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Le CHU de Nice, moteur de la croissance locale

ETUDE pg de garde

Dans quelles proportions un CHU contribue-t-il au développement d’un territoire ? En général, les réponses se limitent aux chiffres clés des dépenses directes de personnels, de fonctionnement, et d’investissement. Elles n’intègrent pas la richesse indirecte générée par l’institution, plus complexe à calculer. Le CHU de Nice a voulu explorer la facette méconnue de son impact économique. Une 1ère en France ! Pour mener à bien une telle analyse, l’établissement s’est appuyée sur la méthodologie rigoureuse établie par l’observatoire économique Sirius de la Chambre de Commerce et d’Industrie Nice Côte d’Azur. Et que révèlent les chiffres ? Que le CHU de Nice est bien un moteur de la croissance locale et dans des proportions nettement supérieures à ce qu’il est communément établi.  Ainsi, l’impact économique global du CHU  représente presque 3 fois son budget. Les 570 millions d’euros qui lui sont alloués (compte principal et investissements) ont produit 1 456 milliard d’euros au profit de l’économie azuréenne. Quant aux 8 000 salariés du CHU de Nice, ils génèrent 16 397 emplois temps plein. L’enquête montre aussi l’importance des colloques et salons médicaux et hospitaliers : une manne évaluée à plus de 6 millions d’euros par an pour les entreprises locales.

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Les aéroports parisiens ont créé 29,6 milliards d’euros de valeur ajoutée pour l’économie française en 2010

27/02/2012. Aéroports de Paris a souhaité mesurer l’apport à l’économie régionale et nationale des aéroports franciliens, Paris-Charles de Gaulle, Paris-Orly et Paris-Le Bourget. Confiée au BIPE, cette étude révèle que l’activité économique globale générée par les aéroports parisiens mobilise plus de 340 000 emplois et crée une valeur ajoutée de 29,6 milliards d’euros…

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Les Auvergnats prêtent 20 millions à leur région en moins d’une semaine

 


René Souchon se félicite des 20 millions d’€ levés en une semaine auprès des Auvergnats

René Souchon est heureux de clore aujourd’hui l’emprunt obligataire lancé il y une semaine auprès des auvergnats. Avec un délai de souscription prévu d’une durée de 18 jours, l’emprunt populaire de la Région Auvergne se termine aujourd’hui, les souscriptions ayant atteint en une période record les 20 millions d’euros escomptés.

Cette somme viendra alimenter le Fonds d’Investissement Auvergne Durable (FIAD) qui servira au financement des projets innovants et créateurs d’emplois des TPE et PME auvergnates. Ils s’ajouteront aux 15 millions d’euros déjà alloués par la Région à l’économie auvergnate, portant à 35 millions l’effort régional pour ce secteur.

« C’est une véritable dynamique qui s’est créée autour de cette initiative inédite en Auvergne. Cela révolutionne complètement la notion d’épargne et je remercie vivement les auvergnates et les auvergnats qui  ont mis leur épargne au service de l’emploi dans la Région ! » a salué René Souchon.

 

 

La note de conjoncture du bâtiment à fin Septembre 2011


Les tendances aujourd’hui disponibles ignorent encore largement les éventuelles conséquences des chocs financiers intervenus en août et septembre 2011. Le recul manque pour déterminer précisément l’impact de cette nouvelle crise, d’autant que les messages qu’on observe aujourd’hui sont parfois contradictoires.

En termes d’activité, les évolutions connues à fin septembre confirment que 2011 est une année de reprise pour le bâtiment. Ainsi, dans le neuf, on note sur la base des données des huit premiers mois de l’année qu’en rythme annuel :

  • le redécollage est vif dans le logement, avec des autorisations et des mises en chantier qui progressent respectivement de 12,3% et 20,3%, mais le tassement de la reprise constaté depuis le mois de mars inquiète pour 2012 ;
  • la reprise s’avère tout aussi nette dans le non-résidentiel avec, hors bâtiments agricoles, des surfaces de permis accordées et des surfaces mises en chantier en hausses respectives de 12,0% et 21,0%.

En ce qui concerne l’amélioration-entretien, les données du premier semestre 2011 indiquent une hausse de 1,0% de l’activité en volume par rapport au premier semestre 2010.

En conséquence, la reprise de l’emploi attendue s’est bien manifestée. De fait, au premier semestre 2011, le gain net d’emplois s’établit à environ :

  • 7.300 par rapport au premier semestre 2010, l’intégralité du mouvement s’expliquant par la hausse de l’intérim, alors que les effectifs salariés ont encore un peu reculé (2.500 personnes en moins) ;
  • 12.100 depuis le début de l’année, grâce à la hausse simultanée de toutes les natures de contrats.

Reste que la dynamique de la reprise montre des signes d’essoufflement depuis le printemps, ce qui n’est pas de très bon augure pour 2012. D’autant que les prix semblent à nouveau reculer depuis le mois d’août, ce qui pourrait constituer un premier indice de l’entrée en crise du secteur du bâtiment, à l’instar que ce qu’on avait observé en 2008. Ce serait d’autant plus dommageable qu’en deçà des tendances moyennes, la reprise de 2011 n’a pas concerné tous les départements et tous les métiers. La fragilité des entreprises persiste donc.

Dans ces conditions, on ne comprendrait guère que le bâtiment et l’immobilier soient en première ligne dans le nécessaire effort partagé en vue de lutter contre les déficits publics.

Télécharger la note de conjoncture en PDF

Télécharger le discours de Didier RIDORET, président de la FFB

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