Archives du blog
Très Haut Débit en Auvergne : le Crédit Mutuel Massif Central au côté de la Région
Le Crédit Mutuel Massif Central participe à hauteur de 10 M€ au déploiement du Très Haut Débit entrepris par la Région Auvergne et les 4 Départements.
Le Crédit Mutuel Massif Central et le Conseil Régional d’Auvergne viennent de conclure un contrat de financement à hauteur de 10 millions d’euros.
Ce prêt permettra à la banque régionale de participer au financement du Très Haut Débit (THD) en région Auvergne. L’accord a été officialisé le 22 décembre entre Jean-François Devaux, président ; Didier Ardouin, directeur général pour le Crédit Mutuel Massif Central et René Souchon, président de la Région Auvergne.
En juin 2011, la Région Auvergne, les quatre départements auvergnats et les six Communautés d’Agglomérations auvergnates ont approuvé leur Schéma Directeur Territorial régional d’Aménagement Numérique (SDTAN) porté par la région. Ce schéma directeur a défini comme objectif de fournir un accès « triple-play multipostes » (d’un débit minimum de 8 Mbit/s) sur l’intégralité de l’Auvergne d’ici 2017 en privilégiant la technologie Fibre au domicile ou Fiber to the Home (FttH) pour au moins 70 % de la population d’ici 2025. Ce schéma directeur veille aussi à l’accès au très haut débit pour les entreprises, notamment pour les zones d’activités économiques, ainsi que les secteurs prioritaires de l’enseignement / formation, de la santé et plus largement des sites publics du territoire régional.
« En tant que banque régionale, notre vocation est de prendre part de manière concrète, par le financement notamment, à des projets d’infrastructures régionales. Le financement du Très Haut Débit auquel nous participons aujourd’hui constitue un axe de développement particulièrement structurant pour l’avenir de nos territoires, pour les habitants et des entreprises qui y sont implantés. Et nous y prenons part naturellement » explique Didier Ardouin, Directeur Général du Crédit Mutuel Massif Central.
Par ce nouvel accord, le Crédit Mutuel Massif Central conforte sa position de banque régionale partenaire du développement des territoires.
À propos de la Région Auvergne
Pour rappel, l’Auvergne fait figure de proue en termes de développement du THD et mène de nombreuses actions en faveur de l’essor de l’économie numérique territoriale. Choisie par le gouvernement, en 2011, pour devenir le laboratoire d’expérimentation du très haut débit, elle est la première région française à s’atteler au déploiement du Très Haut débit sur l’ensemble de son territoire. D’ici 2017, 100% des foyers auvergnats auront une connexion Internet d’une rapidité supérieure à 8Mb/s. Déjà, 42% d’entre eux bénéficieront de débits à plus de 100 Mb/s et les débits progresseront jusqu’en 2025.
À propos du Crédit Mutuel Massif Central
Le Crédit Mutuel Massif Central, banque régionale mutualiste, regroupe aujourd’hui 34 agences sur 4 départements. Il constitue, aux côtés des fédérations de Crédit Mutuel de Bretagne et du Sud-Ouest, le Crédit Mutuel Arkéa, groupe également composé d’une vingtaine de filiales spécialisées. Avec près de 9 000 salariés, 4 000 administrateurs, 3,2 millions de sociétaires et clients dans la bancassurance et 84 milliards d’euros de total de bilan, le Crédit Mutuel Arkéa se classe parmi les tout premiers établissements bancaires ayant leur siège en région. Plus d’informations sur www.arkea.com.
Contacts presse :
Crédit Mutuel Massif Central
David REISCH, Service communication – Mail : david.reisch@cmmc.fr – Tél. 04 73 43 77 61
Région Auvergne
Zakia Douakha : z.douakha@cr-auvergne.fr ; Tél. 04 73 31 93 58/Port. 06 37 66 79 26
Cécile Joachin-Pomerol : c.joachin@cr-auvergne.fr ; Tél. 04 73 31 85 58/Port. 06 74 67 96 19
LA FRENCH TECH EN FORCE AU CES 2015
Avec 120 entreprises, la France est le premier pays représenté en Europe !
