Archives Mensuelles: juillet 2011
EFIDIS inaugure les résidences Huntziger et Castérès à Clichy-la-Garenne (92),
97 logements dont 79 neufs et 18 en acquisition-amélioration
Le mardi 5 juillet 2011, Pierre-François Gouiffès, président du directoire d’EFIDIS, Gilles Catoire, maire de Clichy-la-Garenne, Sylvie Ramond, conseillère générale des Hauts-de-Seine, Mireille Gitton, conseillère régional d’Île-de-France et Stéphane Bredin, sous-préfet chargé de mission pour la politique de la ville, ont inauguré les résidences Castérès et Huntziger à Clichy-la-Garenne. Les résidences Huntziger et Castérès sont situées aux portes de Paris, dans un quartier en renouveau qui s’inscrit dans un vaste projet de rénovation urbaine subventionné par l’ANRU*. Les locataires bénéficient du centre-ville à quelques pas, de la proximité des commerces, des principaux équipements municipaux, comme les écoles, et d’espaces verts. Les résidences sont très bien desservies par les transports en commun : les bus, le métro Mairie de Clichy sur la ligne 13 à cinq minutes à pied et la gare SNCF de Clichy-Levallois, à dix minutes.
La résidence Huntziger est composée de 52 logements neufs acquis en VEFA et 18 logements en acquisition-amélioration, le tout réparti sur trois bâtiments formant un même îlot. La résidence Castérès est constituée d’un bâtiment de 27 appartements neufs et d’une crèche aménagée au rez-de-chaussée par la ville de Clichy.
Les résidences sont certifiées Habitat & Environnement par CERQUAL, ce qui garantit un logement de qualité respectant un cahier des charges exigeant en termes environnementaux. Ainsi, chaque logement dispose d’équipements modernes et économes en énergie. Les toitures végétalisées de la résidence Castérès permettent d’améliorer l’isolation thermique du bâtiment. Ce dernier obtient ainsi une consommation de 85,3 kWh/m²/an, ce qui le classe dans la catégorie B des bâtiments économes en énergie.
Une plaquette destinée aux résidents a été diffusée lors de leur emménagement afin de leur présenter le fonctionnement de ces équipements. Elle rappelle aussi les gestes éco-citoyens qui contribuent à la préservation de l’environnement et à la diminution des charges pour les locataires grâce aux économies d’énergie réalisées.
Agglo de Tours : une Spl pour gérer le tourisme de loisirs
La communauté d’agglomération Tour(s)plus récupère les compétences des communes liées au tourisme de loisirs, ces dernières conservant la gestion du tourisme d’affaires. La loi sur les Société publique locale (Spl) a fourni aux élus locaux le dispositif juridique apparu comme plus pertinent.

Le 29 juin, le conseil communautaire de la communauté d’agglomération Tour(s)plus a voté la création d’une Spl, dédiée à l’accompagnement et au développement du tourisme de loisirs et à la gestion des offices de tourisme : « Tour Val de Loire Tourisme ». La nouvelle entité dont le capital de 270 000 € est réparti entre trois actionnaires : la communauté d’agglomération, la ville de Tours et un syndicat mixte, la Mission Val de Loire, regroupant les conseil régionaux de la Région Centre et des Pays de la Loire et dans lequel le conseil général d’Indre-et-Loire pourrait faire son entrée.
« Jusqu’ici cette compétence était directement gérée par la ville de Tours et par les autres communes concernées ; et a donc été transférée à l’agglo », explique Jean-François Lemarchand, président du directoire de la Saem Tours Evénements qui gère l’office de tourisme de Tours, mais aussi deux équipements principalement dédiés au tourisme d’affaires : le parc des expositions et le centre des congrès Vinci, construit par Jean Nouvel en 1993. Tours Evénements conserve la gestion de ces installations, le tourisme d’affaires restant une prérogative communale.
L’agglo Tour(s)plus achève ainsi, un processus débuté en 2009. Cette année-là, la ville de Tours fusionnait, en une seule Société d’économie mixte, les deux entités gérant l’office de tourisme d’un côté et les installations de l’autre. « Mais, explique Jean-François Lemarchand, pour des raisons de cohérence institutionnelle et de modèle économique, le transfert du tourisme à la communauté nécessitait une gestion autonome ». Les options envisagées furent celles d’un Epic ou encore d’une DSP ; finalement la loi sur les Spl emportera l’adhésion des élus. La souplesse de ce statut juridique alliant réactivité d’une entreprise privée et contrôle public au même titre qu’un service administratif est l’un des éléments mis en avant pour expliquer ce choix, mais ce n’est pas le seul. La création d’une Spl intégrant le syndicat mixte interrégional Mission Val de Loire a permis d’étendre le territoire d’intervention de la Spl au-delà du seul périmètre de la communauté d’agglomération. Elle permet aussi d’échapper à la procédure de mise en concurrence pour l’attribution de la gestion des OT. L’assemblée générale constitutive de « Tours Val de Loire Tourisme » est fixée le 19 juillet et la cession partielle d’actifs doit être effective pour une prise de jouissance le 1er août.
Pierre Magnetto/Naja
Source : site www.servirlepublic.fr
Nouveau guide AMORCE « État des lieux des installations de méthanisation des déchets ménagers en France »

De plus en plus d’installations de valorisation organique des déchets incluent une étape de méthanisation (fermentation anaérobie), dans l’optique de produire de l’énergie à partir des ordures ainsi qu’un amendement organique.
Afin de suivre le fonctionnement de ces unités et pour aider les collectivités qui veulent se lancer dans la méthanisation, AMORCE, en partenariat avec l’ADEME, a mis à jour l’état des lieux des installations françaises de méthanisation d’ordures ménagères qui avait été réalisé début 2010. Lire la suite




