Archives du 16 juin 2011
123 logements livrés à Rennes par la coopérative d’Hlm Habitation Familiale
Réalisés par la Coop de construction et Habitation familiale, au nord du quartier, 123 appartements seront inaugurés mercredi 15 juin.
Un quartier en évolution
Situé au nord de la Courrouze, à Rennes, « Le Bois habité » est une nouvelle étape dans le développement de ce futur quartier, qui associe logements, commerces, services et bureaux en bordure de la rocade. Un service de bus en site propre ou protégé et une station de Métro relieront ce quartier au reste de la ville. « Le Bois Habité » se situe entre le boulevard de Cleunay au nord, avec le mur d’enceinte conservé pour partie, la rue Roger-Henri-Guerrand qui formera le futur axe nord/sud à l’ouest, et il s’appuie sur le futur parc au sud et l’actuel plateau sportif à l’est.
Un ensemble de 123 logements
Réalisée par La Coop de construction et Habitation familiale, l’opération a été confiée à l’architecte rennais David Cras (qui fera le futur centre des congrès au couvent des Jacobins) ainsi qu’à Felipe Pich-Aguilera, architecte de Barcelone. Elle prévoit 123 appartements : 1 T1, 38 T2, 50 T3, 27 T4 et T4 duplex ainsi que 7 T5 duplex. Les duplex sont en rez-de-chaussée et au premier étage. 61 logements ont été vendus à Archipel Habitat, et 38 autres à la société SNI. Les 24 appartements en accession libre et Plan locatif social (PLS) Investisseurs ont un prix moyen de 2 517 € TTC/m² habitable (TVA à 5,5 %)… Lire l’article complet sur Ouest-France
La place du secteur associatif et de l’action sociale dans l’économie
Les institutions sans but lucratif au service des ménages employaient 900 000 personnes en 2008, soit 3 % de l’emploi total. Elles ont versé 23 milliards d’euros de rémunérations et acheté pour près de 17 milliards d’euros de biens et services (y compris investissement). Ce faisant, elles ont produit et distribué gratuitement ou presque des services pour un coût de 40 milliards d’euros. La moitié de ces services relève d’activités d’enseignement et d’activités récréatives, sportives et culturelles, l’autre moitié relève de l’aide aux personnes handicapées et en difficulté. Mais la production d’action sociale correspond plus généralement à l’aide à l’ensemble des personnes fragiles ; elle s’élève en France à 62 milliards d’euros, car elle est aussi le fait d’autres acteurs de l’économie et couvre aussi d’autres publics, en particulier les personnes âgées. Les bénéficiaires, hébergés, accueillis à la journée ou pris en charge à domicile, financent 30 % du coût de l’action sociale.
Un modèle d’écoquartier pour l’OPHIS du Puy-de-Dôme
Après un an de préparation, l’écoquartier Les trois fées qui verra la création, à terme, de 900 logements sur un terrain de 31 hectares à Cébazat, entre en phase opérationnelle. Les travaux de construction des 53 premiers logements BBC (Bâtiment Basse Consommation)
Aménagé par l’Ophis du Puy-de-Dôme, cet écoquartier situé au coeur d’une commune de 8 000 habitants, compte aujourd’hui parmi les opérations exemplaires au plan national, concourant d’ailleurs pour le Palmarès ÉcoQuartier 2011 organisé par le Ministère du Développement durable.
La qualité architecturale, paysagère et environnementale du projet, la diversité des formes d’habitat proposées (logements sociaux, logements individuels, accession à la propriété, bureaux et services…) et le pilotage « en temps réel » de tous les aspects liés au développement durable par une équipe d’experts nationaux lui donnent un caractère innovant particulièrement attractif.
2011 sera donc l’année des 1ères constructions. L’Ophis du Puy-de-Dôme qui intervient également comme bailleur social va lancer la construction des 53 premiers logements BBC conçus par le cabinet d’architectes Rue Royale (Lyon). Les fondations d’un premier bâtiment (Le Dé de la Fée ) comprenant 37 logements collectifs reliés par deux structures sont en cours.
Quant au second bâtiment (Le Trèfle Blanc ) qui regroupe 16 logements intermédiaires, le gros oeuvre vient de commencer.
