Elles vous invitent à retrouver tous les temps forts de cette année anniversaire sur Saemes 40 ans. Vous pourrez y découvrir les dates clés de Saemes, ses chantiers emblématiques, l’évolution des styles de décoration des parkings, nos anecdotes, nos premières fois… Restez connectés, de nombreuses surprises vous attendent tout au long de l’année !
Archives Mensuelles: janvier 2019
Carte des marques territoriales en France Métropolitaine – Mise à jour de janvier 2019 @VincentGollain
Carte des marques territoriales en France Métropolitaine – Mise à jour de janvier 2019
Source : Marketing Territorial.org
Cette carte actualise celle parue en octobre 2018 (article). Elle porte essentiellement sur des marques créées par des acteurs locaux pour promouvoir leurs territoires respectifs sur plusieurs segments de marché (économie, tourisme, résidentiel, etc.). Les politiques de marque qui se cachent derrière chacune d’entre elles peuvent être de natures très différentes. Certaines sont assez proches d’une approche très centrée sur la création d’un logo, d’autres s’inscrivent dans une stratégie nettement plus développée. A vous d’apprécier la nature de la politique mise en oeuvre en découvrant chacune de ces marques. La majorité d’entre elles a été présentée sur ce blogue.
Indigo rachète Spie Batignolles @SpieBatignolles @GroupIndigo
Source : SpieBatignolles
Spie batignolles cède à Indigo Group le pôle stationnement de Spie batignolles concessions
Le groupe Spie batignolles annonce la cession de Spie Autocité, le pôle stationnement de Spie batignolles concessions, à Indigo Group, acteur mondial et global du stationnement et de la mobilité urbaine.
Spie Autocité exploite 29 parcs de stationnement (dont un en construction) et 2 voiries, le tout comprenant 20 000 places et représentant un chiffre d’affaires d’environ 32 M€.
Cette cession donnera à cette activité l’opportunité de poursuivre son développement en bénéficiant du savoir-faire et des capacités d’innovation d’Indigo Group.
Où réduire le poids de la dépense publique ? @Strategie_Gouv
Baisser structurellement le poids des dépenses publiques de 3 points de PIB est un objectif ambitieux. L’atteindre de façon réaliste tout en préservant certains postes prioritaires supposerait de consentir aussi des efforts sur les dépenses sociales.
TÉLÉCHARGER LA NOTE D’ANALYSE « OÙ RÉDUIRE LE POIDS DE LA DÉPENSE PUBLIQUE ? »
Bilan : si la France détient le record européen du niveau de dépenses publiques – 56,5 % du PIB en 2017 – c’est d’abord du fait de son système redistributif. Ce poste représente 20,1 % du PIB (potentiel), soit 4,3 points de plus que la moyenne européenne, les trois quarts de cet écart étant imputables au choix d’un système de retraites par répartition socialisé, et plutôt « généreux » comparativement. Hors retraites, l’écart est plus faible. Les dépenses de redistribution (aides sociales et revenus de remplacement) sont plus élevées que la moyenne européenne d’1 point de PIB mais la France affiche dans le même temps un taux de pauvreté des 0-64 ans inférieur (15 % contre 18 % pour la moyenne européenne).
Autre poste de dépenses sociales, la fourniture de services – santé et éducation en tête – représente 17,5 % du PIB. Un montant qui place la France dans la moyenne européenne mais en retrait par rapport aux pays nordiques (5 points en dessous). Les résultats sont cela dit très contrastés selon les sous-postes : la France dépense moins que ses voisins pour l’éducation (élémentaire et pré-élémentaire surtout) et la recherche. Elle dépense également beaucoup moins que ses voisins, nordiques cette fois, pour l’accueil des moins de 3 ans comme pour la dépendance. En revanche, ses dépenses liées aux services de santé sont plus élevées qu’ailleurs, tout particulièrement les dépenses en produits médicaux et en santé marchande (médecine libérale, cliniques privées…). Un résultat cohérent quand on sait que nos dépenses totales de santé par habitant (publiques et privées) sont parmi les plus élevées des pays de l’OCDE.
Il n’y a pas que les dépenses sociales qui tirent vers le haut le ratio français. Du côté de la fourniture de services collectifs – fonctions régaliennes et administration générale –, la France affiche un écart avec ses voisins européens d’un peu plus d’1 point. Et contrairement à une idée répandue, les dépenses de fonctionnement de nos administrations (centrales comme locales) ne sont responsables que d’un tiers de cet écart. Loin derrière la dépense militaire qui, avec 1,8 % du PIB, se situe à un niveau inégalé en Europe, sauf par le Royaume-Uni. Autre gros poste qui singularise la France (idée moins répandue), le soutien à l’économie représente 6,2 % du PIB (hors CICE qui, bien que comptabilisé dans les dépenses, s’apparente à une moindre recette). Ce pourcentage qui place la France très au-dessus de ses voisins (avec un écart de 1,1 point) n’est pas imputable à un dispositif d’aide en particulier, soulignent les auteurs. En revanche, il met en évidence « une propension plus forte qu’ailleurs à soutenir l’économie marchande par la dépense publique ».
Comment réduire : trois scénarios comparés … en savoir plus…