dans la restauration scolaire en moins. Il s’agira de participer à la structuration de l’offre alimentaire locale en adaptant les achats de la Ville et réciproquement, afin de trouver le point d’équilibre entre les recommandations nutrition santé, la logistique et les enjeux environnementaux. Le résultat fera l’objet d’une sensibilisation forte des convives mais aussi du grand public.

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