Archives du 25 mars 2019
Lyon : avec le Groupe Serl, le parc dédié à la santé affirme sa vitalité @fedepl @groupeserl @villedeLyon
Avec le Groupe Serl, le parc dédié à la santé affirme sa vitalité

Au cœur du 8e arrondissement, Bioparc Lyon est un parc dédié aux entreprises innovantes dans le domaine des sciences de la vie. Et si sa propre croissance n’a pas été exempte de quelques maux, grâce aux efforts conjugués de la Métropole et de la Serl, le site respire désormais ce qui partout ici inspire : la santé !
Ce pourrait être une opération d’aménagement classique que sa faible surface de 3,4 hectares ne place même pas parmi les plus importantes. Et pourtant ! « Par son implantation en cœur de ville, son hyper-spécialisation dans les sciences de la vie et l’environnement de travail exceptionnel qu’il promet au sein d’une des plus importantes concentrations hospitalo-universitaires d’Europe, Bioparc Lyon représente vraiment un projet exceptionnel », soutient Vincent Malfere.
À la direction générale du Groupe Serl, l’homme rappelle d’ailleurs comment ce programme majeur aurait pu rimer avec gageure. Développé dès le début des années 2000, il aura en effet affronté de plein fouet la crise de 2007 puis encaissé, en 2015, l’abandon du centre national de traitement des cancers par hadronthérapie qui devait s’y installer. « Face à tous ces aléas, nous aurions pu délaisser l’ambition au profit de la commercialisation et ouvrir le parc au tout-venant. Mais nous avons poursuivi nos exigences afin de garantir aux entreprises un cadre propice aux convergences », insiste le responsable de la Sem.
La gestion des dépenses fiscales en faveur du logement @CourdesComptes
La gestion des dépenses fiscales en faveur du logement par la Cour des Comptes

Les 66 principales dépenses fiscales en faveur du logement (crédits et réductions d’impôts, exonérations et abattements, taux réduits…) représentaient 18 Md€ en 2018, soit près de 20 % de l’ensemble des dépenses fiscales. Le coût de cet abandon de recettes est sous-estimé dans les lois de finances. L’absence de pilotage de ces dépenses en cours d’exécution ne permet pas d’en modifier les modalités de mise en œuvre, ces mesures s’apparentant pour l’essentiel à des dépenses de guichet. La mesure de leurs effets économiques et sociaux est par ailleurs insuffisante, bien qu’essentielle, tout comme le contrôle de leurs contreparties sociales (loyer modéré…). Ces dépenses demeurent donc globalement encore trop peu maîtrisées pour être des instruments efficients de la politique du logement. En réponse à une demande d’enquête de la commission des finances, de l’économie générale et du plan de l’Assemblée nationale, la Cour recommande avec insistance, dans ce rapport, de limiter la durée d’existence de ces dispositifs et de ne conserver que les dépenses fiscales qui, après avoir été évaluées avec rigueur, ont fait la preuve de leur efficience.
Foncière INEA : Un patrimoine en hausse de 15%

Croissance de 15% du patrimoine (+100 M€)
Hausse de 6% de l’actif net réévalué droits compris (53,2€)
Dividende proposé de 2,20 €/action (+10%)
Foncière INEA (ISIN : FR0010341032), spécialiste des bureaux neufs en Régions, annonce ses résultats annuels consolidés au 31 décembre 2018[1] arrêtés par son Conseil d’administration réuni le 15 mars 2019.
Après un excellent exercice 2017, Foncière INEA consolide en 2018 sa performance en affichant un résultat net de plus de 27 M€.
Trois engagements majeurs de Foncière INEA transparaissent dans les résultats 2018 :
• la poursuite de la dynamique d’investissement créatrice de valeur,
• le recentrage du patrimoine sur la typologie des bureaux neufs,
• le financement du pipeline des opérations en cours de construction.
Un patrimoine en hausse de 15%
Au cours de l’année 2018, Foncière INEA a poursuivi ses investissements principalement sur des acquisitions en VEFA dont les livraisons s’étaleront entre 2019 et 2021, pour un volume d’engagement total de 118 M€.
En parallèle, 90% du portefeuille qui avait été constitué aux côtés de Foncière de Bagan depuis 2010 sur la typologie des bureaux à rénover en Régions a été cédé à fin 2018. Cette cession permet à la fois de concrétiser les plus-values constituées et de recentrer le profil de Foncière INEA sur la typologie des bureaux neufs en Régions.
Fin 2018, la valeur du patrimoine de Foncière INEA s’établit ainsi à 754 M€ (droits compris), en croissance de 15% sur 12 mois.
Ces actifs immobiliers sont composés d’immeubles neufs (80% ont moins de 10 ans), essentiellement à usage de bureaux, situés dans les principales métropoles régionales (83% du parc est situé dans les 8 premières villes régionales). D’une surface locative totale de plus de 340.000 m², ce patrimoine offre un rendement potentiel moyen de 7,2%.
Des agrégats opérationnels en forte croissance … en savoir plus…
Immobilier : le pouvoir d’achat s’est souvent amélioré en dix ans ! @PAP_fr

Si le mètre carré parisien à 10.000 € ou encore l’explosion des prix bordelais sont des sujets très médiatisés, ces chiffres record ne doivent pas masquer une autre réalité. Selon le dernier baromètre immobilier du courtier Meilleurtaux.com, les dix dernières années ont été très favorables aux emprunteurs avec non seulement une capacité d’emprunt en constante augmentation mais aussi un pouvoir d’achat immobilier en hausse. « En termes de pouvoir d’achat immobilier, la situation est plus favorable qu’il y a dix dans dans15 villes sur 20. Cessons de dire que les prix son décorrélés et trop élevés ! La réalité est que mis à part Bordeaux, Lyon, dans une moindre mesure Strasbourg, Rennes et Paris, la situation est bien meilleure aujourd’hui qu’il y a dix ans », explique Maël Bernier, directrice de la communication de Meillertaux.com. Le pouvoir d’achat en mètres carrés s’est amélioré dans 75 % des villes analysées par le courtier.
Un deux pièces en plus à Saint-Etienne ! Saint-Etienne, Le Mans et Le Havre sont les trois villes dans lesquelles, à mensualité équivalente, on achète beaucoup plus grand aujourd’hui qu’il y a dix ans. Ainsi, pour une mensualité de 990 € et un emprunt de 210.000 € à 1,40 % (contre 150.000 € à 5 % en 2009), l’acquéreur gagne l’équivalent d’un grand deux pièces (48 m2) à Saint-Etienne (de 109 à 157 m2) ainsi qu’au Mans (de 78 à 126 m2) et un grand studio de 31 m2 au Havre (de 76 à 107 m2) !
Paris ne perd que deux mètres carrés. Le pouvoir d’achat s’est érodé dans sept grandes villes. Si la surface habitable ne diminue que de 3 m2 à Nantes, elle monte à 12 m2 à Rennes, 16 m2 à Bordeaux et 17 m2 à Strasbourg. Paradoxalement, la perte de pouvoir d’achat à Paris ne se limite qu’à 2 m2. Mais pour 990 € par mois, on ne peut y acheter qu’un studio de 21 m2 alors qu’à Bordeaux et Lyon pour la même mensualité on peut s’offrir un deux pièces de 45 m2 environ.



