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Les jeunes et le départ du foyer parental @foncia
Foncia présente le 1er cycle de la vie immobilière des Français : les jeunes et le départ du foyer parental
Source : FONCIA
LES JEUNES ET LE DEPART DU FOYER PARENTAL – Sondage réalisé par BVA
Si pour 57% des 18-34 ans l’autonomie est un idéal de vie, plus d’un tiers préfèrerait rester chez leurs parents
31% des 18-24 ans et 42% des 25-34 ans sont propriétaires ou copropriétaires de leur logement
Foncia accompagne les Français tout au long de leur parcours immobilier, du départ du foyer familial, en passant par l’arrivée du 1er enfant jusqu’au passage à la retraite. Le Groupe décrypte le rapport des Français au logement, leurs idéaux de vie immobilière, entre mobilité et désir d’investissement, au cours des trois grandes étapes de la vie. Le 1er sondage de cette « trilogie » sur « le cycle de vie immobilière des Français » concerne « Les jeunes et le départ du foyer parental ».
Les études, un facteur de mobilité de plus en plus important
Pour 57% des jeunes Français l’autonomie et la liberté est un idéal de vie en termes de logement. Cependant, 31% des 18-34 ans préfèreraient rester chez leurs parents pour le confort que cette situation apporte et 79% sont sédentaires et aspirent à s’installer dans un endroit définitivement.
La vie immobilière débute avec le départ du foyer parental, qui se fait en moyenne à 21 ans, un âge qui ne change pas avec au fil des années, quand les raisons, elles, évoluent. Car si dans l’ensemble et pour les anciennes générations, le fait de vivre avec son conjoint était la première motivation pour s’installer, pour les générations actuelles, le départ du foyer parental est plus lié desormais à la nécessité de se rapprocher de son lieu d’études….en savoir plus…
LES FRANÇAIS ET LA SOLIDARITÉ : NOUVEAUX OUTILS, NOUVEAUX COMPORTEMENTS
BVA et Babyloan dévoilent ensemble les résultats d’une étude inédite sur l’évolution des comportements des Français face à la solidarité. Un focus sur le financement participatif révèle un intérêt fort des Français pour ce nouvel outil de financement de la solidarité, qui semble promis à un bel avenir.
Les Français en demande de transparence et d’efficacité :
Si les Français reconnaissent que la crise économique et le chômage de masse ont engendré un certain repli sur soi et la réduction du budget alloué à la solidarité (pour 54% d’entre eux), il n’en reste pas moins vrai que 9 individus sur 10 affirment continuer à réaliser des actions de solidarité. Mais un changement de pratiques s’opère : ils veulent une solidarité transparente et à l’efficacité mesurée. Si le don d’objet reste la pratique la plus courante (97% des sondés) suivi du don d’argent, d’autres pratiques solidaires pourtant très récentes font leur apparition. ...en savoir plus…