Archives Mensuelles: avril 2020
Les entreprises d’Habitat en Région mobilisées pour lutter contre le coronavirus @HabitatenRegion
Source : Habitat en Région

L’épidémie de coronavirus qui s’est propagée à notre pays et désormais à l’ensemble de la planète a amené notre gouvernement à prendre des mesures extraordinaires pour tenter de l’endiguer. L’urgence dans la lutte contre la propagation du virus a bouleversé l’activité de nos entreprises. Toutes ont mis en place très rapidement les actions nécessaires pour protéger les salariés comme les habitants et assurer la continuité de leur activité.
Depuis l’allocution du Président de la République le 16 mars dernier, des mesures de confinement extraordinaire ont été mises en place. Cette situation est une épreuve pour La France qui aura probablement à surmonter dans les semaines qui suivront une crise économique majeure dont les retombées sociales affecteront aussi le secteur HLM et toucheront certains locataires.
Toutes les entreprises d’Habitat en Région se sont mobilisées dans des délais extrêmement courts pour faire face à l’urgence et la gravité de la situation. Elles sont en totale cohérence avec les priorités d’Habitat en Région comme de son actionnaire la Caisse d’Epargne et le Groupe BPCE : lutter contre la propagation du virus Covid-19, protéger les personnes, collaborateurs comme habitants, et enfin assurer une continuité de service à l’encontre de leurs clients…
Faudra-t-il refaire vos diagnostics immobiliers ? @century21fr
Source : CENTURY 21

Vous avez signé un compromis de vente avant le confinement. Un certain nombre de diagnostics risquent de « périmer » et de ne plus être valables à la date de signature de l’acte authentique.
Ils devront alors être refaits et annexés à l’acte de vente définitif. Vérifiez donc bien leur date de validité :
– Le constat de risque d’exposition au plomb (durée de validité : 1 an si le constat est positif, illimitée si le constat est négatif)
– L’état mentionnant la présence ou l’absence de matériaux ou produits contenant de l’amiante (durée de validité : 3 ans s’il est positif, illimitée s’il est négatif
– L’état relatif à la présence de termites (durée de validité : 6 mois)
– L’état de l’installation intérieure de gaz et d’électricité (durée de validité : 3 ans)
– Le diagnostic de performance énergétique (DPE) (durée de validité : 10 ans)
– L’état de l’installation d’assainissement non collectif (durée de validité : moins de 3 ans à la date de l’acte de vente).
Sachez que les frais incombent normalement au vendeur comme dérivant de son obligation d’information.
Comment les villes changent de trajectoire @linstitutPR
Source : institutparisregion.fr

Les villes émergent, s’épanouissent, se rétractent, se transforment. Elles meurent et parfois renaissent. Certaines se métamorphosent : Singapour, Copenhague, Medellín sont sorties de crise en changeant de trajectoire. D’autres ont développé des stratégies de résilience en réponse à des chocs. Toutes devront vite négocier des mutations profondes pour faire face aux défis écologiques et sociaux du prochain siècle. Mais comment ?
Ces dernières décennies, la pauvreté a reculé dans le monde, en vertu d’une croissance économique permise par le prélèvement croissant d’énergie fossile et de ressources naturelles. Mais ce recul s’accompagne d’une aggravation des disparités socio-économiques à toutes les échelles. D’origine anthropique, le réchauffement global de la planète s’accélère. Il y a de fortes probabilités pour qu’il entraîne une augmentation d’au moins 1,5 °C, voire 2 °C, entre 2030 et 2050 par rapport aux niveaux préindustriels, avec des impacts irréversibles sur les écosystèmes. La biodiversité planétaire diminue à un rythme accéléré. Les grandes métropoles seront en première ligne pour gérer des situations de crises aiguës et multiformes : risques d’inondations ou ouragans, crises sanitaires et migratoires, vulnérabilité des réseaux, impacts sociaux et économiques en chaîne… Elles s’y préparent au travers de stratégies d’éco-urbanisme, de mitigation, d’adaptation au changement climatique et de résilience. Les crises écologiques, économiques et politiques ne datent pas d’hier mais elles seront demain plus globales et systémiques. À l’aube du IIe siècle, Leptis Magna est l’une des plus opulentes métropoles du monde romain, mais son port s’ensable peu à peu, en partie du fait du déboisement. On décide d’agrandir le port sur la mer : ceci ne fait qu’accélérer le processus d’ensablement, précipitant le déclin économique de la ville. Elle subira des séismes, un tsunami et des invasions, avant d’être finalement abandonnée aux sables du désert. Éphèse et d’autres villes ont connu un destin similaire. Pour survivre à demain, villes, métropoles et régions devront s’adapter dès que possible, avec l’appui des États et des institutions internationales. Ceci implique la co-construction de trajectoires positives vers un avenir souhaitable et possible pour tous. Les collectivités devront anticiper finement les étapes, éclaircir les choix possibles et leurs conséquences. Elles devront se mettre en situation de négocier des accords avec les milieux économiques, les entreprises, les corps intermédiaires, les territoires voisins, les associations citoyennes : chacun devra renoncer à certains avantages pour que tous puissent gagner un peu, en opportunités économiques ou culturelles, en qualité de vie ou en bient-être.
- Comment construire dans la durée une trajectoire de changement ?
- Comment trouver des appuis pour financer les choix structurels contribuant au changement ?
- Comment déployer à grande échelle les innovations urbanistiques, écologiques ou sociales ?
- Comment capitaliser sur les progrès réalisés pour entraîner l’opinion et aller plus loin ?