Archives Mensuelles: mars 2017

radio-immo.fr: MIPIM 2017 – Bruno CORINTI, NEXITY @Nexity

https://radio.immo/broadcast/61485-Bruno-CORINTI-NEXITY

Les certifications : préoccupation essentielle du secteur tertiaire  @com_korus

LES CERTIFICATIONS IMMOBILIÈRES : préoccupation essentielle du secteur tertiaire

Source : KORUS 


La génération Y réclame plus d’éthique et d’innovation aux entreprises. Étude des labels et certi cations dans l’immobilier…
Tout d’abord, quelle différence entre label et certi cation ? Les deux apportent une garantie supplémentaire de qualité.
Le label garantit un niveau de qualité supérieure selon un cahier des charges donné. Celui-ci peut provenir d’un organisme public ou privé. En France, le label le plus reconnu est le label environnemental BBC, Bâtiment Basse Consommation. Il est issu de la Réglementation Thermique 2012 relative aux constructions neuves. Il permet d’identi er les bâtiments dont la
consommation énergétique nécessaire au chauffage, à l’éclairage et à la ventilation n’excède pas 80 % de la consommation réglementaire. Il s’inscrit dans les dispositifs du Grenelle de l’environnement dont l’objectif est de diminuer la consommation énergétique du parc immobilier français.
La certi cation, quant à elle, est une démarche précise, encadrée par la loi, qui vise des produits, des services ou des entreprises. Elle est en conformité avec certaines normes et délivrée par un organisme certi cateur agréé et indépendant.
Les certi cations ont permis de profondes transformations dans la manière de concevoir et de construire des bâtiments,
par des mécanismes de valorisation des performances énergétiques dépassant les réglementations en vigueur.

Le marché de l’immobilier tertiaire français compte 3 certifications environnementales de référence :

  •  – La certification NF HQE, 
  • – La certification BREEAM, 
  • – La certification LEED. 

France CBG et Green Soluce publient régulièrement une étude comparative sur ces certi cations. Nous vous proposons de vous faire partager quelques-uns de leurs résultats… en savoir plus

« SHAKE » : futur écosystème tertiaire dévoilé #MIPIM2017 @Nacarat_immo

Source : nacarat.com

Logo_NACARAT

« SHAKE » est le projet lauréat de la consultation du lot 10.6 à Euralille, c’est un ensemble immobilier de partage à dimension tertiaire. Cet immeuble d’envergure de plus de 30 000 m² accueillera notamment le futur siège régional de la Caisse d’Epargne en région Hauts-de-France, qui est partie prenante du projet depuis son origine.

Sa conception répond à une réflexion poussée sur les mutations contemporaines en matière d’espaces de travail à travers un lieu où se combinent Ville et Nature, Economie et Vie Sociale, Travail et Détente.

ShAKe POUR SHARE + WORK

Développé par Nacarat et conçu avec l’agence de création architecturale et urbaine PCA-STREAM fondée par Philippe Chiambaretta, ShAKe est un ensemble mixte qui propose une nouvelle manière de penser les espaces de travail, axée sur la qualité d’usage et le bien-être de ses occupants. Pour mener cette réflexion, Nacarat s’est entouré, dès les premières étapes du projet, d’une équipe pluridisciplinaire complétée par les futurs utilisateurs. Principal occupant, la Caisse d’Epargne Nord France Europe, également investisseur, a été séduite par le projet.

« Avec ShAKe, nous affirmons dans la durée notre identité de banque régionale, coopérative, fidèle à ses racines sociales et actrice de l’économie de demain », déclare Alain Denizot, Président du directoire de la Caisse d’Epargne Nord France Europe.

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Cession du foncier public : 2 500 logements à Lille Saint-Sauveur @SNCFImmobilier @MEL_Lille

Source : ministère du logement 


Cession du foncier public : 2 500 logements seront créés sur l’ancien site de la gare de Lille Saint-Sauveur

Emmanuelle Cosse, ministre du Logement et de l’Habitat durable, a signé aujourd’hui l’acte de cession du site de l’ancienne gare de fret de Lille Saint-Sauveur. Cette opération de cession, la plus importante depuis la loi sur la mobilisation du foncier public, permettra de créer 2 500 logements dont un tiers de logements sociaux dans le centre-ville.

