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Brest Métropole : objectif zéro déchet
Lauréate de l’appel à projet « Territoire zéro déchet, zéro gaspillage », Brest Métropole Océane a appuyé sa politique de valorisation des déchets sur la Spl Sotraval. La création de TriGlaz, un centre de tri mutualisé avec les autres collectivités du nord du Finistère, a permis la chute du coût de traitement des déchets et de réduire la quantité́ d’ordures ménagères résiduelles. Investissement : 12 millions d’euros.
C’est un travail de valorisation des déchets qui a été lancé par Brest Métropole Océane (BMO) en 1986 avec la création de la Sem Sotraval et d’un incinérateur avec chaufferie reliée à un réseau de chaleur. La dynamique débouche aujourd’hui sur une reconnaissance de l’Etat. Le ministère du développement durable a retenu en janvier la candidature de la métropole – déposée en commun avec Rennes Métropole – dans le cadre de l’appel à projets national « Territoire zéro déchet, zéro gaspillage ».
La création de Sotraval-Spl en 2013, pour gérer le tout nouveau centre de tri TriGlaz à Plouedern, est venue donner un nouvel élan à cette valorisation des déchets. « Les dix établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) du nord Finistère se sont regroupés dans cette Spl pour disposer d’un outil moderne qui a remplacé les centres de tri respectifs devenus quasi obsolètes », explique Stéphane Baron, directeur général délégué de Sotraval. …en savoir plus…
Brest Métropole entre dans le Top 14 des grandes métropoles
Jusqu’au 31 décembre 2014, Brest métropole océane n’était qu’une appellation. A compter du 1er janvier 2015, la communauté urbaine de Brest endosse un nouveau statut créé par la loi : celui de métropole.
Etablissement public de coopération intercommunale depuis 1974, la Communauté urbaine de Brest bénéficie – à compter du 1er janvier 2015 – du nouveau de statut de métropole instituée par la loi de modernisation de l’action publique territoriale.
Ce nouveau statut est la reconnaissance du rôle joué par un nombre limité de grandes agglomérations françaises exerçant des fonctions métropolitaines au service d’un territoire dépassant les frontières institutionnelles.
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« Brest, campus mondial de la mer »
Manuel Valls : « Brest, campus mondial de la mer »
Un an après son instauration, le Pacte d’avenir pour la Bretagne a fait l’objet d’un point d’étape jeudi 18 décembre à Brest par Manuel Valls. A cette occasion, le premier ministre a confirmé le transfert du siège de l’Ifremer à Brest.
Accompagné de Stéphane Le Foll, ministre de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire, de Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense et de Marylise Lebranchu, ministre de la Décentralisation, Manuel Valls a passé la journée du jeudi 18 décembre à Brest. Au programme de la visite : un point d’étape du Pacte d’avenir pour la Bretagne un an après sa mise en place par le gouvernement. Ce bilan s’est poursuivi par la signature d’un protocole d’engagement entre l’Etat et la Région Bretagne. Ce document contractuel établit à un milliard d’euros le montant des subventions publiques allouées à la Bretagne pour la période 2015-2020. Un coup de pouce qui avoisinera les trois milliards d’euros avec les aides de l’Etat hors Contrat de plan Etat-Région et celles de l’Union européenne.
Dans les locaux d’Océanopolis, le premier ministre a aussi évoqué quelques dossiers brestois. En souhaitant que « Brest devienne le campus mondial de la mer », Manuel Valls a confirmé le transfert du siège social de l’Ifremer de la région parisienne vers Brest, sur le site du Technopôle, non loin de l’institut France Energies Marines qui lui est pérennisé dans ses missions et ses moyens.
Après un entretien avec Xavier de la Gorce, président national de la SNSM, le premier ministre a embarqué sur un bateau, direction le port de commerce où il a été question de l’aménagement du polder et de l’accueil de structures liées aux énergies marines renouvelables avec Hervé Guillou, le PDG de DCNS.
En savoir +
Découvrir Brest’aim : la SEM la plus importante de France !
De la Sopab à Brest’aim, 40 ans au service de la dynamique métropolitaine brestoise
Créée en 1974 pour gérer les parkings de Brest, la Sopab, devenue Brest’aim en 2011, est aujourd’hui la plus importante société d’économie mixte de France. De par le nombre de ses salariés (250) et de ses multiples activités au service de la métropole.
Société d’économie mixte
La Sem Brest’aim est une société anonyme dont le capital est majoritairement détenu par plusieurs personnes publiques (Brest métropole, Ville de Brest) et dont 15 % au moins du capital appartient à une ou plusieurs personnes privées (Crédit Mutuel-Arkéa, Crédit Agricole, BNP-Paribas-Banque de Bretagne…).
Pourquoi une Sem ?
Le recours à une société d’économie mixte garantit à la collectivité publique actionnaire la prise en compte de l’intérêt général, qu’une réactivité et une souplesse de fonctionnement comparables à celles d’une société de droit privé.
1974
Cette société d’économie mixte a été créée en 1974 par la Ville de Brest pour gérer le stationnement payant et le Parc des expositions de Penfeld, d’où sa première appellation de Sopab (SOciété des PArcs de Brest).
Grandes dates
Au fil des ans, la collectivité a confié à la Sopab-Brest’aim la gestion d’équipements à vocation économique, culturelle, de loisirs, touristiques et sportifs : le Palais des Arts et de la Culture (1987), puis le Quartz (1989), Océanopolis (1990), les fêtes maritimes (depuis 2004), la marina du Château (2009), la Brest Arena (2014).
Une Sem, trois directions
Pour répondre au fort développement et à la spécificité des activités qui lui ont été confiées, Brest’aim a progressivement mis en œuvre une organisation adaptée s’appuyant sur trois directions déléguées : Culture-Congrès (Le Quartz), Sports Evénements (Brest Arena, Rïnkla Stadium, Parc des expositions de Penfeld) et Mer (les marinas du Moulin Blanc et du Château, la goélette la Recouvrance, Océanopolis, les fêtes maritimes). Brest’aim c’est aussi 250 salariés (4 en 1974) au service de projets (spectacle vivant, sciences, loisirs, tourisme, économie, vie quotidienne) qui exercent une centaine métiers différents.
La 1ère de France
Entièrement au service de la dynamique métropolitaine, Brest’aim est la plus importante Sem française gestionnaire de multiples équipements publics à vocation économique, culturelle, scientifique, sportive, de loisirs et touristique.
Un port de Brest dédié aux Energies Marines Renouvelables
Accélérer le développement de l’éolien flottant
Une convention entre la Région Bretagne et DCNS a été signée à Brest durant la Sea Tech Week. Le port de Brest a une belle carte à jouer.
Dans le domaine des énergies marines renouvelables, on distingue cinq types de technologies produisant de l’énergie depuis des éoliennes posées, des éoliennes flottantes, des hydroliennes, des houlomotrices et des usines marémotrices. Avec ses 2730 km de côtes exposées aux vents, aux marées, la Bretagne dispose d’un potentiel naturel important. Des projets sont à l’étude en baie de Saint-Brieuc, au large de Groix, en baie d’Audierne, devant Ouessant…
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