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Coût des soins médicaux : à quoi correspond le reste à charge ?

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Source : Mutuelle Mieux-Etre

Une partie du coût des soins ou des biens médicaux consommés n’est pas remboursée par l’Assurance maladie : c’est ce que l’on appelle le reste à charge. Ce dernier se compose de plusieurs participations financières qui sont réglées soit par le patient, soit par une complémentaire santé.

Le reste à charge (RAC) est le montant que le patient doit payer, à la suite d’une consultation, d’un achat de médicaments ou d’une hospitalisation, parce que la Sécurité sociale ne les rembourse que partiellement. Cette somme peut, dans certains cas, être prise en charge en partie ou en totalité par la complémentaire santé.

En 2016, la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees) a évalué la consommation de soins et de biens médicaux (CSBM) à 198,5 milliards d’euros, soit plus de 2 970 euros par habitant. Celle-ci est financée à 77 % par la Sécurité sociale. Les prises en charge de l’Etat (invalides de guerre,
soins urgents, aide médicale de l’Etat, couverture maladie universelle complémentaire) s’établissent à 1,4 %. Les organismes complémentaires (mutuelles, institutions de prévoyance et sociétés d’assurance) supportent 13,3 % de la dépense, et les ménages s’acquittent des 8,3 % restants.

Le reste à charge, payé par les patients et les complémentaires, comprend cinq types de participations financières.

1. Le ticket modérateur (TM)

C’est la partie des dépenses de santé qui reste à la charge du patient et/ou de sa mutuelle après le remboursement de l’Assurance maladie. Le pourcentage du TM varie selon la nature du risque (maladie, maternité, invalidité, accident du travail ou maladie professionnelle), l’acte ou le traitement et le respect ou non du parcours de soins coordonnés. Chez un médecin traitant conventionné de secteur 1, par exemple, le coût de la consultation est de 25 euros. L’Assurance maladie rembourse 70 %, soit 17,50 euros. Le ticket modérateur s’élève à 30 %, soit 7,50 euros. Dans certains cas, il est possible d’en être exonéré (soins liés à un accident du travail, affection de longue durée, examens de prévention bucco-dentaire des enfants…).

2. La participation forfaitaire de 1 euro

Cette participation est demandée à toutes les personnes de plus de 18 ans lors d’une consultation ou d’un acte réalisé par un médecin, d’un examen radiologique ou encore d’analyses de biologie médicale. Elle n’est pas prise en charge par les complémentaires santé et est déduite automatiquement du montant des remboursements de l’Assurance maladie, dans la limite de 50 euros par année civile (du 1er janvier au 31 décembre) et par personne. En cas d’utilisation du tiers payant, elle sera soustraite d’un versement ultérieur. Pour reprendre l’exemple précédent, le tarif de la consultation chez le médecin traitant est de 25 euros, l’Assurance maladie en rembourse 70 %, soit 17,50 euros, et le ticket modérateur s’élève à 30 %, soit 7,50 euros. Le patient doit, en plus, s’acquitter de la participation forfaitaire de 1 euro, le reste à charge passant ainsi à 8,50 euros (7,50 euros + 1 euro).

3. La franchise médicale

Zoom sur l’immobilier à Orléans : quel prix moyen au m2 ? @seloger

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Source : Seloger.com

Dans la capitale du Loiret, les prix des logements dans l’ancien remontent de 0,7 % sur les douze derniers mois. Devenir propriétaire d’un appartement à Orléans coûte désormais 2 243 € du m². Quels sont les quartiers les plus prisés ? Et les moins cotés ?

À Orléans, les prix immobiliers remontent doucement : + 0,7 % sur 1 an

Immobilièrement parlant, celle que l’on surnomme parfois la cité johannique affiche une tendance haussière. Sur les douze derniers mois, les prix des appartements anciens à Orléans progressent ainsi de 0,7 % et la hausse qui touche la ville de Jeanne d’Arc est encore plus marquée sur le trimestre (+ 2,4 %). L’attrait qu’exerce la capitale de l’Orléanais n’est d’ailleurs probablement pas étranger à la hausse des prix immobiliers lesquels, toute en restant abordables (2 243 € du m²), pourraient bien prendre davantage d’altitude…

  • Qu’est-ce qui motive les acheteurs ?

