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Sicoval se dote d’une marque territoriale économique, Innopoles

Sicoval

L’innovation est inscrite dans les gènes du Sicoval : la collectivité, pionnière de l’intercommunalité depuis près de 40 ans, est aujourd’hui une des toutes premières communautés d’agglomération de France à se doter d’une marque territoriale économique. La démarche, officiellement lancée le 17 septembre 2013, a pour vocation première de conforter l’attractivité du territoire, de fédérer l’ensemble de ses acteurs économiques et de promouvoir ses entreprises et leurs savoir-faire.

En adoptant un identifiant spécifique pour incarner la dynamique économique d’un territoire qui met déjà en synergie près de 6450 entreprises ou acteurs économiques et compte 33 000 emplois pour 70 000 habitants, la collectivité  entend notamment donner la meilleure lisibilité à son offre de services à destination des entreprises et porteurs de projet.

Télécharger le communiqué de presse

> En savoir plus : www.sicoval.fr

Amorce : le livre blanc sur les « Déchets 2025 » à télécharger

Source ; site Amorce

A l’aube de la Conférence environnementale, AMORCE, l’association nationale des collectivités et des entreprises pour la gestion des déchets, de l’énergie et des réseaux de chaleur, a décidé de porter une réflexion fondée sur une enquête nationale auprès des collectivités territoriales et de leurs partenaires qui assurent la collecte et le traitement des déchets en France. La volonté première est de proposer un projet à l’horizon 2025 de gestion des déchets ambitieux mais cohérent sur le plan environnemental, créateur d’emplois et acceptable en termes de pouvoir d’achat.

L’open data local une impasse économique : pas tout à fait…

2 octobre 2013 | Auteur: GrandesVillesTIC
Les villes de Nantes, Rennes Montpellier ou Bordeaux font toutes le même constat : si l’argument du développement économique et de la création d’emplois a pu servir de moteur à l’ouverture de leurs données, les résultats ne sont pas aux rendez-vous. Les concours d’application lancés par ces villes ont vu l’émergence de projets intéressants – la plupart sur la mobilité, d’autres en lien avec la culture le patrimoine, l’accessibilité – mais sans retour sur investissement tangible pour les développeurs. Il faut dire que ces villes n’ont pas la taille de leurs modèles américains (Sans Francisco, New York) et que la multiplicité des collectivités n’aide pas à voir l’émergence d’un substrat de données à même de garantir ce ROI…
Ce diagnostic est cependant plus nuancé car trop centré sur les applications mobiles. Or ces dernières, à de rares exceptions près, ne sont pas rentables. Beaucoup ne servent que de faire-valoir à des développeurs qui se font ainsi des références, dans l’espoir de gagner des commandes. Par ailleurs, un certain nombre « d’externalités positives » à l’Open data ne sont aujourd’hui pas mesurées. Par exemple, le fait de mettre en ligne les données d’entrée/ sortie du métro n’est pas très intéressant en soi. Ces statistiques ont cependant permis à la presse gratuite de mieux positionner/ quantifier le nombre de journaux à acheminer dans chaque station. Avec à la clé des gains difficilement mesurables par la collectivité, mais qui sont tangibles pour l’entreprise. Le second bénéfice pour la collectivité est de faciliter l’accès de ses propres agents à des données jusqu’alors disséminées dans la collectivité et qui circulaient mal. L’Open Data contribue ainsi à la transversalité et donc indirectement à la productivité des services.
Pour aller plus loin, les collectivités pilotes insistent sur la nécessité d’animer l’open data, de multiplier les partenariats locaux et de créer une « culture de la donnée » partagée par la collectivité et l’ensemble des habitants. A Montpellier, la ville a travaillé avec Open Street Map sur des « cartoparties ». Des réunions destinées à travailler un thème particulier – en l’occurrence le handicap – et dont la particularité est de parler de tout… sauf d’open data. Ces réunions voient la participation de personnes aux profils variés (cartographes, personnes handicapées, informaticiens… geeks et retraités), permettent au public cible de s’approprier le sujet et contribuent à améliorer la qualité des publiées sur le portail. En l’occurrence, au-delà des services publics, des données d’accessibilité des commerces ont été ajoutées. Des données sur l’implantation des commerces qui peuvent à leur tour être utilisées par le service chargé de l’occupation du domaine public, avec à la clef des recettes supplémentaires pour la collectivité.

Découvrez le 1er baromètre de la gestion globale des risques des collectivités

arengiCe baromètre a été réalisé par Arengi pour le compte de l’AMRAE (Association pour le Management des Risques et des Assurances de l’Entreprise) et de l’ADGGC  (Association des Directeurs Généraux des Grandes Collectivités, ex-ANDGDGARD). Ses principales conclusions ont notamment été présentées lors de la journée d’étude organisée le 19 juin par le Conseil Général de Seine Saint-Denis et ayant pour thème « L’organisation et les pratiques de la gestion des risques et de l’audit interne dans les collectivités territoriales : les clés du succès ! ».

Réalisé auprès des 26 régions, des 101 départements et des 80 plus grandes communes et intercommunalités de France, il établit un bilan inédit sur les thématiques suivantes :

– profil de risques des collectivités,

– culture du risque,

– pratiques en matière de gestion des risques, contrôle et audit internes.

Télécharger le Baromètre gestion des risques

Les meilleurs managers publics de l’année

Le prix récompense les démarches innovantes des collectivités et institutions publiques en termes de recrutement, formation, intégration de personnel en difficulté, mutualisation des services, conduite de projet…

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