Archives du 29 février 2020

Le béton bas carbone en test sur les chantiers de Bouygues Bâtiment @Bouygues_BatIDF

Source : Bouygues Bâtiment Île-de-France

Afin d’atteindre l’objectif de réduction de 50% d’émission de CO2 d’ici 2030, les équipes de Bouygues Bâtiment Ile-de-France – Habitat Résidentiel, spécialiste du logement résidentiel, expérimentent le béton bas carbone.

Cet été, sur le chantier « Rue des Bons Raisins » réalisé pour le compte d’Emerige à Rueil Malmaison, les équipes d’Habitat Résidentiel ont coulé du béton à base de ciment CEM III en superstructure. Dans un béton classique on considère que 98% de son impact carbone est lié au ciment qui le compose. Le CEM III,  constitué d’un mélange de clinker et de laitier de haut fourneau, permet, suivant les proportions du mélange, de réduire l’impact carbone du béton entre 30 et 70%.

Habitat Résidentiel réalise des essais programmés depuis 2017 sur ce béton bas carbone. Le logement nécessite un mode de construction rapide et l’expérimentation de ce béton ne s’opère pas sans difficulté. En effet, la prise de béton à base de CEM III met plus de temps à monter en résistance, il faut donc attendre un peu plus longtemps avant de pouvoir le décoffrer. C’est d’ailleurs pour cette raison que les coulages ont lieu le vendredi car il y a 2 jours de prise supplémentaires par rapport à un jour de semaine. ..

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L’éco-pâturage en ville : une pratique qui séduit les collectivités et les bailleurs sociaux @Bouygues_C

Source :  Bouygues Construction

Finis les pesticides dans jardins publics. Depuis le 1er janvier 2017, en application de la loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte, les collectivités territoriales ne peuvent plus utiliser de produits phytosanitaires pour l’entretien des espaces verts, de la voirie ou des forêts.

Cette règle du « zéro phyto » oblige les collectivités à repenser leurs modes de gestion des espaces publics. Si certaines collectivités optent pour l’utilisation de produits de substitution (produits autorisés en agriculture biologique, biostimulants, etc.), d’autres expérimentent une pratique d’un autre genre : l’éco-pâturage.

Consistant à faire paître des animaux pour entretenir les espaces naturels, cette pratique ancestrale est dotée de nombreuses vertus. Quoi de plus agréable pour des urbains en quête de nature que de croiser béliers, brebis et chèvres au détour d’une promenade ? Plusieurs villes l’ont bien compris et imaginent des actions pédagogiques et de médiation sociale autour de cette présence animale : promotion du vivre ensemble, création d’emplois en insertion pour s’occuper des animaux, connaissance de la nature et des animaux, etc…

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