Des taux d’intérêt bancaires qui (est-il encore besoin de le rappeler ?) font du rase-mottes, une proximité avec Paris la capitale est à moins d’une heure de train), un patrimoine historique (la maison de Jeanne d’Arc, la fameuse place du Martroi, la Tour Blanche) d’une grande richesse, un indéniable dynamisme économique (c’est à Orléans et dans sa région que sont fabriqués pas moins de 70 % des médicaments produits en France) et de grands projets immobiliers (situé entre Orléans et Fleury-les-Aubrais, le quartier Interives accueillera logements, bureaux et commerces sur 110 hectares) constituent indubitablement des atouts de poids dans le jeu d’Orléans.

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Taxe d’habitation : qui paye quoi en 2018, 2019 et 2020 ? @SeLoger

Se loger neuf

Source : Seloger.neuf

Vous êtes un peu, beaucoup, perdu dans la mise en place d’un abattement dégressif de la taxe d’habitation ? Pas de panique, SeLoger fait le point !

L’exonération de la taxe d’habitation sera totale en 2020

  • En 2018, le dégrèvement est de 30 %.
  • 65 % de dégrèvement en 2019.
  • 100 % d’exonération pour la taxe d’habitation de 2020.

Qui peut bénéficier de l’exonération ?

Le dégrèvement de la taxe d’habitation est conditionné au montant du revenu fiscal de référence (RFR) du foyer fiscal à ne pas dépasser en fonction du nombre de parts. Par exemple, un couple marié avec deux enfants, soit un quotient familial de 3 parts, peut bénéficier du dégrèvement de 30 % si leur revenu fiscal de référence de 2017 n’excède pas 57 000 €.   Consulter tout l’article

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Le revenu fiscal de référence pour bénéficier de l’exonération de la taxe d’habitation

Nombre de parts Revenu Fiscal de Référence (RFR)
1 27 000 €
1.5 36 500 €
2 45 000 €
2.5 51 000 €
3 57 000 €
3.5 63 000 €
4 69 000 €
4.5 70 000 €
5 81 000 €

MNT : Laurent Adouard devient DG de @mutuelleMNT

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Source : MNT

Laurent Adouard devient directeur général de la Mutuelle Nationale Territoriale (MNT), à compter du 1er avril 2018, après en avoir été le directeur général délégué pendant quatre ans. Il succède ainsi à Jérôme Saddier, à la tête de la mutuelle depuis janvier 2014, qui rejoindra le Crédit Coopératif début avril pour en devenir le vice-président délégué.

Arrivé à la MNT en 2007, Laurent Adouard a été directeur du réseau et du développement commercial, puis directeur général adjoint en charge du développement, de la communication et du marketing. Il est devenu directeur général délégué en 2014, et a notamment piloté la transformation de la mutuelle.

La décision du Conseil d’administration de la MNT de nommer Laurent Adouard, comme dirigeant effectif et opérationnel de la mutuelle, a été agréée le 13 mars 2018 par le conseil d’administration du Groupe VYV. Il avait été désigné à l’unanimité par le conseil d’administration de la MNT, le 21 février 2018, sur proposition du président général, Alain Gianazza.

Lire le communiqué MNT

Résultats financiers 2017 en forte hausse pour @Groupama

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Source : Groupama

  • Un chiffre d’affaires de 13,8 milliards d’euros, en croissance de +2,9%

– Progression tant en assurance de biens et responsabilités qu’en assurance de la personne

– Poursuite du développement en France (+2,6%) et retour à une forte croissance organique à l’international (+4,1%)

  • Un résultat opérationnel économique de 349 millions d’euros, en hausse de +156 millions d’euros 

– Amélioration du ratio combiné en assurance non-vie à 98,9%, malgré une sinistralité climatique élevée

– Transformation active du portefeuille vie avec une part des encours UC en épargne individuelle portée à 25,8%

– Progression du résultat opérationnel économique en France et à l’international

  • Un résultat net de 292 millions d’euros

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