La cession de ce terrain appartenant à la SNCF et inutilisé depuis 2003 changera un quartier entier dans un esprit de mixité sociale et fonctionnelle. 

Le projet permettra de transformer une friche de 23 hectares en un quartier habité, singulier et offrant toutes les qualités urbaines et environnementales d’un aménagement contemporain. 

L’opération de requalification aboutira à la création en plein cœur de ville d’un espace à la fois résidentiel, commercial et culturel en développant des activités créatives en lien avec les établissements scientifiques, universitaires et culturels.

Mobiliser le foncier public pour créer du logement abordable
L’accès à un foncier constructible à prix abordable est un axe majeur de la relance de la construction portée par le gouvernement et la mobilisation du foncier public, un levier essentiel de la politique menée au service du logement abordable.
En 2016, 105 accords de cession ont été enregistrés pour un potentiel de 12 000 logements situés essentiellement en zones tendues. L’objectif fixé par le président de la République en avril dernier a donc été tenu : la mise à disposition des terrains de l’État pour construire des logements s’est accélérée en faveur de la mixité sociale.

Le nord illustre ce bilan positif avec 5 sites ayant fait l’objet d’un accord de cession en 2016. Cela représente 403 logements qui seront livrés en 2018 dont 272 logements sociaux.

En savoir plus 

G. Babinet : Le numérique va changer notre économie urbaine @babgi @3F_Officiel

Gilles Babinet: Le numérique va changer la façon dont fonctionne notre économie urbaine


Source : 3F EcoResponsables

Le XXIe siècle accueille le numérique, comme le siècle dernier intégrait la mécanisation à nos modes de vie. Prouesse technique du siècle naissant, ces évolutions ont en commun de faciliter nos activités mais aussi, comme toute nouvelle inconnue, de faire peur. Que ce soit dans les entreprises, dans les villes ou dans nos intérieurs, le numérique s’invite partout. Aujourd’hui pourtant, comme pour toutes les révolutions antérieures, il reste des sceptiques.

Depuis le 25 juin 2012, Gilles Babinet est le digital champion de la France auprès de la Commission européenne. Fervent défenseur des bienfaits du numérique dans nos sociétés, il a également été nommé premier président du Conseil national du numérique en 2011. Sa mission ? Décrypter les possibilités du numérique auprès des politiques et du grand public. Il s’agit alors de faire comprendre à tous que le numérique est une réelle chance. Pour qu’il le devienne, il est important de prendre les devants pour optimiser son potentiel et anticiper les dérives qui préoccupent les sceptiques. Voilà le rôle du digital champion !

 Il est donc aujourd’hui le mieux placé pour appréhender le rôle et l’impact du développement numérique dans notre quotidien à l’échelle de la France, comme à celle de l’Europe.


  • En ce qui concerne les problématiques liées à l’urbain, comment le numérique peut combler nos lacunes et résoudre des problèmes tels que le manque de logements ou encore l’inefficacité des transports ? Comment le numérique pourrait changer notre manière d’habiter ? 


L’exemple de Airbnb est très parlant. En optimisant les infrastructures d’habitation, cette plateforme (et ses équivalents) permet d’accroître sensiblement l’efficacité des capitaux liés à l’immobilier. A l’échelle d’un continent, c’est très significatif. Blablacar fait autant qu’une ligne (dense) de TGV. Tout cela est encore assez anecdotique mais va changer la façon dont fonctionne notre économie. L’enjeu est d’amplifier cela par une régulation adaptée, tout en évitant les écueils, comme l’évasion fiscale, le non respect des normes de sécurité, etc.


  • Comment imaginez-vous que le numérique puisse répondre aux enjeux des tels que le besoin de cohésion et de mixité sociale ?

Il y a beaucoup d’histoires assez exemplaires de jeunes issus de milieu défavorisés qui ont connu une ascension sociale très forte grâce au numérique. Dans la mesure où il est désormais possible de distribuer des connaissances et des techniques à coût marginal, il faut à présent réfléchir à quelque chose qui soit plus systémique et plus accessible encore. C’est d’ailleurs l’objet du programme Digital skills and job coalition.
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