Le Consumer Electronics Show de Las Vegas est un rendez-vous incontournable pour tous les acteurs de l’électronique grand public. La French Tech se devait d’affirmer sa présence sur le salon qui a vu émerger toutes les innovations de rupture du secteur depuis près de 50 ans et fixe chaque année les tendances technologiques à venir.
La French Tech se démarque par la diversité de ses entreprises.
- De grands groupes tournés vers leur transformation digitale, dont certains exposent pour la première fois : La Poste, L’Oréal, Pernod Ricard, Valéo, etc.
- De grosses start-up déjà renommées sur le CES : Withings, Netatmo, Sen.se, Parrot…
- 66 start-up émergentes sur l’Eureka Park, l’espace qui leur est dédié au CES : la French Tech y représente donc près d’une start-up sur 4 !
Les pouvoirs publics et les institutionnels mobilisés pour encourager et soutenir la forte présence française.
Ainsi, Emmanuel Macron, le ministre de l’Economie, de l’Industrie et du Numérique, Axelle Lemaire, la Secrétaire d’Etat au Numérique et Pierre Gattaz, le Président du MEDEF font le déplacement au CES pour faire mieux connaitre la dynamique entrepreneuriale française et soutenir la French Tech.
Un dispositif global pour coordonner et amplifier la visibilité internationale des start-up de la French Tech
Plusieurs délégations fédérées sous la bannière French Tech :
- Pour la deuxième année consécutive, UBIFRANCE organise le « French Tech Pavilion », le pavillon national officiel de la French Tech sur le CES.
- Mon Territoire Numérique, en partenariat avec les Régions Basse-Normandie, Auvergne et Languedoc-Roussillon, ainsi que Minalogic, accompagnent également des start-up de la French Tech exposante au CES.
5 startups distinguées au CES innovation Awards
Il y a quelques semaines avaient lieu les CES Innovation Awards, une compétition organisée par le CES, qui récompense les produits les plus innovants parmi ceux qui seront exposés lors de la conférence de janvier. Les vainqueurs auront l’occasion d’être mis en avant sur l’Innovation Awards Showcase lors de l’événement. A cette occasion, 5 entreprises de la French Tech ont vu leurs produits primés !
Montpellier : De l’habitat participatif pour un écoquartier
Vingt-trois ménages ont mis en commun leurs ressources et leurs idées, à travers une association, pour concevoir, réaliser et financer leur logement dans l’écoquartier montpelliérain des Grisettes. La première pierre a été posée le 19 novembre, participant à la diversité et à la mixité de cette Zac aménagée par la Serm depuis 2008. Coût de l’opération : 4,2 M € HT.
Engagée dans une procédure de labellisation « EcoQuartier », les Grisettes a l’ambition de devenir l’un des quartiers de référence de la capitale du Languedoc-Roussillon. Construit dans une dynamique de dialogue avec ses habitants comme le souhaitaient la Ville et l’Agglomération, la Zac a tout naturellement intégré une touche d’habitat participatif dans son développement, avec le soutien de la Serm, aménageur du quartier pour le compte de l’Agglomération. Une première pour Montpellier, avec un projet baptisé « Mas Cobado » aux ambitions avant-gardistes : on y trouvera une mixité sociale, jusqu’à présent timide dans ce type de projet, en cohérence avec le reste du quartier, grâce à un partenariat avec un bailleur social.
Pour aider l’opération à aboutir dans les meilleures conditions, la Serm a apporté tout son savoir d’aménageur aux acteurs du projet, participant à sa mise en place et à la mise au point du programme, au montage économique et juridique et à la vérification de sa faisabilité économique. « Des propositions ont été élaborées par des groupes d’autopromotion, représentés par Toits de Choix, un assistant à maîtrise d’ouvrage montpelliérain, spécialisé dans l’accompagnement de projets d’habitat participatif et d’habitat groupé en autopromotion, explique Christophe Pérez, directeur général de la Serm. Toits de Choix a été notre interlocuteur privilégié, ainsi que celui des futurs habitants ».
