Archives du 8 septembre 2011
Le Conseil Général des Hauts-de-Seine continue le déploiement de sa flotte de véhicules électriques

32 véhicules électriques vont être intégrés à la flotte départementale au cours du dernier trimestre de cette année en remplacement de véhicules particuliers thermiques.
Le déploiement de la flotte électrique continue donc au rythme prévu initialement : 52 véhicules en 2011 pour répondre à un objectif de 350 véhicules en 2014, soit la moitié de la flotte totale.
Suite à la publication le 20 juin d’une étude d’analyse préliminaire de risque menée par l’Institut national de l’environnement industriel et des risques, commanditée par le ministère de l’Ecologie, du Développement durable, des Transports et du Logement, Patrick Devedjian, président du conseil général, a saisi l’État pour demander des précisions sur les questions de sécurité des véhicules électriques stationnés dans des parkings souterrains.
Le conseil général a proposé la mise en place de détecteurs de fluorure d’hydrogène et d’une signalétique renforcée pour l’intervention des services d’incendie et de secours, mesures confirmées depuis par le Préfet des Hauts-de-Seine.
Mardi 6 septembre, la commission d’appel d’offres du conseil général des Hauts-de-Seine a rendu un avis pour l’attribution d’un marché d’acquisition de nouveaux véhicules électrique.
Des transports publics solidaires pour Grenoble

Considérés comme des pionniers en tarification solidaire pour une ville moyenne, les transports publics grenoblois poursuivent le développement d’un système équitable, adapté au revenu de chaque foyer.
« Tout est parti d’un constat : une tarification spéciale qui s’adresse uniquement aux chômeurs ou aux seniors n’est pas toujours équitable, explique Philippe Gonnard, directeur développement et marketing de la Semitag, Sem gestionnaire du réseau de bus et de tramways de l’agglomération grenobloise (TAG). Certains d’entre eux, ou des membres de leur foyer, ont de hauts revenus, alors qu’une partie de la population qui n’y a pas droit est en situation précaire ». Soutenant la volonté des élus locaux, la Semitag a mis en place en septembre 2009 un système alors innovant pour une ville moyenne : une « tarification solidaire ». Lire la suite




