Archives du 17 avril 2015

François Dutilleul devient PDG de Nacarat

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Nacarat change de gouvernance. Les actionnaires de Nacarat ambitionnent de donner à l’entreprise de promotion immobilière une dynamique nouvelle pour répondre de manière réaliste et performante aux évolutions du marché et pour assurer son développement sur le long terme.

Pour mener à bien cette ambition, François Dutilleul, Président du Directoire du groupe Rabot Dutilleul, devient par ailleurs Président Directeur Général de Nacarat. Philippe Cayol, qui a mené à bien la transformation de Nacarat depuis 2009, quitte, quant à lui, ses fonctions de Directeur Général.

UNE ANNÉE 2015 ET DES PERSPECTIVES ENCOURAGEANTES

Nacarat, qui figure dans le top 20 des entreprises françaises du secteur de la promotion immobilière*, devrait atteindre en 2015 un chiffre d’affaires de l’ordre de 280 M€, soit une hausse de 8 % par rapport à l’exercice 2014. Une dynamique confirmée par le rythme de commercialisation de ce premier trimestre en immobilier résidentiel. Au cours de ces trois premiers mois, Nacarat a enregistré un niveau de réservations en progression de 18 % (hors ventes en bloc), en comparaison avec le premier trimestre 2014. Sur l’ensemble de l’exercice 2015, l’objectif de ventes de l’entreprise se porte à 1 300 logements** et 50 000 m² en immobilier d’entreprise (bureaux, activités et commerces).

Primée à six reprises à Nantes, Lille et Lyon par la FPI*** aux concours régionaux des Pyramides d’Argent 2015, Nacarat entend conforter son positionnement d’acteur de référence de la ville durable, illustré par son ancrage territorial fort et l’avantage concurrentiel pris ces dernières années dans le domaine de l’éco-conception.

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Accélération de l’économie en Zone Euro – Point marché express

La croissance du PIB chinois au 1er trim. 2015 a ralenti à  7% en rythme annuel, plus médiocre performance depuis  6 ans. De plus, la hausse annuelle des ventes au détail (10,2%) en mars est la plus faible depuis 9 ans. En parallèle, la production industrielle  a enregistré au 1er trim., à +5,6%, sa plus faible  progression depuis 2008 tandis que les investissements en capital fixe, important moteur de l’économie chinoise, tombaient à un plus bas depuis 2000. De nouvelles mesures de soutien à l’économie par la Banque centrale sont anticipées. Si le FMI a révisé en hausse en avril de 0,5% à 1,3% ses prévisions de croissance de la Z.E pour 2015 (+0,3% pour l’Allemagne  et la France), par rapport à janv., il a en revanche  abaissé de 0,5% à 3,1% celles des Etats-Unis. Il estime que la croissance du PIB indien (7,5%) dépassera celle du PIB chinois (6,8%) en 2015 et que le Brésil (-1% ) et la Russie (-3,8%) tomberont en récession.

Change • L’€/$ a dépassé les 1,07 ce jour, en dépit des craintes croissantes quant à un défaut grec en mai, sans accord avec ses créanciers d’ici fin avril.

A l’issue de sa réunion du 15/04, le Conseil des gouverneurs de la BCE a indiqué avoir constaté une accélération de l’économie en Z.E depuis fin 2014, à la faveur de la baisse des cours pétroliers et de l’euro, ainsi que des mesures de politique monétaire, qu’il entend mettre en œuvre totalement. M. Draghi a en effet jugé prématurées les spéculations autour d’un arrêt précoce de son programme d’achat d’actifs privés et publics. De  plus, il ne redoute pas de pénurie ultérieure des titres éligibles au programme, en dépit du nombre croissant d’obligations d’Etats de la Z.E cotant à des taux négatifs et a rejeté tout abaissement du taux de  dépôts (-0,2%). Les taux d’Etat à 10 ans allemands (0,073%) et français  (0,33%) sont donc tombés ce jour à de nouveaux plus bas, alors que le Trésor français émettait un emprunt d’Etat à 5 ans pour la 1ère fois à un rendement négatif (-0,03%). L’Euribor 3  mois chutait aussi à un taux sans précédent de 0,002%.

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Maîtrise de l’énergie : Brest Métropole agit sur les copropriétés

L’agglomération de Brest travaille avec la Sempi sur un dispositif d’accompagnement de rénovation énergétique des copropriétés du territoire, sur le concept de tiers financement. Après un test effectué à partir de 2014 sur quatre immeubles, la Sem prévoit de monter progressivement en puissance sur ce créneau, pour atteindre en 2018/2019 le rythme de 500 logements rénovés par an.

La Sempi monte au créneau sur le front de la rénovation thermique. En ligne de mire, les copropriétés de l’agglomération brestoise qui représentent près de 45 % du parc immobilier local, soit environ 3 600 immeubles et plus de 42 000 logements sur un total de 102 000. La Sem a été choisie pour le savoir-faire développé depuis 2004 dans les quartiers dégradés de Saint-Martin et de Recouvrance, dans le cadre d’Opah-RU (Opérations programmées d’amélioration de l’habitat de renouvellement urbain) qu’elle a pilotées. Elle a été en contact régulier avec les copropriétaires pour les inciter à rénover, et a acquis les logements quand ces derniers se sont montrés défaillants.

« Dans ce nouveau projet, les cibles sont des copropriétés construites en grande partie en centre-ville dans les années 1950-1980 et qui présentent des fragilités thermiques », précise Olivier Jacolot, chargé d’opérations de la Sempi. Ce sont essentiellement des bâtiments de plus de 50 appartements de « grande taille », parfois vétustes « car délaissés des ménages qui préfèrent s’installer dans des maisons récentes en périphérie de la ville ». L’objectif est aussi de redonner une attractivité à ces immeubles pour qu’ils soient à nouveau occupés et éviter qu’ils continuent à se dégrader.

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