Archives du 11 décembre 2014

Standard & Poor’s confirme la note ‘AA’ de la Région Ile-de-France

standard poors_ratingStandard & Poor’s a confirmé le vendredi 5 décembre 2014 les notes de référence à long terme « AA » et à court terme « A-1+ » de la Région Ile-de-France. La perspective reste « négative ».

La note « AA » indique la très forte aptitude de la Région à honorer ses engagements financiers.

La note ‘AA-’ indique la très forte aptitude de la Ville à honorer ses obligations financières.

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Standard & Poor’s a abaissé les notes de 8 Départements

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S&P a abaissé la note de 8 Départements français et a confirmé la note d’un neuvième

Ces actions font suite à la révision à la baisse de notre appréciation du cadre institutionnel et financier dans lequel opère l’ensemble des Départements français, et non de leur profil individuel de crédit.

Nos facteurs d’appréciation du cadre institutionnel déterminé par l’Etat sont la prévisibilité, l’adéquation des recettes aux dépenses et la transparence.

Nous attribuons désormais au cadre institutionnel des Départements français un score de 3 sur une échelle allant de 1 à 6 (1 étant le score le plus favorable), contre 2 auparavant. Nous considérons ce cadre institutionnel comme « évolutif mais équilibré », contre « très prévisible et équilibré » auparavant.

Selon nous, les Départements français font face à des déséquilibres structurels entre leurs recettes et leurs dépenses dans un contexte de faible flexibilité budgétaire et de forte exposition aux cycles économiques et immobiliers.

Dès lors, nous estimons que la baisse importante des concours financiers de l’Etat aux collectivités locales entre 2015 et 2017, sans mécanismes structurels et suffisamment importants pour compenser la hausse des dépenses sociales, accroît fortement la pression budgétaire sur les Départements.

En raison de ces facteurs, qui concernent l’ensemble des Départements français, nous avons abaissé la note de huit Départements :

  • Bas-Rhin : les notes passent de « AA-/Stable/A-1+ » à « A+/Stable/A-1 » ;
  • Dordogne : les notes passent de « AA-/Stable/A-1+ » à « A+/Stable/A-1 » ;
  • Essonne : les notes passent de « AA-/Négative/A-1+ » à « A+/Négative/A-1 » ;
  • Eure : les notes passent de « AA/Négative/A-1+ » à « AA-/Stable/A-1+ » ;
  • Gironde : les notes passent de « AA/Négative/A-1+ » à « AA-/Stable/A-1+ » ;
  • Meuse : les notes passent de « AA-/Stable/A-1+ » à « A+/Négative/A-1 » ;
  • Oise : la note passe de « AA-/Stable » à « A+/Stable » ;
  • Seine-et-Marne : les notes passent de « AA-/Négative/A-1+ » à « A+/Négative/A-1 ».

Dans le même temps, nous avons confirmé les notes « AA/Négative/A-1+ » du Département des Hauts-de-Seine. Cette confirmation reflète notre opinion selon laquelle les fortes caractéristiques intrinsèques de ce Département lui permettront de contrebalancer les pressions budgétaires externes liées à un cadre institutionnel et financier désormais plus faible.

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Standard & Poor’s confirme la note ‘AA-‘ de la Ville de Genève

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Standard & Poor’s confirme la note ‘AA-‘ de la Ville de Genève. La perspective reste ‘stable’.

Standard & Poor’s a confirmé le vendredi 5 décembre 2014 la note de référence à long terme ‘AA-’ de la Ville de Genève. La perspective reste ‘stable’.

La note ‘AA-’ indique la très forte aptitude de la Ville à honorer ses obligations financières.

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La Zone€ traverse une phase d’affaiblissement de son économie-Note de conjoncture de Federal Finance

