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Convention entre Ark’ensol Créavenir et In Extenso Bretagne
Souce : site Crédit Mutuel Arkea
Ark’ensol Créavenir et le réseau de cabinets d’expertise comptable In Extenso Bretagne ont décidé de coopérer pour renforcer les chances de réussite des petites entreprises, récemment créées ou reprises et financièrement aidées par Ark’ensol Créavenir. Une convention à portée régionale a été signée en ce sens aujourd’hui par Pascale Charlier, Directrice Générale Déléguée, Morgan Gentil, expert-comptable associé et référent pour les « Points Création », et Auguste Jacq, Président d’Ark’ensol Créavenir, au Siège brestois d’In Extenso.
L’objectif est d’apporter au créateur un renforcement de certaines compétences afin d’augmenter ses chances de réussite et de pérennité de son entreprise. En accordant une aide (jusqu’à 5 000 euros répartis entre don et prêt d’honneur), Ark’ensol Créavenir subordonne parfois le déblocage des fonds à la signature d’une convention d’accompagnement entre le créateur d’entreprise et un organisme spécialisé. Dans le cadre de cette convention, les bénéficiaires d’aides par ailleurs clients d’In Extenso pourront trouver un appui, en particulier dans le domaine de la gestion. Dans ce cas, Ark’ensol Créavenir prendra en charge 50 % de la dépense pour un accompagnement d’un an.
« Chaque création d’entreprise est différente d’une autre, observe Auguste Jacq, Président d’Ark’ensol Créavenir. Chaque mois, notre association reçoit plusieurs dizaines de dossiers de candidature et il est évidemment fréquent que le créateur d’entreprise peut être expert dans son métier et moins acéré en commercial, par exemple, ou encore en gestion. Grâce à ce partenariat et à plusieurs conventions du même type déjà signées, nous aidons les créateurs à mettre toutes les chances de leur côté ».
« Notre action ne consiste pas à nous substituer au chef d’entreprise mais à lui apporter des conseils personnalisés, souligne Morgan Gentil, au nom d’In Extenso Bretagne. Notre objectif est de l’aider, dans la confidentialité la plus totale, à mettre en place un système d’information et de gestion (tableaux de bord, diagnostic) ainsi qu’à lui apporter des conseils notamment juridiques, informatiques ou en matière de ressources humaines. C’est, pour lui, une chance supplémentaire de réussite ».
Ce partenariat s’inscrit dans la démarche initiée en 2012 par In Extenso avec le lancement des Points C, dispositifs d’accueil et de conseil des porteurs de projets de création.
Une Boucle Energétique Locale pour maîtriser la demande en énergie de la Rive droite de Brest
17/09/2013
Une Boucle Energétique Locale pour maîtriser la hausse de la demande en énergie de la Rive droite de Brest
Ecologie urbaine
Plateau des Capucins et téléphérique, quartier de la Fontaine Margot, renouvellement urbain de Recouvrance, salle de spectacles Brest Arena… la Rive droite de Brest va consommer davantage d’énergie. L’heure n’est plus à l’extension systématique des réseaux mais à une optimisation de l’existant. C’est l’objectif de la Boucle Energétique Locale.
En 2012, dans le cadre du Pacte Electrique Breton, la Région Bretagne lançait un appel à projets Boucle Energétique Locale pour accompagner les territoires dans le développement d’un projet énergétique global autour de trois grands axes : les économies d’énergie, la valorisation des énergies renouvelables et la production locale d’énergie.
Pour la mise en place de la Boucle Energétique Locale, Brest métropole océane a retenu la Rive droite de Brest. Un secteur en mutation qui présente un enjeu énergétique fort avec la création des deux ZAC de Fontaine Margot et des Capucins, l’Opération de Renouvellement Urbain Recouvrance, l’extension du réseau de chaleur et la construction de Brest Arena.
Pour ce faire, BMO et les trois distributeurs d’énergie du territoire (ErDf pour l’électricité, GrDF pour le gaz naturel et Dalkia pour le réseau de chaleur) ont signé une convention de partenariat. Objectif : démontrer que réaménagement urbain et densification urbaine vont de pair avec une limitation de la consommation électrique.
