Archives du 25 avril 2020

Déconfinement : quelles pistes privilégier pour les transports ? @BanqueDesTerr

Source :  Banque des Territoires

Comment se déplacer à nouveau, à la fin du confinement, sans risque d’être infecté par le coronavirus ? La question taraude le monde des transports qui prépare « le jour d’après ». La crainte d’une déferlante automobile comme cela s’est produit en Chine est aussi dans toutes les têtes. C’est donc l’idée d’un redémarrage progressif avec toutes les précautions sanitaires d’usage qui se dessine, le vélo pouvant venir en complément des transports urbains dans les grandes agglomérations.

Comment relancer les transports publics au moment du déconfinement sans risque de propagation du coronavirus ? La question fait aujourd’hui figure de casse-tête pour les acteurs du secteur, qui redoutent une déferlante automobile. « On voit ce qui se passe dans d’autres pays. (…) On sait qu’en Chine les gens se sont précipités dans les voitures et sont beaucoup moins présents dans les transports collectifs », remarquait le 15 avril le P.-D.G. de la SNCF, Jean-Pierre Farandou, lors d’une audition au Sénat. « C’est l’enjeu stratégique majeur : si à la sortie de crise, le grand gagnant, c’est la voiture individuelle, je pense qu’on aura loupé quelque chose », soulignait-il.

Crainte du retour de la pollution

Même crainte de la part de la Fédération nationale des associations d’usagers des transports (Fnaut) : « Un retour massif à la voiture serait catastrophique pour la sécurité routière, l’économie, les budgets publics, la santé et le cadre de vie ; il entraverait la lutte urgente contre le réchauffement climatique », alerte-t-elle dans un communiqué ce 20 avril. En outre, la relance de la pollution atmosphérique liée aux particules fines, issue notamment du trafic routier, augmente la mortalité liée au coronavirus, selon des chercheurs de l’université de Harvard tandis que d’autres scientifiques se demandent même si ces particules peuvent transporter le virus…

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L’après-crise réconciliera les notions de e-commerce et de local @nexity #Enviesdeville

Source : Envies de ville by Nexity

Le jour d’après est une série d’interviews et de tribunes qui portent un regard sur les enseignements que nous pourrons tirer, demain, de la crise sanitaire que nous vivons actuellement. Quels nouveaux besoins, quels nouveaux usages et relations sociales s’organisent dans ce contexte sans précédent ? Comment les initiatives positives créées par cette situation inédite peuvent-elle constituer des enseignements durables pour plus d’urbanité et une meilleure qualité de vie en ville ? Urbanistes, sociologues, géographes, architectes, mais aussi start-upper nous éclairent de leurs regards multiples sur l’urbanité bousculée que nous vivons aujourd’hui, pour inspirer durablement celle de demain.

En quoi les acteurs de la logistique urbaine – comme Stuart – sont-ils devenus des maillons clés de la smart city en cette période de confinement ?

La logistique urbaine joue un rôle essentiel dans l’approvisionnement des commerces et des particuliers. Dans le spectre général de la logistique urbaine, la livraison à domicile permet de ravitailler la population en produits de première nécessité (denrées alimentaires, médicaments…). On circonscrit trop souvent la livraison à domicile en ville à des produits dits récréatifs ou de confort. Cette conception est réductrice.

Chez Stuart, nous avons mis notre plateforme au service des acteurs les plus touchés ou sollicités en renforçant notre collaboration avec les distributeurs alimentaires, petits commerçants et acteurs de la santé. Nous enregistrons une augmentation de 250% des livraisons de paniers de course et de 300% des livraisons de médicaments à domicile. Les places de marché locales partenaires de Stuart ont quant à elles multiplié leur nombre de livraisons par 10.

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