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6 mesures pour améliorer le diagnostic de Performance Energétique
Retrouvez le numéro 15 de « Flash-Info Logement » du Ministère du Logement consacré aux mesures pour fiabiliser et améliorer le Diagnostic de Performance Energétique (DPE).
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Île-de-France: objectif de 500.000 logements chauffés par géothermie d’ici 2020

La région Ile-de-France s'est fixé comme objectif de chauffer 500.000 logements par géothermie d'ici 2020, a annoncé mardi le ministère de l'Ecologie lors d'une conférence de presse.
AFP – La région Ile-de-France s’est fixé comme objectif de chauffer 500.000 logements par géothermie d’ici 2020, a annoncé mardi le ministère de l’Ecologie lors d’une conférence de presse.
« Notre objectif est de multiplier par quatre le nombre de logements équipés en géothermie. Il en existe 150.000 en Ile-de-France. Si nous continuons sur notre lancée, on pourrait dépasser l’objectif et atteindre 180.000 logements en 2013, puis 500.000 d’ici 2020 », a estimé Gwenael Guyonvarch, directeur régional de l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe).
La géothermie est la technique d’exploitation des réservoirs d’eau chaude en sous-sol, qui peuvent être mobilisés pour le chauffage, évitant ainsi d’avoir recours aux énergies fossiles.
« A l’heure où les prix des énergies fossiles et de l’électricité augmentent, (…) la géothermie représente une véritable opportunité pour tous les Franciliens », a souligné Bernard Doroszczuk, directeur régional de l’environnement et de l’énergie d’Ile-de-France.
Les projets géothermiques se sont multipliés dans le bassin parisien: plus de 70 projets soutenus au cours de l’année 2010, contre une vingtaine seulement en 2009, selon les chiffres de l’Ademe.
« 12 millions d’euros ont été investis dans des opérations en géothermie en Ile-de-France en 2010, et la même somme devrait être dépensée en 2011 », a indiqué M. Guyonvarch.
Ce budget provient du « fonds chaleur », une enveloppe d’un milliard d’euros confiée à l’Ademe en 2009 par le Grenelle de l’Environnement pour développer sur trois ans (2009-2011) la production de chaleur à partir des énergies renouvelables.
Le Grenelle de l’environnement impose que 23% de l’énergie produite en France en 2020 soit renouvelable.
Et si l’Ile-de-France mise spécialement sur la géothermie, c’est parce que la région est particulièrement favorisée dans ce domaine.
Le sous-sol francilien se prête bien à la géothermie profonde, ce qui a permis son développement dès les années 1970.
« C’est une source d’énergie renouvelable parfaitement adaptée à la situation francilienne, vu la ressource (en eaux chaudes souterraines) et la densité urbaine en surface », a précisé M. Doroszczuk, de la DRIEE.
Environ 1% des bâtiments franciliens sont chauffés par géothermie.
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Consulter le communiqué officiel sur le site du ministère de l’écologie
1eres assises nationales sur la Qualité de l’Air 6 et 7 Avril 2011
Le ministère de l’Ecologie, du Développement durable, des Transports et du Logement (MEDDTL) et l’ADEME (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie) organisent les 6 et 7 avril 2011 les premières assises de la qualité de l’air à la maison du sport français – Paris 13è.
Selon les récents travaux de l’Organisation Mondiale de la Santé, la pollution de l’air fait partie des principaux problèmes de santé environnementale en Europe. En France, en dépit des différentes actions mises en oeuvre par les Collectivités, l’Etat et les Entreprises, les valeurs limites réglementaires de qualité de l’air sont actuellement dépassées dans plusieurs agglomérations.
C’est pourquoi,la mobilisation de tous les acteurs, du plan local au plan national est requise, autour de l’objectif commun d’améliorer la qualité de l’air, en particulier dans les agglomérations et dans les zones sensibles à la qualité de l’air.
L’objectif de ces assises est de créer des dynamiques d’actions pour améliorer la qualité de l’air, et permettre aux décideurs locaux d’inscrire des objectifs ambitieux de gestion de la qualité de l’air dans les politiques territoriales