Plusieurs pistes sont alors envisagées. Comme la construction d’une unité de stockage d’énergie sur le campus de l’université afin de lisser les appels de puissance. Concernant la Fontaine Margot, on s’oriente vers un mix gaz naturel-thermique solaire ou bois pour l’équipement des pavillons. La production d’électricité photovoltaïque sur les Capucins est envisagée. Du côté de Recouvrance, l’isolation thermique des immeubles par l’extérieur prévaut pour réduire la facture et la demande en énergie. Pour le chauffage sanitaire, le réseau de chaleur passera de 24 km aujourd’hui à 44 à terme dont une grande partie irriguera la Rive droite…
En savoir plus :
Inauguration VIADUC DU VICOIN : LES TRAVAUX DE LA FUTURE LIGNE À GRANDE VITESSE RENNES – LE MANS SE POURSUIVENT
Source : Bretagne.fr
VIADUC DU VICOIN : LES TRAVAUX DE LA FUTURE LIGNE À GRANDE VITESSE RENNES – LE MANS SE POURSUIVENT
Les travaux de la future ligne à grande vitesse entre Le Mans et Rennes se poursuivent. Une nouvelle étape vient d’être franchie le 29 juillet avec la pose du tablier du viaduc du Vicoin près de Laval.
Situé à Saint-Berthevin près de Laval, le viaduc du Vicoin est le plus grand viaduc de la ligne à grande vitesse Bretagne Pays de la Loire. Le premier lancement du tablier de l’Estacade du Vicoin située sur le raccordement menant à la gare de Laval, a eu lieu le 29 juillet en présence de Pierrick Massiot, président de la Région Bretagne, Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, Jacques Auxiette, président de la Région Pays de la Loire, Gérard Lahellec, vice-président en charge den la mobilité et des transports et Guillaume Garot, ministre de l’agroalimentaire. Une première section de 795 tonnes de charpente métallique a été lancée sur 151 m depuis la plateforme ouest. L’opération a duré 5h et a permis au tablier de venir prendre appui sur la pile P5. Un second lançage est prévu d’ici la fin de l’année afin que le tablier puisse parcourir la distance le séparant de son appui définitif.
Les travaux de la LGV se poursuivent
« Notre plaisir d’aujourd’hui, nous le savourons mais il ne faut pas oublier à quoi nous le devons : à la mobilisation sans faille de toute la Bretagne, appuyée par les Pays de Loire. Depuis le CIADT de 2003, il y a moins de 10 ans, nous avons fait en sorte que le projet, qui était en queue de peloton à cette date, devienne une réalité. Mobilisés nous avons été, mobilisés nous sommes, et mobilisés nous le serons… Si pour la ligne à grande vitesse, nous nous étions découragés pour si peu, nous ne serions pas là aujourd’hui pour cette inauguration ». Et Pierrick Massiot de prévenir : « ne doutez pas un seul instant de notre détermination à aller jusqu’au bout de notre ambition, vitale pour la Bretagne, pour son équilibre, pour son économie, pour sa cohésion. C’est le projet que le Conseil Régional porte, défend et défendra » a rappelé Pierrick Massiot.
Cette inauguration a ainsi permis de montrer que le chantier titanesque de la ligne à grande vitesse
Bretagne – Pays de la Loire avance bien et que les délais sont tenus avec une fin des travaux prévus en 2016 et une mise en service en 2017.
Morbihan : Une nouvelle dynamique pour les ports de plaisance
Source Servir le Public / Fédération des EPL
En se transformant en Spl, la Sem Sagemor passe à la vitesse supérieure. Le Conseil général du Morbihan a voulu lui permettre d’aller au-delà de la simple gestion des ports de plaisance, en ajoutant l’aménagement et l’investissement à ses compétences.
Déjà reconnue pour son savoir-faire et ses innovations en matière de gestion de douze ports de plaisance, la Sagemor monte en puissance. En ligne de mire, en plus de l’expoitation des sites : renforcer leur attractivité, aménager et investir dans les infrastructures pour mieux répondre aux besoins des collectivités locales, des professionnels et des plaisanciers. En changeant le statut de la société et en doublant son capital – qui atteint désormais les 3 millions d’euros – le Conseil général du Morbihan a voulu donner à l’Entreprise publique locale les moyens de jouer un rôle encore plus important dans le développement économique local.
