Archives du 24 janvier 2019
#CES2019 : Le digital au service des personnes – Marc Brière répond à @LaTribune @ces @MarcBriere29 @Aziliz31 @cmarkea
Source : LA TRIBUNE
Le CES accueille des entreprises du monde entier, Chine, Corée, Israël, … la France également est bien présente avec la French Tech ; le CES foisonne d’idées nouvelles.
> Découvrez l’interview de Marc BRIERE, Directeur Général d’Arkéa Capital Investissement
Le poids conséquent des charges pour les locataires du parc social francilien @IAUIDF
Le poids conséquent des charges pour les locataires du parc social francilien
Selon les données de la dernière enquête Logement de 2013, les ménages logés dans des appartements du parc social consacrent en moyenne 24,2 % de leur revenu pour payer leur loyer (aides au logement déduites) et l’ensemble des charges. L’impact de ces dernières est important puisqu’avec 261 €/mois, elles représentent 43 % de leur dépense logement globale qui s’élève à 606 €/mois.
Une modération de la hausse des charges qui s’est répercutée sur le loyer
L’analyse des prix des loyers et des charges au cours de la période 1988-2013 montre que dans le parc social, leurs évolutions ont été sensiblement plus rapides que celle des revenus des ménages. Le coût global « loyer + charges » a doublé, alors que dans le même temps les revenus n’étaient multipliés que par 1,5. Conséquence, la part du revenu des ménages consacrée au loyer et aux charges (aide au logement déduite, le taux d’effort net global) a augmenté de 5,8 points en 25 ans (16,7 % en 1988 et 22,5 % en 2013, hors taxe d’habitation). Toutefois, l’essentiel de cette progression (soit 5,0 points) est due au seul loyer. Les charges n’ont participé en effet qu’à hauteur de 0,8 point dans la hausse du taux d’effort net global des ménages.
Cette hausse des charges mieux contenue n’a donc pas été neutre en termes de coût global. Les améliorations réalisées par les bailleurs ont rejailli sur les coûts de construction et in fine sur le loyer. Ce surcoût, qui s’ajoute à la hausse des coûts du foncier ainsi qu’aux travaux facilitant l’accessibilité des immeubles aux personnes handicapées, explique que les bailleurs aient du mal à produire aujourd’hui des logements sociaux à des niveaux de loyer compatibles avec les faibles ressources d’une partie importante des demandeurs (c’est-à-dire dans les prix des loyers PLAI).
261 €/mois de charges dans le parc social, un montant intermédiaire entre les 467 €/mois des propriétaires et les 195 €/mois dans le parc locatif privé
Économie circulaire : l’Ademe met à plat ses outils @localtis
Source : Caisse des Dépôts des Territoires
Économie circulaire et transition énergétique : deux enjeux différents ou concomitants ? L’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) penche visiblement plus pour le second et a profité de la tenue des Assises européennes de la transition énergétique pour lancer, ce 23 janvier à Dunkerque, un programme d’accompagnement des démarches territoriales d’économie circulaire. « Il s’agit d’aider très concrètement les collectivités, de partager, d’appuyer les bonnes pratiques pour réduire les déchets et d’accompagner la bascule d’un modèle linéaire vers une économie circulaire vertueuse pour l’emploi et la dynamique locale », a éclairé lors des assises Arnaud Leroy, président de l’Ademe.
Fruit d’un travail collectif
Premier partenaire à avoir signé ce protocole d’accompagnement, la communauté urbaine de Dunkerque, co-organisatrice des assises. C’est d’ailleurs à l’initiative de cette collectivité que l’agence a construit patiemment (quatre ans) ce dispositif. Non sans le tester au préalable, l’an dernier, sur huit collectivités dont Dunkerque mais aussi le Grand Lyon, Lorient agglomération, Mauges communauté (Maine-et-Loire), la communauté de communes de Puisaye Forterre (Yonne et Nièvre), le syndicat du Bois de l’Aumône (Puy-de-Dôme) et les syndicats mixtes Symevad (Pas-de-Calais) et Smicval du Libournais (Gironde). Des professionnels du secteur des déchets, des associations (dont l’Assemblée des communautés de France, France urbaine, Amorce, l’Association des maires de France et Régions de France) et le ministère ont aussi contribué à la mise au point du programme.