Ces logements de type BBC permettront d’atteindre des performances énergétiques en-dessous de 60 kWh/m²/an. Les deux bâtiments utilisent différents systèmes constructifs afin de comparer les résultats obtenus au fil des années. Le bâtiment principal sera édifié en brique monomur de 50 cm d’épaisseur sans ajout d’isolant extérieur. La 2ème partie sera réalisée en brique monomur et privilégiera l’isolation par l’extérieur. Les bâtiments bénéficieront d’une chaufferie collective au gaz complétée par des panneaux solaires permettant de couvrir 40 % des besoins en eau chaude. Le second bâtiment sera construit en brique avec complément d’isolation intérieure. L’installation de pompes à chaleur individuelles et de chauffe-eau solaire ont été retenus.
Leur livraison s’échelonnera entre mi 2012 et début 2013.
Télécharger le communiqué de presse sur le portail d’OPHIS 63
Un nouveau Président à l’OPDH 92
Christian Dupuy élu président de L’OPDH 92
Pour le maire de Suresnes et Vice-président du Conseil général, développer un logement social de qualité en luttant contre la ségrégation territoriale a toujours été « un devoir impératif ».
Christian Dupuy, maire de Suresnes, Vice-président du Conseil général, Conseiller d’état, a été élu lundi 6 juin 2011 président de l’Office Public Départemental de l’Habitat des Hauts-de-Seine (OPDH 92). Il succède à Jean Paul-Dova à la tête du Conseil d’administration de ce qui est aujourd’hui un des tout premiers Offices HLM de France de par son patrimoine et son budget.
Fin connaisseur des questions relatives au logement social, qu’il s’est toujours attaché à valoriser et développer dans le souci constant de promouvoir la mixité sociale, Christian Dupuy entend poursuivre la politique qui a placé l’OPDH 92 au premier rang des bailleurs sociaux du département
«En ces temps de crise économique, notre action sociale doit être la plus dynamique possible. J’ai toujours considéré que développer un logement social de qualité en luttant contre la ségrégation territoriale était un devoir impératif. Mon but, souligne-t-il, est de poursuivre et renforcer l’implantation de l’Office sur le territoire des Hauts-de-Seine en saisissant toutes les opportunités nécessaires à ce développement ».
Celui-ci passe par la mise en oeuvre de cinq grandes orientations stratégiques :
Développer une offre locative nouvelle en saisissant de façon pragmatique toutes les opportunités et tous les montages (acquisition-amélioration, construction en VEFA, mais aussi, si nécessaire, démembrement de propriété) – afin de réaliser rapidement de nouvelles opérations qui offriront aux demandeurs encore trop nombreux à demeurer en attente, un logement social de qualité qui intègre les enjeux du développement durable comme c’est déjà largement le cas avec des programmes neufs labellisés H et E (habitat et environnement).
Achever au plus tôt, les opérations de renouvellement urbain, notamment celle du bateau à Nanterre, celle des Gentianes à Asnières, et celles en cours à Bois-Colombes et à Châtenay-Malabry
Développer une offre locative adaptée à l’intention des personnes en difficulté, handicapées ou âgées ou des populations spécifiques telles les jeunes travailleurs, les étudiants, les infirmières et les policiers.
Assurer une maintenance qualitative du patrimoine avec le soutien du Conseil Général dont l’appui financier est constant depuis 1988.
Offrir, une réelle possibilité de parcours résidentiel, avec la possibilité soit d’acquérir un logement quand on l’occupe actuellement, soit d’accéder à la propriété dans des programmes neufs à des conditions financières particulièrement maîtrisées, soit encore, d’intégrer des programmes locatifs intermédiaires.
Christian Dupuy a rappelé que l’Office était le principal outil de réalisation de la politique du Conseil Général, présidé par Patrick Devedjian, en matière de logement social. Outre ces orientations, il se fixe par ailleurs comme objectif « d’améliorer autant que faire se peut, les rapports avec les locataires et les associations dont les réclamations méritent parfois un meilleur traitement ».
Enfin, il a souhaité que la commission d’attribution, dont les membres ont été renouvelés, s’ouvre à un membre de l’opposition départementale, « à l’image de ce qui existe déjà pour la commission d’appel d’offres et les jurys de concours ».
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