Archives du 20 octobre 2014
Les marchés publics vous angoissent?
Les marchés publics vous angoissent? Téléchargez le guide » kit de survie MAPA » proposé par Etd
Conduite de projet-Ingénierie
Retour Marché public | 16-10-2014
Les marchés publics vous angoissent? Téléchargez le guide » kit de survie MAPA » proposé par Etd
Les collectivités locales sont de plus en plus amenées à lancer des « petits » marchés, alias les fameux marchés à procédure adaptée (MAPA). Sauf que cette procédure se résume en tout et pour tout à un seul article du Code des marchés publics, à savoir l’article 28 qui se révèle relativement succinct.
Commencent alors les angoisses des agents qui sont chargés d’une telle procédure mais qui, dans le même temps, n’ont pas reçu de formation juridique. Le premier conseil que nous pouvons donner à ces agents est de dédramatiser la mise en œuvre de cette procédure. Contrairement aux a priori, le MAPA est plus une question de bon sens qu’une question juridique !
Le second conseil est de lire le tout nouveau guide d’Etd intitulé Kit de survie pour élaborer un marché d’études ou de conseils. Il a pour objectif d’expliquer, de façon claire et précise, les différentes étapes d’un MAPA.
Troisième et dernier conseil : si après lecture du guide, quelques questions vous taraudent encore, n’hésitez pas à contacter le service de questions réponses d’Etd Allo Territoires Services au 01 45 75 15 15 (le premier appel est offert pour les non-adhérents).
Stéphanie Le Bihan
EN SAVOIR +
Téléchargez le guide
————–
Adhérents d’Etd : vous avez accès à des documents pouvant servir de modèle dans le cadre de l’élaboration d’une consultation : règlement de consultation, cahier des clauses administratives particulières, convention de groupement de commandes…
————–
Inscrivez-vous à la journée Territoires d’Etd le 2 décembre 2014
Autonomie : les Français plébiscitent les technologies connectées
La France compte aujourd’hui environ 900 000 personnes atteintes de maladies neurodégénératives. En 2020, ces pathologies pourraient concerner 1.3 million de personnes (source : Inserm). Leur prise en charge est un défi pour les familles, les aidants et le système de soins ainsi qu’un sujet d’inquiétude pour l’ensemble des Français.
Les technologies connectées représentent une solution pour aider les patients à préserver leur autonomie. Afin de dresser un état des lieux de cette problématique de santé publique, la Fondation de La Mutuelle Générale* a réalisé une grande enquête d’opinion avec TNS Sofres sur le thème « Les Français et les technologies au service de l’autonomie des personnes atteintes de maladies neurodégénératives ».
Cette enquête a été réalisée du 22 au 27 août 2014 auprès d’un échantillon de plus de 1 500 personnes représentatif de la population française, dont des aidants de personnes atteintes de maladies neurodégénératives.
Les Français se sentent très concernés par les maladies neurodégénératives
Une très grande majorité des Français connaît ces maladies
La quasi-totalité des personnes interrogées (87%) a déjà entendu parler des maladies neurodégénératives et dispose d’une bonne connaissance de ces maladies. Les maladies d’Alzheimer et de Parkinson sont les plus identifiées comme des maladies neurodégénératives (par 89% et 86% des Français) devant la sclérose en plaques (73%).
Ils les craignent pour eux-mêmes et encore plus pour leurs proches
28% des Français déclarent qu’un ou plusieurs de leurs proches sont atteints d’une maladie neurodégénérative, mais il n’est pas nécessaire d’être confronté personnellement à ces maladies pour s’en inquiéter : ainsi 57% des personnes interrogées se disent préoccupés par la perte d’autonomie liée à ces maladies pour eux-mêmes et 68% pour leurs proches.
En cas de maladie neurodégénérative, 19% des personnes interrogées considèrent que le maintien à domicile des patients doit être une priorité absolue. Ce chiffre atteint 35% chez les aidants qui savent que rester à domicile peut être bénéfique pour les patients.
Les Français perçoivent les technologies connectées comme une solution efficace pour les patients atteints de maladies neurodégénératives et leurs aidants
Des technologies qui suscitent de l’intérêt et de l’espoir dès maintenant
93% des Français estiment que les technologies connectées peuvent ou pourraient permettre de mieux prendre en charge et de faciliter le quotidien des personnes atteintes de maladies neurodégénératives. Près de 30% déclarent d’ailleurs que c’est déjà le cas, un chiffre qui atteint 40% chez les aidants.
Surtout, 92% des Français estiment que ces technologies peuvent favoriser le maintien à domicile.
Les solutions technologiques de surveillance à distance sont celles qui suscitent le plus fort intérêt auprès des Français
Près de 90% d’entre eux jugent intéressantes les possibilités offertes par des objets connectés : détecteurs de mouvements ou de fumée permettant d’alerter automatiquement les secours ou les proches, outils de géolocalisation pour les malades d’Alzheimer, etc. Les technologies d’aide à la mobilité sont également plébiscitées par 80% d’entre eux : canne intelligente équipée d’un GPS, casque interprétant les signaux du cerveau pour les transformer en gestes par exemple.
Des technologies dont les avantages l’emportent de beaucoup sur les inconvénients
Pour 92% des Français ces technologies permettent de rassurer et soulager proches et aidants mais aussi d’améliorer la vie quotidienne des patients tout en permettant de suivre à tout moment la santé des malades. Seul un tiers d’entre eux estime qu’elles peuvent constituer une menace pour l’intimité ou la dignité des malades.