EXE FEDERAL FINANCE

BCE : La BCE a acheté seulement 368 M€ de titres adossés à des actifs (ABS) dans le cadre de son nouveau programme d’acquisitions de titres, débuté le 21/11, qui complète les achats d’obligations sécurisées, dont le montant cumulé depuis le 20/10 atteint désormais 17,8 Md€. Le déploiement de ces instruments, ainsi que le prochain T-LTRO (refinancement à long terme du secteur bancaire) qui sera mené ce jeudi 11/12, doivent contribuer à augmenter la taille du bilan de la BCE, afin de faire remonter l’inflation. Sans surprise, la BCE a maintenu ses taux directeurs inchangés lors de sa dernière réunion de l’année. Ses économistes ont révisé sensiblement à la baisse leurs projections 2015 et 2016 de croissance (1,0% et 1,5%) et d’inflation (0,7% et 1,3%). M. Draghi a beaucoup insisté sur la faiblesse de l’inflation, qui pourrait encore être accentuée par la chute des cours du pétrole. Dans ce contexte, la BCE sera vigilante quant à l’impact de l’évolution des prix pétroliers sur les tendances de l’inflation et de la croissance. De plus, elle ne tolèrera pas une déviation prolongée par rapport à l’objectif de stabilité des prix, principal mandat de la BCE. Début 2015, la BCE réévaluera les effets des mesures de stimulation monétaire prises en 2014, ainsi que l’expansion de la taille de son bilan, et si nécessaire, d’autres actions non-conventionnelles seront décidées. Il a rappelé que la taille du bilan de la BCE est destinée à s’accroître pour atteindre le niveau de début 2012 (soit +1 000 Md€). Les équipes techniques de la BCE y travaillent déjà activement, et M. Draghi a précisé qu’un programme d’assouplissement quantitatif (QE) comportant une gamme de différents instruments (hormis l’or et les obligations d’Etats étrangers) est l’un des nombreux scénarios envisagés. Le lancement d’un tel programme ne nécessite pas l’unanimité, a souligné M. Draghi, ce qui laisse penser qu’il y a de fortes oppositions au sein du Conseil des gouverneurs. Dès vendredi, le Président de la Bundesbank J. Weidmann a jugé qu’une politique d’achat d’obligations d’Etats européens comporte des risques et ne fonctionnerait pas en Europe.

E. Nowotny, membre du Conseil des Gouverneurs de la BCE, a déclaré ce matin que la Zone euro traversait une phase d’affaiblissement massif de son économie. Il a rajouté qu’il fallait s’attendre à un taux d’inflation plus bas au 1er trimestre 2015. Le gouverneur de la Banque centrale autrichienne a confirmé l’objectif de l’accroissement du bilan de la BCE d’environ 1 000 Md€. Il a néanmoins ajouté que les avantages et les inconvénients de l’acquisition d’obligations d’Etats de la Zone euro seront débattus.

France : En dépit du léger sursaut (+0.3%) de la croissance du PIB au 3e trimestre, le taux de chômage en France métropolitaine a continué à augmenter de 0.2% entre juin et septembre pour s’établir à 9.9%, son niveau d’il y a un an. Cela représente donc une hausse totale de 77 000 demandeurs d’emplois sur le trimestre. Enfin, toutes les catégories sociales (hommes, femmes, jeunes et seniors), à l’exception des hommes de plus de 50 ans, ont vu leur taux de chômage progresser.

>En savoir plus : Note de Conjoncture

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Le rapport de l’Observatoire SMACL des risques de la vie territoriale 2014-SMACL

ImpressionLe rapport permet de faire le point sur la réalité statistique du risque pénal des élus locaux et des fonctionnaires territoriaux. Grâce notamment à l’analyse des dossiers gérés par SMACL Assurances, mutuelle niortaise spécialisée depuis 40 ans dans l’assurance des collectivités territoriales et des associations, ce rapport constitue une source d’informations incontournable pour tous ceux qui souhaitent mieux appréhender le phénomène dit de la pénalisation de la vie publique.

En cette année électorale, les statistiques présentées sont enrichies et permettent de dresser un bilan de la dernière mandature : le lecteur y trouvera ainsi des données relatives à l’évolution du nombre de poursuites et de condamnations des élus et des agents pour chaque grande catégorie d’infractions, mais aussi des informations sur le type de collectivités (et leur strate démographique) dont sont issus les élus locaux et les fonctionnaires territoriaux poursuivis. L’observation du contentieux pénal sur les 20 dernières années, avec un zoom sur la mandature 2008-2014, est pour le moins instructive et réserve quelques surprises.

Le rapport revient également sur la jurisprudence répressive de l’année et offre ainsi l’occasion aux décideurs publics locaux de regarder le risque pénal en face. Non pour « jouer à se faire peur » mais pour identifier, en toute sérénité et lucidité, les réelles zones à risque et dégager des axes de prévention pertinents. La devise de l’Observatoire « un décideur territorial averti en vaut deux » prend alors tout son sens.

> Source : www.observatoire-collectivites.org

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