Archives du blog

Un succès pour le doublement du prêt à taux zéro dans le neuf

Dans le cadre du plan de relance de l’économie, les montants des prêts à 0 % ont été doublés à partir de janvier 2009 pour les acquisitions d’un logement neuf. Cette disposition a dynamisé le nombre de prêts à taux zéro (PTZ) pour ce type d’achat (+ 12,9 % en 2009) et attiré les familles davantage que les personnes seules.

En 2009, les acquéreurs de logement individuel aidés par un PTZ, plus aisés qu’en 2008, ont profité de cette mesure pour investir dans un bien de valeur plus élevée. Dans le collectif, les acheteurs, moins aisés qu’en 2008, ont acquis un appartement moins cher.
Le doublement du prêt a permis une diminution de l’apport personnel et du taux d’effort. Les ménages bénéficiaires se sont installés plus près du centre de l’agglomération en zone A, et plus loin des pôles urbains sur le reste du territoire.

Télécharger la publication en PDF

La mobilité des ménages accélère le changement social en Île-de-France

Les déménagements des Franciliens à l’intérieur de la région, leurs départs vers la province et les entrées de personnes venant du reste de l’Hexagone ou de l’étranger accentuent les contrastes sociaux dans l’espace francilien et renforcent l’implantation des cadres au centre et à l’ouest de la région.
La proportion de ménages dont la personne de référence est cadre est près de 2,5 fois plus élevée en Île-de-France qu’en province. Ces ménages représentent plus d’un ménage francilien sur cinq. À l’inverse, en Île-de-France, un ménage sur huit seulement est un ménage d’ouvrier…Consulter la note sur le site de l’IAU Ile-de-France


Baromètre de l’habitat: prix des logements anciens et loyers entre 2000 et 2010

Entre 2000 et 2010, les prix des logements anciens ont plus que doublé alors que les loyers ont augmenté de 29 %, à un rythme proche de celui du revenu disponible des ménages. Les prix à la consommation, quant à eux, ont connu des progressions moindres. La hausse des loyers a ralenti à partir de 2006, date d’introduction du nouvel indice de référence des loyers. Ces évolutions, mesurées à qualité constante, s’accompagnent plus largement d’un poids croissant, dans leur revenu, des débours que les ménages consacrent à leur logement (loyers ou mensualités de remboursement des emprunts, charges collectives et dépenses individuelles d’énergie et d’eau). Ce poids a particulièrement augmenté pour les locataires du secteur libre et les ménages à faibles ressources. Les écarts entre province et Île-de-France ont tendance à se réduire.
Consulter le dossier complet sur le site de l’INSEE

Logement : quelle offre pour les locataires franciliens à revenus moyens ?

En 2010, l’offre de logements destinée aux ménages locataires franciliens à revenus moyens est insuffisante. Les capacités financières de la majorité d’entre eux ne leur permettent pas de louer à plus de 11 /m² ou d’acheter un appartement à plus 4 000 /m².

Pour une très grande majorité de ménages franciliens, le logement représente une dépense élevée, voire très élevée au regard de leurs ressources. Face à cette difficulté, la puissance publique a mis en place des dispositifs d’aide à la personne et à la pierre pour que les ménages disposent d’un logement correspondant à leurs besoins, sans compromettre pour autant leurs autres postes de dépense vitaux…télécharger l’étude

lien vers le site  de l’IAU-IDF

Concevoir un site comme celui-ci avec WordPress.com
Commencer