Archives Mensuelles: mars 2019

Comment transformer les ports pour les rendre plus intelligents ? @Nexity

Source : Nexity Lab

Les ports, ce sont ces lieux transitoires souvent synonymes, dans notre esprit, d’exotisme et d’escapade. Mais ils sont aussi le berceau de l’essor du tourisme et du commerce à l’échelle mondiale. Et dans ce milieu où la concurrence se fait de plus en plus rude, les ports maritimes de part et d’autre du monde misent sur la révolution numérique pour rester dans la course, se démarquer et répondre aux enjeux actuels. Ont-ils déjà leur place dans la smart city ?

L’urgence écologique, source de motivation vers des ports plus intelligents

Depuis 2014, le secteur du transport maritime ne cesse de progresser : il représente aujourd’hui 80 % du commerce international en termes de volume et 70 % en valeur. En une année, cela représente 10 milliards de tonnes de marchandises transitées. Mais derrière ces chiffres impressionnants se cache une problématique majeure, celle de l’écologie.

L’Organisation maritime internationale (OMI) souligne en effet l’urgence de réduire les émissions de gaz à effet de serre du transport maritime qui représentent 2,5% du total mondial. Ce chiffre risque d’être multiplié par 2,5 d’ici 2050 si les ports ne migrent pas vers un fonctionnement plus intelligent.

Rotterdam : premier port d’Europe et exemple de port intelligent

Le défi du port de Rotterdam ? Devenir le port le plus intelligent du monde ! En s’associant à IBM et en misant sur l’IoT (internet des objets), le port néerlandais ne compte pas stopper sa progression, bien au contraire. Cela fait déjà plus de 15 ans que le port de Rotterdam dispose d’un système de gestion portuaire, permettant de collecter de précieuses informations comme la profondeur d’eau des bassins, le mouvement des vents et des courants. Mais d’ici 2025, le port souhaite également être en mesure d’accueillir des navires connectés.

En savoir plus

13 équipements franciliens construits ou rénovés pour Paris 2024 @Sports_gouv @Paris2024 @Min_Territoires

Source : ministère des sports

A 5 ans des Jeux Olympiques et Paralympiques, l’héritage de Paris 2024 commence déjà à se matérialiser pour les habitants de Seine-Saint-Denis et de Paris. En effet, une première liste de 13 équipements sportifs qui seront construits ou entièrement rénovés, a été annoncée aujourd’hui à l’issue du conseil d’administration de la SOLIDEO, l’établissement public en charge de la livraison des infrastructures de Paris 2024.

Au total, un budget de 70 millions d’euros sera consacré à la construction et la rénovation de ces équipements sportifs en Ile de France comprenant des piscines, des gymnases et des complexes sportifs identifiés comme sites d’entraînement dans la liste de candidature et à laquelle la construction d’une piscine à Colombes sera ajoutée prochainement.

La liste définitive des sites d’entrainement des Jeux de Paris 2024 sera officiellement validée en 2021 par les fédérations internationales.

Roxana MARACINEANU, Ministre des Sports et Julien DENORMANDIE, Ministre auprès de la ministre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, chargé de la ville et du logement, se félicitent de voir l’effet bénéfique des Jeux sur le paysage sportif et urbain se concrétiser au bénéfice des habitants de ces territoires.

En savoir plus

Télécharger l’Urbanisme Transitoire by SNCF Immobilier

Source : SNCF Immobilier

Depuis sa création en 2015, SNCF Immobilier développe au sein de son patrimoine des opérations d’urbanisme transitoire destinées à faire vivre de manière temporaire certaines de ses emprises en cours de mutation.

Cette démarche évolutive est le fruit d’une succession d’expérimentations et d’apprentissages, nous permettant au quotidien d’ouvrir nos imaginaires et de réinventer nos manières de faire.

L’urbanisme transitoire nous apparaît comme un moyen, et non comme une fin, d’aborder les sujets sociaux, culturels, urbains, économiques et environnementaux de la ville de demain, dans un contexte de transition globale de notre société. Il donne la possibilité de promouvoir une ville frugale, inclusive, circulaire et permet l’évolution des sociétés et des manières de transformer les villes. En profitant de ces projets pour expérimenter, tester, apprendre, nous souhaitons démontrer que la ville n’est pas un objet «fini ».

J’ai la conviction que la ville de demain sera faite avec une multiplicité d’acteurs, des acteurs de l’urbanisme, de l’architecture et de l’immobilier bien sûr, mais aussi des acteurs culturels, des habitants, des associations, des entreprises de l’économie sociale et solidaire, qui renouvellent notre vision en faveur d’une fabrique urbaine partagée. L’effervescence qui se joue au sein de ces lieux questionne les pratiques, bouscule les habitudes. Construire la ville de demain, ce n’est pas toujours plani er, programmer, organiser, mais c’est aussi sortir des solutions préconçues pour se laisser surprendre par les ressources de ces lieux….. Benoit Quignon

Télécharger le document

De nouvelles offres d’emploi dans les EPL @fedepl

Source : Fédération des Epl

Découvrez de nouvelles offres d’emplois dans les EPL

En savoir plus

Lyon : avec le Groupe Serl, le parc dédié à la santé affirme sa vitalité @fedepl @groupeserl @villedeLyon

Avec le Groupe Serl, le parc dédié à la santé affirme sa vitalité

Source : Fédération des Epl

Au cœur du 8e arrondissement, Bioparc Lyon est un parc dédié aux entreprises innovantes dans le domaine des sciences de la vie. Et si sa propre croissance n’a pas été exempte de quelques maux, grâce aux efforts conjugués de la Métropole et de la Serl, le site respire désormais ce qui partout ici inspire : la santé !

Ce pourrait être une opération d’aménagement classique que sa faible surface de 3,4 hectares ne place même pas parmi les plus importantes. Et pourtant ! « Par son implantation en cœur de ville, son hyper-spécialisation dans les sciences de la vie et l’environnement de travail exceptionnel qu’il promet au sein d’une des plus importantes concentrations hospitalo-universitaires d’Europe, Bioparc Lyon représente vraiment un projet exceptionnel », soutient Vincent Malfere.

À la direction générale du Groupe Serl, l’homme rappelle d’ailleurs comment ce programme majeur aurait pu rimer avec gageure. Développé dès le début des années 2000, il aura en effet affronté de plein fouet la crise de 2007 puis encaissé, en 2015, l’abandon du centre national de traitement des cancers par hadronthérapie qui devait s’y installer. « Face à tous ces aléas, nous aurions pu délaisser l’ambition au profit de la commercialisation et ouvrir le parc au tout-venant. Mais nous avons poursuivi nos exigences afin de garantir aux entreprises un cadre propice aux convergences », insiste le responsable de la Sem.

Élargir sans trahir… en savoir plus…

Concevoir un site comme celui-ci avec WordPress.com
Commencer