Archives du 25 janvier 2016
Les énergies renouvelables recyclent le plan Juncker

Le plan Juncker s’est d’ores et déjà décliné sous plusieurs formes, dont certaines permettent une implication des demandeurs sans passage par la procédure mise en place par la BEI.
C’est le cas d’un programme de prêts proposés aux structures régionales françaises souhaitant s’engager dans des activités de tiers-financement pour des projets de performance énergétique. Sur les 400 millions d’euros proposés, 125 millions ont fait l’objet de signature, comme c’est le cas pour la Sem Energies Posit’if : des possibilités de prêts sont donc ouvertes pour des projets similaires…en savoir plus…
Les Coop : une place incontournable dans l’économie française
La contribution des coopératives à l’activité économique françaiseMise à jour : 19/01/2016
Coop FR publie l’édition 2016 du « Panorama sectoriel des entreprises coopératives » sur la base des chiffres 2014 de la coopération française. La publication de ces données par l’organisation représentative du mouvement coopératif français atteste de la contribution des entreprises coopératives à l’activité économique française.
Ce modèle entrepreneurial réalise des performances économiques durables dans un contexte difficile. Les entreprises coopératives poursuivent leur développement sur le terrain de l’emploi et leur sociétariat est en constante augmentation.
Pilier de l’économie française et acteur des territoires, elles confirment en 2016 la place incontournable qu’elles occupent dans le paysage économique français…en savoir plus…
Logement intermédiaire : les classes moyennes au coeur de la solution
Pour rééquilibrer l’offre et mieux répondre aux attentes des populations dans une zone aussi tendue que l’Île-de-France, le logement intermédiaire est sans aucun doute l’une des cartes maîtresses. Un cadre réglementaire et fiscal stabilisé en fait l’un des outils majeurs pour favoriser la nécessaire émergence de véritables politiques locales de l’habitat. Bien plus qu’une véritable pénurie de logements, la France souffre avant tout, de fortes disparités territoriales qui voient alterner des régions où une demande de logement dans le secteur social est satisfaite en trois jours, quand d’autres affichent des listes d’attentes de plusieurs années. La conséquence de politiques nationales qui balayent large, sans tenir compte des spécificités locales, là où il faudrait des actions ciblées répondant aux besoins réels…en savoir plus…
Encore trop de “riches” en Hlm? Idée reçue n°5
Idée reçue n°5 sur les Hlm : « Encore trop de “riches” en HLM
Source : USH
Pour la majorité des Français, « logement social » signifie « logement pour les ménages les plus démunis ». L’idée que des personnes profitent indûment du système pour se loger à moindres frais persiste. Les incompréhensions se multiplient, tandis que la demande d’accès au parc Hlm s’intensifie.
Des conditions de ressources strictement encadrées
Trop de riches dans les Hlm ? La réalité de l’occupation du parc Hlm est loin de ce cliché. 60 % des ménages logés en Hlm ont un revenu inférieur à 60 % des plafonds de ressources PLUS, soit 1140 euros net mensuels pour une personne seule en province ou 2 166 euros net pour un couple avec deux enfants… Parmi les emménagés récents, cette proportion s’élève à 67 %.
Pour accéder à un logement social, le niveau de ressources du candidat doit être inférieur à un certain plafond. Il existe quatre plafonds, allant du logement très social au logement intermédiaire (PLAI, PLUS, PLS, PLI), avec des loyers progressifs d’une catégorie à l’autre. Pour la grande majorité du parc Hlm, une personne seule en province doit gagner moins de 1 900 euros net par mois (plafond PLUS). Seulement 7 % du parc de logements Hlm est composé de logements intermédiaires à plafonds supérieurs au PLUS.
Les conditions de ressources, strictement contrôlées, valent aussi pour le maintien dans le parc : les locataires Hlm qui voient leurs revenus augmenter et dépasser le plafond de ressources sont automatiquement soumis à un surloyer depuis 1996…en savoir plus…