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Logement social : ce qui change en 2018 @SeLoger

Source : Se Loger.com

Pour le logement social, l’heure du changement a sonné. Plafonds de ressources, surloyer, droit au maintien dans les lieux, procédure de résiliation : quelles sont les nouvelles règles applicables en 2018 ?

Logement social : les plafonds des ressources abaissés

La loi relative à l’égalité et à la citoyenneté modifie, à partir du 1er janvier 2018, certaines règles applicables dans le cadre d’un bail social. Le plafond des ressources au-delà duquel les locataires perdent leur droit au maintien dans les lieux a notamment été abaissé. Ainsi, le bail peut désormais être résilié si les ressources du locataire sont au moins 1,5 fois supérieures aux plafonds de ressources pour l’attribution d’un logement social durant 2 années consécutives. D’autre part, la loi prévoit de réduire à 18 mois le délai à compter duquel la perte de ce droit au maintien devient effective : ce délai intervient à partir du 1er janvier de l’année qui suit les 2 années de dépassement des plafonds de ressources. Enfin, en 2018, il devient possible de résilier le bail du locataire en l’absence de réponse à l’enquête annuelle sur les ressources, dès lors que le logement se situe dans une commune caractérisée par un déséquilibre important entre l’offre et la demande.

Bon à savoir

La durée d’un bail pour un logement social est fixée pour une durée indéterminée. Cependant, il peut être résilié par le bailleur, en cas de non-respect de certaines règles ou conditions.

Résiliation d’un bail social : comment ça se passe ?

Lors de la résiliation d’un bail, le bailleur HLM n’a pas à faire de proposition de relogement au locataire. … en savoir plus…

Les prix de l’immobilier reculent dans une grande ville sur quatre ! @SeLoger

Source : Se Loger.com

Comme l’indiquent les données compilées par le baromètre LPI-SeLoger, la tendance des prix immobiliers dans l’ancien est baissière. Michel Mouillart, Professeur d’Économie à l’Université Paris-Ouest et porte-parole du baromètre LPI constate ainsi qu’alors que « la demande s’affaiblit, les prix reculent sur un an dans un quart des villes françaises de plus de 100 000 habitants ». C’est notamment le cas de Perpignan (- 3,5 %) ou encore de Limoges (- 4 %). Dans quelques poches de résistance, c’est  pourtant la hausse qui persiste (et qui signe !). À l’image de Bordeaux dont on en vient à se demander comment elle a bien pu hériter un jour du surnom de « Belle Endormie ». Non pas qu’elle soit laide (bien au contraire !) mais parce que son marché immobilier est des plus dynamiques. Les prix bordelais réalisent ainsi une progression annuelle de plus de 10 %. De son côté, avec un gain de 13,2 %, Le Mans continue de voir s’élever les prix de son immobilier. Quant à Lyon et Paris, la hausse annuelle y dépasse toujours les 7 %.

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L’activité des commerces repart à la hausse @SeLoger @agorabiz

En ville comme en périphérie, les enseignes se renouvellent et les magasins se modernisent, profitant d’une météo favorable qui a favorisé la consommation.

Source : Se Loger.com

Commerce : ça bouge tous azimuts !

Même si le troisième trimestre, en termes de consommation selon l’indice de consommation de l’INSEE, marque le pas par rapport à un été prospère, globalement, la confiance est de retour sur tous les secteurs d’activités, habillement, maison, alimentation… Les diverses formes de marché, centres-villes, retail parks ou centres commerciaux, analysées par Cushmann et Wakefield, bénéficient du bon moral des consommateurs. Chacune en tire profit à sa façon mais toujours dans l’optique de se réinventer.

Les centres-villes ciblés par les enseignes recherchant des loyers stables

Alors que les centres des villes moyennes peinent à maintenir les commerces, ceux des métropoles régionales multiplient les ouvertures et les projets. L’équipement de la personne représente la majeure partie des ouvertures avec un taux de 45 %, suivi de loin par la restauration à 18 %. À Lyon, la Presqu’île concentre la majorité des ouvertures sur les sites Grôlée Carnot et Grand Hôtel Dieu. À Marseille, c’est sur le futur centre du Prado que se posent les regards, à Bordeaux, c’est la rue Sainte Catherine et à Lille la rue Esquermoise.

À Paris, la Rive Droite maintient sa suprématie avec Les Champs Elysées, le Marais, la rue Saint-Honoré. De l’autre coté de la Seine, c’est le triangle Sèvres/Bac/Saint-Germain qui capte plus de 60 % des prises à bail. Les valeurs locatives, pour des surfaces inférieures à 600 m² situées sur les emplacements renommés restent stables :

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