La question du financement et de l’accessibilité de ces technologies est posée
Aux yeux des Français, c’est le coût de ces innovations qui constituerait le principal frein à leur usage. 85% d’entre eux craignent l’impact financier sur les malades et les familles, 41% les coûts financiers pour la société. D’ailleurs seuls 7% seraient prêts à financer eux-mêmes ces équipements quand 39% attendent une prise en charge par les pouvoirs publics, 36% par la Sécurité sociale et 18% par les mutuelles.
Pour s’informer sur ces technologies, les Français se tourneraient naturellement vers les professionnels de santé mais ne négligent pas le rôle des mutuelles
Près de 60% des Français s’adresseraient à leur médecin pour s’informer sur ces technologies. 17% se tourneraient vers les mutuelles pour obtenir des informations sur ces technologies, devant les services sociaux (13%), les pharmacies (11%) et les assureurs (8%). Lire la suite
L’AFTRP designée aménageur de la ZAC Maison Blanche à Neuilly-sur-Marne
La ville de Neuilly-sur-Marne a désigné l’AFTRP comme aménageur du futur quartier de ville qui verra le jour sur l’ancien site de l’hôpital de Maison Blanche.
Le conseil municipal de Neuilly-sur-Marne, réuni jeudi 16 octobre, a approuvé cette désignation à l’unanimité, à l’issue d’une procédure de mise en concurrence.
« Je remercie Jacques MAHEAS, maire de Neuilly-sur-Marne, de la confiance accordée à l’AFTRP pour conduire, aux côtés de la ville, ce projet majeur en Ile-de-France. Il est la concrétisation d’un volontarisme fort de la ville d’aménager un quartier exemplaire en matière de développement durable et de construire les logements dont les nocéens et les franciliens ont besoin. Le gain par l’AFTRP d’un nouvel appel d’offres concurrentiel témoigne de la vitalité de l’établissement public dans le secteur économique de l’aménagement et du logement », déclare Thierry LAJOIE, Président-directeur général de l’AFTRP.
La Zone d’Aménagement Concerté de Maison Blanche (58,6 ha) est la plus importante concession d’aménagement attribuée en Ile-de-France en 2014.
Ce futur quartier accueillera à terme 4 000 à 4 200 logements, une zone d’activités, des commerces, des équipements et des espaces de qualité publics et privés. Ambitieux et exemplaire, il s’inscrit dans le cadre d’une réflexion d’ensemble sur l’Est francilien et la dynamique impulsée par l’arrivée du réseau de transports Grand Paris Express.
Contact Presse :
AFTRP : Françoise DUROS
f.duros@aftrp.com
Jean-François Danon nouveau DG Paris Batignolles Aménagement
Jean-François Danon, nommé directeur général de Paris Batignolles Aménagement
Le conseil d’administration de Paris Batignolles Aménagement du 2 octobre 2014 a nommé Jean-François Danon directeur général de la SPLA.
Administrateur de la ville de Paris (ENA 1982), Jean-François Danon a occupé différentes fonctions au sein de la direction des finances de la ville de Paris avant de rejoindre Paris Habitat en qualité de directeur général adjoint, puis l’AFPA comme directeur financier et du système d’information. Directeur du patrimoine et de l’architecture de la ville de Paris de 2001 à 2008, il occupait les fonctions de Secrétaire général adjoint de la ville de Paris depuis juin 2008.
Jean-François Danon succède à Didier Bailly, directeur général de Paris Batignolles Aménagement depuis sa création en avril 2010, qui a pris ses fonctions de directeur de la voirie et des déplacements de la ville de Paris le 1er août 2014.
Didier Bellier-Ganière nouveau Directeur Général de l’EPAMSA
Didier Bellier-Ganière a été nommé Directeur Général de l’EPAMSA à compter du 13 octobre 2014.
Didier Bellier-Ganière, 48 ans, administrateur civil, hors classe, était jusqu’alors directeur général adjoint de l’Agence Foncière et Technique de la Région Parisienne (AFTRP).
Diplômé de l’École nationale des travaux publics de l’État, ingénieur des travaux publics et titulaire du certificat d’aptitude à l’administration des entreprises de l’IAE de Paris, Didier Bellier-Ganière a débuté sa carrière à la Direction Régionale de l’Industrie, de la Recherche et de l’Environnement (DRIRE) l’Équipement (DRE) d’Île-de-France de 1992 à 1995 en tant que chargé d’études développement industriel, puis chargé d’études à la direction des routes au ministère de l’Équipement (1995-1998).
Chef du groupe opérationnel du logement de la DRE d’Île-de-France en 2002, à sa sortie de l’ENA (promotion Copernic), puis chef du bureau des études financières à la sous-direction du financement et du budget de la direction générale de l’urbanisme, de l’habitat et de la construction au ministère de l’Équipement en 2005-2006, il deviendra directeur de l’habitat au conseil général des Hauts-de-Seine durant deux années.
A partir de mars 2008, Didier Bellier-Ganière exerce en cabinet ministériel. Successivement conseiller technique au cabinet de Christine Boutin au ministère du Logement et de la Ville jusqu’en juin 2009 puis conseiller technique « logement » de Benoist Apparu, secrétaire d’État chargé du Logement et de l’Urbanisme, et en même temps conseiller technique en charge du logement et de l’urbanisme de Jean-Louis Borloo au ministère de l’Écologie, de l’Énergie, du Développement durable et de la Mer, il occupera à partir de juin 2010 la fonction de directeur général adjoint à l’AFTRP.