Grâce à la SAT : Un chef étoilé pour Nîmes
En facilitant l’installation du chef Jérôme Nutile, la SAT apporte sur un plateau à la capitale gardoise son futur restaurant étoilé. Et dote la zone d’activités Georges Besse II, dont elle assure l’aménagement, d’un nouvel établissement prestigieux, le Mas de Boudan, où se détendre et se restaurer.
La Zac Georges Besse avec ses activités tertiaires et de hautes technologies, ses centres de recherche et formation et …. son restaurant gastronomique. C’est une belle touche culinaire que laSAT (Société d’Aménagement des Territoires) vient d’offrir à cette partie de Nîmes, et à l’ensemble de la ville qui ne disposait plus d’établissement étoilé depuis deux ans. Après un an de travaux, le chef Jérôme Nutile est venu s’installer au cœur de la Zac, dans un mas du XVIIIe siècle à l’abandon, auquel la SAT a redonné toute sa splendeur. Situé chemin bas du Mas de Boudan, en référence à ses origines, cet oasis de verdure, de tradition et de bonne cuisine a d’abord ouvert en décembre sa brasserie, le Bistr’au, destinée aux 830 personnes travaillant dans la Zac et autres amateurs de bons plats à prix raisonnés*. Avec sa terrasse ombragée, il peut recevoir jusqu’à 180 personnes.
Un restaurant gastronomique « Jérôme Nutile » sera ensuite inauguré en avril, avec en ligne de mire une à deux étoiles d’ici à 2016. Ses trois salles voûtées disposeront chacune de quatre à cinq tables. Elles seront largement ouvertes sur un grand parc dessiné et valorisé par Frédéric Favre, Meilleur ouvrier de France. Le chef vise cette fois une clientèle haut de gamme de la région, mais aussi de l’ensemble la France, voire de l’étranger. Il bénéficie pour cela d’une solide réputation acquise à l’Hostellerie Le Castellas, à Collias (Gard), où il a obtenu deux étoiles. Il a aussi été élu Meilleur ouvrier de France, dans la catégorie cuisine-gastronomie, en 2011. Des tours opérateurs ont déjà indiqué qu’ils souhaitaient inclure le futur restaurant comme étape gastronomique dans leurs circuits.
Ecoquartiers : Une deuxième vague de labels pour les Epl
Sylvia Pinel, ministre du Logement, de l’Egalité des territoires et de la Ruralité, a remis le 18 décembre le label EcoQuartier à 19 opérations, dont 8 menées par des Epl. 53 projets ont également reçu le diplôme « Engagés dans la labellisation », avec comme objectif une labellisation dans les années qui viennent.
C’est une nouvelle reconnaissance pour 19 écoquartiers, officiellement labélisés le 18 décembre par la ministre du logement, Sylvia Pinel. Mais également pour les Entreprises publiques locales, aménageurs de près de près de la moitié d’entre eux. Au total, 7 Epl se sont distinguées à travers 8 projets, dont la Semha, la Serm 68, la Sem 92, SemPariseine, la Serm 34, Oppidéa et la Sara. « La transition énergétique est une priorité. Il nous faut repenser notre façon de faire la ville. Il faut inventer de nouveaux modèles, trouver une méthode commune qui s’enrichit de chaque territoire, et les EcoQuartiers prouvent que c’est possible », a commenté la ministre en préambule de la remise des labels.
Fusion depuis 2011 des trois sociétés d’économie mixte Setomip (Toulouse), Constellation (Blagnac) et Sem de Colomiers, la Sem Oppidéa s’est particulièrement distinguée à travers deux opérations primés dans le Grand Toulouse : l’écoquartier Vidailhan de la Zac de Balma-Gramont et l’écoquartier Andromède.
La ministre a également cité, entre autres, l’opération conduite par la Sem 92 dans les Mureaux (Yvelines) avec « un grand projet de rénovation urbaine (PRU) » qui concerne sept quartiers de la ville ou encore la Semha avec Les Coccinelles (Sainte-Croix-aux-Mines), la Serm 68 avec l’écoquartier Lefebvre (Mulhouse), la SemPariseine avec l’opération Boucicaut, la Serm 34 avec ses projets Horizon/Viala Est (Prades-le-Lez) et la Sara avec la Zac Desjardins (Angers).