La Sagemor (Société Anonyme de Gestion du Morbihan) et le Syndicat Mixte des Ports et Bases Nautiques du Morbihan ont ainsi cédé leur place en novembre 2012 à la Société publique locale Ports du Morbihan (Spl Ports du Morbihan)¹, qui s’affirme depuis juin sur le marché sous le nom commercial de « Compagnie Ports du Morbihan ». Sa gouvernance a changé par la même occasion, avec à sa tête 18 administrateurs, dont 15 conseillers généraux. François Goulard, président du Conseil général du Morbihan, ancien ministre de la Mer et des Transports, en assure la présidence.
Valoriser les services
« Nos ports sont des atouts essentiels du Morbihan, confie Michel Le Bras, directeur de la nouvelle Spl. Ce sont à la fois des facteurs d’attractivité et de développement économique. Pour conserver cet atout, il est nécessaire d’accroître les capacités d’accueil à flot et à terre, et de valoriser les services ». La qualité de l’offre sera améliorée et un millier de places supplémentaires doivent voir le jour. Un plan d’affaires de cinq ans, décidé par le Conseil général du Morbihan, prévoit d’injecter pas moins de 56 millions d’euros dans les 12 ports gérés par la Spl (dont 20 millions en développement des places, et 36 millions en rénovation, mise aux normes, reconstruction de bâtiments, dragages et traitement des boues portuaires).
Côté services, le numérique sera renforcé pour faciliter aux plaisanciers l’accès aux informations et aux réservations. Le Passeport Escales, considéré comme une importante réussite commerciale, devrait encore accroître sa notoriété. Au total, 80 ports, dont 15 britanniques, ont adopté ce produit imaginé et développé par la Sagemor, capable d’optimiser le remplissage des ports tout en apportant plus de souplesse à ses utilisateurs.
¹ Les actionnaires de la Spl Ports du Morbihan sont le Département du Morbihan, le Syndicat intercommunal du port de Foleux, le Syndicat intercommunal du port de La Roche-Bernard, la commune de Plouay, et la commune de Quistinic.
Patrick Cros/Naja
Colloque National Habitat – Brest 28-29 nov 2013
Colloque National Habitat – Brest 28-29 nov 2013
Sous le haut patronage de l’Anah et de la Caisse des Dépôts.
Organisé par Brest, avec la participation de Caen, Dunkerque, Flers, Lorient,
Saint Nazaire, Rouen, Royan et Valenciennes.
Ville invitée d’honneur : KIEL, Allemagne
Mise en ligne du programme définitif et Inscriptions en ligne en Septembre
Attractivité résidentielle – Energie – Copropriétés : Défis et ambitions
Les parcs immobiliers des années 50-70 jouent un rôle majeur dans de nombreuses villes, constituant souvent des quartiers péricentraux, voire centraux, aux fonctions essentielles.
Ne constituant pas une priorité d’intervention jusqu’à aujourd’hui, nombre d’entre eux se sont lentement déqualifiés, alors même qu’ils revêtent une place symbolique dans le fonctionnement de la ville et son image, et un rôle majeur dans le fonctionnement des marchés immobiliers locaux, en locatif comme en accession.
Pour préserver ou renouveler leur attractivité urbaine et résidentielle, 3 défis majeurs s’imposent à nous : la requalification énergétique, la copropriété et les enjeux urbains et sociaux.
Et parce que ces trois enjeux sont fortement imbriqués dans ces morceaux de ville à part entière, ils nous imposent de renouveler en profondeur nos approches, notre stratégie, nos outils, du national au local.
Parce qu’elles concentrent de façon accrue ces problématiques en leur centre-ville et dans l’essentiel de leur péricentre, 8 villes dites « reconstruites » s’associent pour organiser cette rencontre nationale, sous le haut patronage de l’ANAH et de la Caisse des Dépôts.
Alors que la nouvelle loi pour l’accès au logement et pour un urbanisme rénové ouvre notamment de nouvelles perspectives sur les copropriétés, que les objectifs du Grenelle nous invitent sinon nous obligent à « changer de paradigme », que les objectifs de renouvellement urbain et de lutte contre l’étalement urbain plaident pour un renouveau de ces secteurs urbains, que l’Europe ouvre le champ des possibles dans le financement de l’habitat, et qu’un nombre grandissant de collectivités et d’institutions nationales, conscientes des défis majeurs à relever, affinent leurs réflexions sur ces thèmes, ce temps d’échanges, de retours de la recherche-action et d’expériences très opérationnelles arrive à point nommé.




